Legends of Olympia : L'Ode Mythologique - L'eveil approche
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L'eveil approche
Topic visité 3 fois
Dernière réponse le 05/06/2004 à 00:13

humain Par Traag, le Parrain  le 01/01/1970 à 01:00

Le garde olympien surveillait la porte sud de Lardanium, les derniers rayons de soleil se mourraient au loin. Il venait à peine de prendre la relève, la nuit s’annonçait calme.
La journée s’était passé tranquillement. Les guetteurs des tours n’avaient aperçu personne. Une journée comme tant d’autre.
Un bruissement de toile fit tourner la tête au garde. Un homme venait de s’asseoir à ses cotés, une grande cape bleue foncée lui couvrait les épaules. Le garde reconnu instantanément le consul olympien.

-Consul, je ne vous avais pas entendu arriver.
- Bonjour a toi, Marten, cela faisait longtemps que je n’étais venu admirer le coucher du soleil depuis les murailles de la cité blanche. Et combien de fois devrais-je te dire de m’appeler Traag.
- Oui, il est vrai mais j’oublie à chaque fois.
- Marten, cette nuit, un homme arrivera à cette porte, il te montrera un parchemin avec le sceau des D’Argon. Laisse-le entrer et indique-lui le chemin de mon manoir.
- Oui Consul, euh pardon, Traag.

La lune commençait à illuminer les grandes tours de la capitale, reflétant la blancheur de celles-ci.
Sur ce, Traag se releva et retourna dans le joyau des olympiens.

Marten, regarda l’homme partir. Ils avaient appris l’art de la guerre ensemble, Lancelune, Traag et Marten. Marten toujours bon dernier, mais jamais les deux autres ne l’abandonnaient, leur amitié était restée malgré les différents chemins qu’ils avaient pris. Lancelune avait un jour disparu, et Traag était devenu étrange, son regard avait changé.

Cessant de rêver à cette douce période de leur jeunesse. Marten, se concentra sur la garde.
C’est une fois la lune bien haute dans le ciel, que l’homme dont lui avait parlé son vieil ami arriva. Le parchemin changea de main et Marten indiqua à l’étrange visiteur le chemin.
Il le suivit du regard quelques instants, il serait incapable de dire à quoi ressemblait la personne qu’il venait de croiser, il était encapuchonné et le vaste manteau qui le recouvrait ne laissait deviner quelle personne cela pouvait être.




Mon cœur battait, depuis mon dernier voyage en Astoria, je n’arrivais que difficilement à ne pas penser à elle. Je n’arrivais pas à l’oublier, c’était comme si un éclair me parcourait de part en part, j’avais l’impression d’être piétiné, que mon cœur était compressé. Sa longue chevelure châtain, ces yeux enivrant, vêtu de son long manteau blanc volant au gré du vent d’Astoria.

Quelqu’un sonna à ma porte me faisant sortir de ma rêverie. Cela devait être lui. Il était enfin arrivé.
Nous nous dirigeâmes vers mon bureau, et il me fit son rapport.
Ainsi mes doutes étaient fondés. J’allais devoir agir si je ne voulais voir disparaître mes proches.
J’allais le renvoyer, lorsque la voix maintenant devenue habituelle de Zapan résonna dans mon crane.
- Il est au courant de trop de choses, tu ne peux le laisser aller.
- Il m’est fidèle, je lui ais sauvé la vie par le passé, il a une dette d’honneur.
- Tu fais trop confiance aux gens.
- Je ne fais aucunement confiance en tes conseils, créature immonde.
- Tu possède mon sang, tu es comme moi.
- Jamais je ne céderais à la barbarie que tu recherches.

Je me dirigeai vers le bar et me servi un nectar.
- Trevize, désires-tu un verre avant de repartir ?
- Volontiers.
- Comme d’habitude ?
- Pourquoi changer ?

Il s’approcha pour prendre le verre que je lui servis, mon épée se planta dans son ventre.
- Traag ? Mais…
- Tu vis encore, tu es plus résistant que je ne pensais, voyons voir si ta chair a bon goût.



Au matin, le sénat se réunit, tous les membres étaient présents, quelque uns s’étonnèrent de l’absence du Consul. Lui qui arrivait toujours parmi les premiers, il est probablement encore parti en ambassade quelque part, mais cette fois il n’a prévenu personne. Parium et Airik discutaient dans leur coin, ils semblaient nerveux. L’arrivée de Dilandau et Seth détendis l’atmosphère.

A la fin de la réunion, tous repartirent vaquer à leurs diverses occupations. Un messager arrêta Parium et Seth.
- Le Consul D’Argon, ma demandé de vous transmettre ce message à la fin de la réunion du sénat.
Parium pris le parchemin que lui tendais que le jeune homme. Après l’avoir lu, il le tendit à Seth, les traits du vétéran des SA s’étaient obscurcis.
« Parium, Seth.
Je vous écris cette missive car un devoir urgent m’appelle.
Des hommes à moi m’ont indiqué qu’une organisation secrète se mettait en place, celle-ci désire amener le chaos en Olympia.
Ils sont à mon avis plus dangereux que la menace que Drach vit peser sur nous.

Je suis parti car à vos côtés je ne sais si je serais utile. Je me retire du Triumvirat pour l’instant, j’ai toute confiance en vous deux pour gérer les SA.
Pour ce qui est du Sénat, il faut que je garde mon statut de Consul, personne ne doit savoir ce que je suis parti faire et je ne peux donc vous en dire plus.

Faites-moi confiance, je reviendrais. »

- Parium, il n’y a pas à dire, il ne nous dira jamais ce qu’il fait.
- Ce n’est pas ça qui m’inquiète Seth, regarde la signature.
- C’est signé Zapan D’Argon ! Mais comment ?!
- Il a besoin d’aide, je ne sais pas s’il réussira à s’en sortir seul. Il faut qu’on lui envois quelqu’un en aide.
- Mais qui ?
- Je ne sais pas.



Je m’éveillai, adossé à un arbre. Devant moi les restes d’un feu.
J’étais parti de Lardanium depuis deux jours désormais. Ce soir j’allais devoir infiltrer leur camp.
Je bus quelques gorgée d’eau, les images de Trevize, mort, à moitié dévoré me revinrent.
- Zapaaaaaan, comment as tu pu faire une telle chose.
- Pour ton bien, mon fils.
- Cesses de dire ça, le ‘bien’ que tu recherches n’est pas celui auquel j’aspire.
- Ne t’inquiètes pas pour ces faibles, ils ne réussiront pas à détruire Olympia, c’est toi qui amèneras le Chaos, tu es l’élément déclencheur.
- Encore tes histoires d’éveil. Tu n’y arriveras pas, je serais toujours sur ton chemin.
- N’oublie pas la promesse que tu as faite à Hadès.
- Je n’oublie pas, tu me sous-estimes Zapan.

Récupérant mes armes, je grimpa à un arbre. A quelques centaines de mètres se trouvait leur camp.
Je passai la journée à tourner autour, et comme la veille, j’observais les horaires de relève des gardes, leur positions. Je devais trouver un moyen de m’infiltrer. Leur chef était un très bon stratège, la surveillance était presque sans faille.
Tous les peuples d’Olympia étaient apparemment présents, et leur nombre était plus important que ce que j’avais supposé.

En fin de soirée, j’étais prêt, j’avais trouvé une faille, je savais comment m’infiltrer.
J’écrivis quelques missives, pour les SA, pour Sigdil et la dernière pour les consuls Astorien, mon cœur se serra en pensant à Elle.
Je ne devais pas échouer, pour mes amis, pour Elle et pour Olympia.

La nuit arriva enfin, le ciel nuageux jouait en ma faveur cachant la luminosité lunaire. Je me faufilais dans le camp. Arrivé prêt de la tente qui semblait être celle du chef, je me camouflais et me mis à l’affût d’informations. Et dire que j’avais promis à Paurtnawak que ma prochaine mission d’infiltration se ferait avec lui. Mais je ne pouvais, si Zapan se réveillait encore une fois, je perdrais un ami cher, et je ne pouvais accepter une telle chose.

Je réussis à entendre des bribes d’information ici et là, mais rien de vital. J’allais devoir m’approcher encore, soudain je sentis une présence non loin de moi. Là, à quelques pas seulement, une jeune olympienne armée comme en temps de guerre, sa prestance était incroyable.
Elle semblait chercher quelque chose ou quelqu’un. Soudain son regard se posa dans ma direction. Malgré l’obscurité, j’étais persuadé qu’elle m’avait aperçu, sa main se posa sur sa garde.
J’étais découvert. Elle s’approcha.
- Je suis Eris, fille d’Arès, qui es-tu ?
- Je suis Za.. Traag D’Argon, et moi vivant, jamais tu ne réussiras à mener à bien cette mission.
- Je n’arrive pas à te cerner, ton esprit me reste impénétrable, c’est rare.
- Tu es la fille d’Arès, ennemi d’Athéna. Intéressant. J’ai promis de tuer cette garce, par deux fois je l’ai affronté, par deux fois nous avons fait match nul. Joins-toi à moi, la guerre que tu recherches est futile, elle te t’amènera à rien, ton père te trahira.
- Tu recherches la mort à insulter ainsi mon père. Athéna mourra par ma main ou celle de mon père, mais cela viendra en son temps.
- En tant que Sage d’Athéna, je protègerais Olympia de ta malveillance.
- Tu es Sage d’Athéna et tu veux tuer ta propre déesse…
- Je veux la chasser, qu’elle devienne ma proie.
- La chasser ? Je ne te comprends pas, ce que tu dis n’a pas de sens, tu te contredis toi-même. Traag se pris la tête entre les mains.
- Eris, c’est cela, je me souviendrais de toi, sur ce je vais te laisser, et n’oublie pas tu me trouveras sur ton chemin.
- Je serais ravie de t’étriper petit SA.
- Je dévorerais ton cœur, je n’ai pas encore goûté à la chair d’une fille de dieu.

Je fis demi-tour et me dirigeai tranquillement vers la sortie du camp. Un garde s’interposa.
Mais Eris lui fit signe de me laisser passer.
- Traag D’Argon, on se retrouvera sur les ruines de Lardanium.

Sans un mot, je disparus dans les ombres environnant le camp.
- Immonde être, comment oses-tu parler à ma place.
- L’éveil s’approche mon fils, soit digne de ton sang, amène le chaos sur cette terre. La dernière fois Athéna m’en a empêché, mais cette fois je l’ai éloignée. Elle ne pourra rien contre moi. Et une fois l’éveil commencé, je pourrais me venger de cette truie.
- L’éveil, tu n’as que ça à la bouche en ce moment, mais tu n’y arriveras pas, le sang des dragons disparaîtra avec moi.
- N’oublie pas ton frère, même s’il est moins puissant que tu ne pourrais l’être, il est un pion fort utile.
- Il mourra avant moi.
- Nous verrons bien.

Bon, il faut que j’aille en Astoria. Il faut que je trouve ce soit disant frère avant que tout ne dégénère.

Traag repris la marche, évitant de passer par les routes fréquentées. Sans cesse hanté par la voix de son ancêtre, seul la vision de Dame Ney lui procurant encore suffisamment de force pour résister à la volonté de Zapan.



olymp Par Raziel le Vampire  le 01/01/1970 à 01:00

Raziel avait entendu parler du départ de Traag. Et immédiatement il pensa à cette discussion qu'ils avaient eu il y a bien longtemps. Serait-ce la raison de son départ? Zapan aurait-il repris le dessus?
D'une main, Raziel caressa la lame de sa Razielle(hrp la chro arrive), il n'avait pas oublié sa promesse.



nain Par KardanAmath, l'Anarchitecte  le 01/01/1970 à 01:00

humm les nouvelles vont vite par ici, mais Raziel fait donc ton officine ...

Traag trouve ce que tu cherche avant qu'il ne te trouve ...



olymp Par Kargan Lessiac  le 01/01/1970 à 01:00

Chacuns ici degenere .Tous nous allons vers notre fin .
Peut me comprendrez vous ...avant que tout ne soit perdu .



hs Par Tokakeke, troubadour d'Olympia  le 01/01/1970 à 01:00

/ HRP : Bieau, ça met en haleine. /

Traag, je ne sais pas quel pouvoir à sur toi ce Zapan, ni quel est ton du envers Hadès.
Mais là où ils se trompent c'est lorsqu'il parlent de Destin . Rien n'est inéxorable, et quels qu'aient été tes erreurs par le passés, si tu sait les admettres et que tu garde une volonté de bonne conduite, alors peut-être arriveras-tu à empêcher d'arriver ce que tu veut empêcher.

Il existe encore bien d'autre façon. Mais garde à l'esprit que ton ticket pour le futur est encore vierge...



nain Par KardanAmath, l'Anarchitecte  le 01/01/1970 à 01:00

Traag reste un humain toka', nous ne savons si il a l'envie véritable de luter contre ce vilain Zapan ...

Toutefois, ce que tu revèle sur la destinée est vrai. humain ou pas, toute personne est capable de se donner les moyens de batir son destin, tout n'est pas perdue, au contraire ... Tout reste à faire.



humain Par Traag, le Parrain  le 01/01/1970 à 01:00

Je ferais tout ce qui en mon pouvoir pour empecher Zapan d'obtenir ce qu'il desire.

Mais malheuresement je manque de puissance, je vais devoir trouver un moyen de ruser pour l'avoir...

Cherches pas petit, tu n'y arrivera pas, tu fera ce ue j'ai decidé pour toi.



nain Par KardanAmath, l'Anarchitecte  le 01/01/1970 à 01:00

Si tu as besoin d'aide, pense à moi, si je peux t'être utile

J'espère que Traag s'aura nous montrez sa volonté et sa puissance mentale face à cet ennemi qui sommeil en lui. Tiens bon Traag, ne faiblit pas, quelques bières, et Zapan tu pourra l'oublier

Zapan, qui que tu soit, j'ai foi en la volonté d'un être humain, et je sais que nous sommes tous capable d'affronter les obstacles qui barre notre destinée. Traag y compris.



olymp Par Raziel le Vampire  le 01/01/1970 à 01:00

Traag je ne te proposerais pas de te sauver maintenant. C'est ton propre travail. Mais tu sais aussi bien que moi quel est ma promesse.

Toi Zapan qui l'écoute, quel effet ca fait, de sentir sa propre tête s'envoler??




Traag, quoiqu'il arrive, tu pourra toujours compter sur mon aide.



Par Google  

nain Par Baaldûm-Dhûm - roi des Nains  le 01/01/1970 à 01:00

De même que sur la notre, Traag, les GA mettent toutes leurs ressources a ta disposition pour que tu puisse combattre cette entité...Dès que notre Monastère sera érigé, tu auras droit de visiter a loisir nos bibliothèques et tu aura accès,si cela t'interresse a nos fragments sacrés de La Prophétie....

Nous ne te laisserons pas faillir, nous serons a tes côtés dans ton combat, courage!!!!



nain Par Paurtnawak  le 01/01/1970 à 01:00

Si tu en as besoin, tu pourra faire appel aux citoyens de Sigdil. L'amitié qui nous lie passe avant tout.

Le Nain, un sourrire attristé aux lèvres, regarda son ami

T'aurais quand même pu m'emmener avec toi, j'aurais surement été utile à tes côtés...

Et contrairement à son habitude, Paurt ne partit pas en bougonnant



nain Par KardanAmath, l'Anarchitecte  le 01/01/1970 à 01:00

paurt qui faillit a ses habitudes ... mauvais signe.

bon, Traag, je réitère mon message, mon aide est tienne, fait en ce que bon te sembles.




hs Par Chiro  le 01/01/1970 à 01:00

HRP : belle chro

RP :
Chiro entendit une nouvelle fois Traag parler de cet éveil.
Il jetta un oeil à son épée.
*intérieurement*Ces runes...
E-V-E-I-L
L'épée de l'éveil.
Peut-être qu'elle est dangereuse pour moi...
Hum...
Je la possède depuis si longtemps maintenant. Je le saurais si elle pouvait m'être nuisible.
Quoique...
Je devrais peut-être m'en débarasser. Si ça se trouve ce Zapan la recherchera si Traag plie.
On interpela Chiro au milieu de ses pensées :
"Tu dors ?"
"Ah ! hein ?
Euh...
Non non j'étais ailleurs.
Traag ne te laisses pas faire, tu es capable de maitriser ce Zapan."

*de nouveau intérieurement*du moins je l'espère.



elfe Par Dame Archess Ney  le 01/01/1970 à 01:00

Je ne peux pas accepter que tu souffres autant. Tu n'auras qu'à dire et je ferai...



humain Par Traag, le Parrain  le 06/02/2004 à 15:39

Je bivouaquais non loin de Lardanium. Plusieurs choix se proposaient à moi, quelle direction prendre ?
Ou que j’aille, je pouvais devenir dangereux pour mes proches, pour mes amis, pour elle.

Archess, mon cœur bat plus fort quand je pense à toi, mais je ne peux venir te voir maintenant. Pas tant qu’il risque de prendre le dessus.
- Ne t’inquiètes pas, je ne toucherais pas a ta douce.
- Je n’ai pas confiance en tes dires.
- Tu sais pourtant que je n’ai qu’une parole
- Tais toi immonde créature.

Le sang bat dans mon crane, j’ai l’impression qu’une armée entière me marche sur la tête.
Le monde est flou autour de moi, un nain est devant moi. Torek, je l’ai déjà affronté, il ne devrait pas me poser de problèmes. Je lève mon épée, la douleur s’accentue et je loupe le nain.
Je recule de quelques pas chancelant. La des ombres surgissent de derrière moi et fondent sur Torek, qui meure sans avoir eu le temps de comprendre, l’AOL n’était pas loin.

Je titube et m’écrase contre un arbre. La douleur diminue.
- Zapan, cesse de jouer avec moi.
- Ah lala, j’essaye d’habituer ton corps a la douleur et de l’endurcir. Tu es faible pour l’instant.
- Je ne céderais pas à ta volonté.
- Pour que l’eveil se passe sans problème, ton corps doit être prêt.
- L’eveil n’aura pas lieu.


Une chouette se pose prêt de moi, suivi de prêt par une hirondelle. Je récupère les messages.
« Sigdil et l’AGIR sont entrés en guerre. »

- Bon vu les dissensions, il fallait bien que ça arrive un jour.
- On y va, ça fera de l’action, j’ai faim moi.
- Non pas de suite.

J’ouvre le deuxième message, mais au moment de lire le premier mot, mon mal de crane devient encore pire qu’avant.
- Traag, Athéna n’a pas rejoint l’AGIR ?
- Si pourquoi ?
- ON Y VA MAINTENANT

Je sens l’adrelanine montée en moi, la haine prendre possession de moi.
- Non , Zapan, tu n em’aura pas.
- Elle m’a déjà échappé 2 fois, cela n’arrivera pas une troisième.
- Je ne suis pas de taille.
- Je vais te preter un partie de ma puissance et maintenant, VA.

Ma vision devint rouge, je sentis mon corps bouger seul.

D’un murmure, Traag souffla ‘Archess, aide-moi’
Une légère brise entoura le corps de Traag, ces yeux devinrent rouges, et quelques écailles poussèrent sur son front.


- L’Eveil attendra, je vais me faire cette traîtresse, cette Athéna, tu va mourir de ma main.

Je levais mon épée, enfin. J’allais pouvoir assouvir ma vengeance, tuer celle qui a pris ce qui m’était chère.



hs Par Chiro  le 06/02/2004 à 18:11

C'est de plus en plus mauvais...
Au moins tu vas t'occuper d'Athéna, moi aussi je serais venger, ah je sens déjà que ça va me plaire !



humain Par Traag, le Parrain  le 06/05/2004 à 00:13