L'incroyable recit de la wyverne laineuse. | |
Topic visité 5 fois Dernière réponse le 04/06/2004 à 18:57 |
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La nuit tombait doucement sur zagnadar, une brise fraîche emportait avec elle des lambeaux de nuages, l’air était frais et pur.
Je revenais à l’époque du bureau de Mastok ou nous avions longtemps discuté sur la seconde guerre de la lothlorien qui venait de s’achever sur la destruction pure et simple de celle çi par ses propres habitants. Mes idées noires encore accrochées au cerveau tel Ramiro à sa chope de bière, je me suis dit qu’il ferait bon de faire un détour par le « fond de tonneau » afin d’évacuer tout la fatigue des récents combats. Alors que je méditais sur le fait que si la taverne s’appelle ainsi ça doit être Tetram qui siffle le tonneau et c’est pour ça qu’il ne reste plus que le fond, ou bien ledit fond est percé ce qui fait qu’il ne reste plus grand-chose à boire et alors Tetram doit être soul en permanence pour ne pas s’en rendre compte, alors que je méditait disais je, Einrich m’interpella (au moment où j’allais trouver en combien de temps le tonneau se vidait !) pour me raconter « une bien bonne » que Faust venait de lui raconter, il s’agissait de la blague de l’orc bourré, tout en écoutant patiemment j’essayait –en vain- de trouver le résultat de mon problème (Pourquoi cette taverne ne s’appelle pas « le tonneau plein » ? ça aurait réglé tous mes problèmes) à la fin de la blague beaucoup de géants s’étaient réunis autour de nous, et éclatèrent de rire à la chute, moi n’ayant rien suivit (et en plus étant arrivé à la conclusion délirante que ce satané tonneau fuyait l’équivalent d’un océan à la minute) je m’efforçait de rire, et de répéter comme les autres « ah ah ah le banjo ! » et depuis lors je cherche quelqu’un qui pourrait me raconter cette blague… Tout ceci n’a qu’un intérêt limité, mais il sert en premier lieux à prouver que j’était totalement à jeun au moment des faits, et deuxièmement à chercher la fin de cette fichue blague. Je prit congé rapidement du groupe qui riait encore aux éclats en hurlant « le banjooo ! » pour me diriger vers le « fond de culotte » arrivé devant la taverne, la nuit était définitivement tombée et la lumière chaleureuse qui émanait du bâtiment donnait envie de pousser la porte. J’entrait donc, alors que le grincement de celle-ci m’accompagnait, d’un coup d’œil je vis qu’il n’y avait personne, tetram m’indiqua gentiment que Tokakeke le troubadour homme sauvage donnait une représentation sur la place centrale, expliquant la désertion du principal lieu de débauche de la capitale géante. N’étant pas disposé a entendre le son d’un instrument à corde qui ressemblerait de près ou de loin à un banjo, je décidait de terminer ma soirée en tête à tête avec un minotaure, (Nan rassurez vous pas l’animal, le koktail ! merci pour les deux qui suivent au fond) Tetram me servit la boisson, le bâton de cannelle encore flambant, et c’est alors que tout dérapa. J’aperçois une ombre au fond de la salle, une ombre reconnaissable entre toute : celle d’haplo, je m’approche (bien mal m’en a pris) et découvre un nombre innombrable de verre et de bocs sur sa table, haplo semble normal un peu pâle tout au plus.Je lui demande pourquoi il n’est pas avec Odin, il me répond qu’elle est partie au concert de Tokakeke car parait il, il jouera de son « banjo-démon » dont il tire des sons extraordinaire, et qu’elle lui aurait dit qu’elle ne manquerait ça pour rien au monde, Haplo m’avoua qu’étant aussi fauché qu’un elfe par la faux d’odin, il n’avait pu se payer un ticket. Je remercie mentalement le dieu anti-banjo de ne pas avoir conduit mes pas sur la place et je m’attable auprès de mon ami. Je commence alors à siroter mon minotaure en égarant mes pensées sur les possibles noms de cette taverne ; arrivé à l'idée que l’appelation « à fond les ballons » ou « le double fond » est un titre beaucoup plus accrocheur (je vous laisse imaginer, l’état de béatitude dans lequel j’était pour trouver ça), Haplo me lance « J’ai une super histoire ! tu veux l’entendre ? » Encore dans les fonds, je répond evasivement par l’affirmative et alors il entame la plus incroyable histoire qu’il me fut donné d’entendre de ma vie : L’histoire de la Wyverne Laineuse. +++++++++++ Haplo me dit tout d’abord de m’installer confortablement car l’histoire était longue mais palpitante, je lui proposai de changer de table et de nous rapprocher de l’âtre de la cheminée. Chose que nous fîmes sans plus tarder. Le feu crépitait et la chaleur qu’il diffusait semblait entrer directement dans le corps, l’on choisit les plus confortables fauteuils, et on s’installa. J’étais assis, mon minotaure à la main, et Haplo commanda une hache sanglante (j’en arrivais à la réflexion que si haplo arrivait a se payer tant de verres c’est qu’il n’était pas aussi pauvre qu’il voulait le faire croire : peut être lui aussi avait il un grief contre les banjos ?). Alors haplo commença son histoire d’une voix suave. Le fait est que le héros de cette épopée n’est autre que mon locuteur : haplo, et se déroulait dans un passé lointain, ou l’Agir n’existait pas et les géants étaient aussi éparpillés sur Olympia qu’un cerveau d’elfe lorsque il rencontre malencontreusement la masse d’Hulk (bien entendu). Haplo en ce temps décida d’aller dans les lointaines plaines gelées du nord, l’on raconte que ces terres constamment enneigées, détiennent des secrets qu’il ne faut pas remonter à la surface, mais remplie de trésors et que l’espérance de survie dans les régions polaires de Friedziin, ne dépasse pas trois jours étant vêtu chaudement et avec provisions, et une demi minute si vous partez en caleçon, qu’il soit molletonné ou non (beaucoup s’y rendaient ainsi accoutré avec le mince espoir de renflouer ce qu’il venait de perdre au poker dans diverses tavernes douteuses). Mais haplo n’en n’avait cure, et il décida malgré tout d’aller explorer ces contrées. Le voyage en lui-même n’eut rien d’exceptionnel, enfin je dois admettre qu’entre temps j’avais trouvé que « le fond de commerce » sonnait bien comme nom d’enseigne, quand haplo avait lancé le mot et de ce fait je n’ai que peu suivit le tout début de l’histoire essayant d’imaginer le nouveau écriteau de la taverne. Bon revenons en au fait, Haplo après maintes escales aux tavernes -qui constituent autant d’embûches sur son chemin- arriva à la dernière habitation civilisée (tout du moins le panneau le disait). Il était vêtu d’une cape de lin noire à capuche (si il neige ça servira pensait il), un arc, et quelques provisions. Le froid commençait à se faire sentir et la végétation présente était aussi rare qu’un nain sans barbe, (quoique j’ai connu un nain imberbe et …hum hum et je m’éloigne) et la neige formait un tapis blanc sur le sol. Haplo partit droit vers le nord, à ce moment comme vous vous le demandez, je l’arrêtait dans son récit, posant mon verre lui demandant des explications : COMMENT POUVAIT IL CONNAITRE LE NORD ! Il répondit qu’il connaissait les étoiles et en calculant l’heure et la position du soleil il trouvait toujours son chemin. « Tu parles ! Je pense qu’il demandait son chemin au premier plouc venu ! Et que une fois ce dernier lieu dépassé il continua tout droit ! ah ah je le connaît moi ce sacripant ! Enfin il avançait nuit et jour, (ou jour et nuit c’est comme vous voulez) s’enfonçant dans la neige de plus en plus, et maudissant le nain qui lui avait vendu ses bottes car il s’aperçut très vite qu’elle étaient trouées ! Comme je le dit toujours, les nains ne savent pas coudre mais hélas ils savent bien vendre, donc Haplo était en fâcheuse posture imaginez donc : De la neige à perte de vue, Haplo enfoncé dedans jusqu’aux mollets, plus beaucoup de provisions et le pis : des bottes trouées (fichu nain -me dit il- si je le retrouve je fais des scoubidous avec ses poils de barbe …. Le nain en question à l’heure où j’écris ces lignes coure toujours) Quand soudain, (parce que il y en faut bien un, à un moment !) en mettant sa main en visière, il aperçut une sorte d’arche blanche et étincelante. Réunissant ses forces Haplo s’y dirigea, le vent souvent contraire le glaçait jusqu’aux os, et notre héros commençait à se faire à l’idée qu’embraser la profession de bonhomme de neige avait peut être des bons cotés de temps en temps. Il arriva enfin à sa destination, le spectacle qu’il découvrit lui coupa le souffle, l’arche qu’a première vue l’on pouvait croire faite de glace, était en fait un monument, et semblait être l’ancienne entrée d’une citée au vu des énormes blocs difformes de glaces qui gisaient derrière et qui devaient être autant de gros bâtiments. Mine de rien, au bout de plusieurs jours de marche dans le blizzard, dans la neige, et avec les pieds gelés le géant venait de trouver un reliquat de civilisation ancienne. Haplo ne réalisa pas tout de suite l’importance de la chose, m’avoua t il en vidant d’un trait sa Tulamor XXXX, il parcoura les semblant de rues, ça et là des statues gigantesques recouvertes de neige témoignait du prestige de l’ancienne ville, quelques monuments étaient pris dans d’immense iceberg, et aussi et là le fait est un peu plus inquiétant, Le sol était jonché de reste d’animaux. Des moitiés de grizzlis gelés depuis on ne sait combien de temps, des crânes de phoques, des partie de Mammouths, mais aussi des Squelettes de toutes races, l’un tenant encore un bouclier olympien, celui là agrippant un arc elfique, Haplo reconnu même un cadavre de nain … un tonnelet de bière à ses cotés, bref Haplo n’était guère rassuré, (et qui le serait, un nécrophage peut être ?) et à moins qu’une secte vénérant les cornets de glace composée de toutes races, dont le grand gourou soit un phoque, se soit suicidé en masse dans une citée perdue et inconnue de tous, les hypothèses pour expliquer cette découverte se résumait à une : « quelqu’un, quelque chose, les avait massacré » Notre protagoniste couru vers l’entrée la plus proche la dégagea du gel qui la bloquait, et pénétra dans la demeure, là force m’est d’avouer que j’ai perdu encore le fil de l’histoire car en parlant de course j’ai pensé que « la course de fond » ça sonnait bien aussi, a moins que « le fond de teint » attire une clientèle plus féminine ? Parce que ça manque un peu … oui oui je reviens à mon histoire, il me parla vaguement de la soirée qu’il passa à chercher du bois ou un quelconque combustible pour faire un feu, il trouva une table (ou une chaise ? je sais plus) pour passer la nuit en sécurité, Quand soudain (tient un deuxième !) un Rugissement qui laissait supposer une puissance et une force incommensurable retentit dans toute la ville abandonnée… +++++++++++++++ Haplo s'arrêta en plein milieu de cette histoire, savourant la fin de sa tulamor en même temps que son effet de suspens. Eh oui le bougre était ainsi. Enfin il reprit, Haplo qui était assoupit se reveilla avec ce grondement, tatonnant de la main afin d'arreter un quelconque réveil gobelin (Diabolique invention si il en est !)il ne trouva sous sa main qu'un pavement froid, il réalisa au deuxième rugissement que premièrement il n'était pas dans une bonne auberge douillette, deuxièment il faisait froid, et enfin que ledit rugissement était assez éloigné de ce qu'il connaissait : même les pires grizzlis qu'il avait chassés semblaient avoir perdu leur attributs génitoires en comparaison ! Il se leva aussi rapidement qu'il le put et sortit de la maison, le premier pas dans l'épaisse couche de neige, lui rappella douloureusement sa botte trouée, et il commençait à se demander quelle mouche l'avait piquée d'aller dans un coin aussi paumé, et s'interrogeait sur le fondement des rumeurs sur le pays, c'était peut être après mure reflexion un coup astucieux de l'office de tourisme du coin pour attirer nombre d'aventuriers en mal de sensation forte ? à nouveaux un puissant grondement le ramena à la réalité, il analysa les options s'offrant à lui, soit de fuir a toutes jambes dans le desert de froid sans provisions et une botte trouée soit d'eviter la chose et de faire étape ici le plus rapidement possible, et enfin aller expliquer à ce voisin plus que gênant qu'il s'agit de tapage nocturne et aux cas echeant d'en venir aux main pour lui faire rentrer dans le crâne le sens de la vie en communauté (en l'occurence 2 personnes). Regardant son gros orteils douloureusement mordu par le froid, la première solution ne l'enchanta pas plus que cela, la deuxième était la plus attrayante mais ne risquait pas de se faire surprendre ? enfin la troisième qui le seduisait de plus en plus, une chose pareille devait forcement garder un tresor, ou avoir quelque artefact puissant sur lui !! Ainsi fut dit ainsi fut fait. Il se dirigea vers le lieu d'ou emanait les cris, doucement, rasant les murs pris sous une épaisse couche de glace, il se rapprochait d'une sort de falaise qui dominait l'immense citée perdue, les cadavres se faisaient de plus en plus nombreux, et malgrés la tentative d'imaginer quelquechose de rassurant -comme une epidemie mortelle se propageant uniquement à -20, une vache carnivore, un Ours avec un mal de gorge infernal, une vente de bottes trouée a toute la citée qui les auraient tous tué et dont le dernier survivant rugirait son mal- plus il se rapprochait et plus evidemment c'était quelquechose de beaucoups plus gros et sûrement méchant car il est rare que les gens ou les animaux qui crient fort veulent devenir votre ami, qui plus est, si il a un arc pointé sur vous ou si il montre les crocs, si tel est le cas la meilleure solution est de ne pas insister sur la proposition d'amitiée, de tourner les talons, et de courir le plus prestement que vous pouvez dans la direction opposé. Insister c'est exactement ce qu'Haplo faisait ! les cadavres éparpillés étaient devenus des tas, des squelettes à moitié rongés, la putrefaction stoppée par le Gel. Ceci donnait un spectacle peu joyeux tirant même plutot sur le sinistre, voire le glauque. Notre ami, ne put même pas vomir, n'ayant quasiment rien mangé depuis 2 jours, il se contenta de ravaler sa bille de temps à autre, au moins une chose d'humiliante lui avait été évitée : se vomir dessus ça ne fait pas serieux pour un aventurier. Enfin bon revenons en aux faits, Haplo se trouvait à quelques coudées de l'endroit d'ou venait les Grondement, des pas lourd faisaient trembler la terre régulierement et des claquements rappelant le dentier à ressort de ma grand mere, ponctuait de temps en temps le silence du lieu. En face de moi, l'auteur enchainait les tulamors à un rythme effroyable mais semblait encaisser l'alcool assez bien, enfin je precise ça pour la suite, ç'est mieux pour ce qui s'en vient. Haplo caché derrière pile de squelettes desséchés, jeta un coup d'oeil furtif pour decouvrir un monstre jamais vu : UNE WYVERNE ! vous n'êtes pas sans savoir malheureux lecteurs ce qu'est une wyverne ! cette espece de reptile faisant la taille d'un petit dragon leur souffle putride vous empoisonnent en quelque minute et leur griffes si elle ne vous tranchent pas comme une part de quiche, vous laisse un poison foudroyant qui à raison de vous en 2 ou 3 seconde. Comme tout les reptiles à sang froid les wyvernes ne peuvent vivrent dans des regions polaires, mais pas celle d'haplo je vous le dit comme il me l'a dit : celle ci était LAINEUSE ! oui vous avez bien entendu Laineuse, affabalution d'un cerveau rongé par le froid ou réalité personne ne le saura vraiment ! Haplo voulu se saisir de son arc mais il m'expliqua que la corde avait laché ! Il se trouvait alors à quelques metres d'un monstre legendaire qui plus est d'un genre nouveau, sans arme principale, autant dire que son esperance de vie à ce moment precis pouvait se comparer à celle d'un elfe sur le chemin d'el groom. Notre ami deballa ce qu'il avait sur lui : une cape noire, un arc desacordé (comme le devrai être un banjo ! - ne puis je m'empecher de penser), une paire de bottes trouée, et une dage émoussée qui lui servait à se curer les dents... Le choix fut vite fait : Haplo se saisit de la dague et noua sa cape autour de son visage à la façon d'un gobelin kamikaze , la bête avait déjà flairé sa presence, et fonçait vers lui. Haplo surgit du tas d'os, faisant face à la bête; il comptait esquiver son premier coup et l'escalader pour l'attaquer au cou, mais en courant vers l'ennemi l'animal avait réagit plus rapidement (Haplo a d'ailleur toute une theorie sur le fait que ce specimen reagit plus vite du fait de son sang constament chaud) et sa gueule allait frapper haplo sans que celui ci n'ai le temp de dire "Tulamor", quand soudain (ah ça faisait longtemps !) il glissa sur une flaque de bile (AH ! Ne me demandez d'ou elle vient, ça singifierait que vous auriez sauté des étapes) et esquiva la gueule beante de la creature et par la même d'une mort -assez douloureuse et peu rejouissante- de peu, continuant sa glissade, sous la wyverne, il planta sa dague grâce à ses gesticulations (qui avait pour but premier de s'arreter de glisser) un point nevralgique situé sous le cou, le monstre s'ecroula alors de tout son poid sur le mlaheureux, il suffoquait et il mit plusieur heures à se degager. Quand il y parvint il chercha du regard où se trouvait sa juste récompense...il dut se rendre à l'evidence : il n'y en avait pas ! Ce taper tout ce chemin, se paumer dans le froid, et tuer un monstre que personne n'avait jamais vu (enfin du moins qui n'avait jamais pu en parler de son vivant) et tout cela pour rien, nada, il ny'a que Haplo pour ça ! Bref ses envies d'exploration étaient calmées, et en parrallèle montait l'envie de tuer, enfin il n'y avait plus grand chose à tuer à proprement parler si ce n'est que le temp alors, pour ne pas être en reste haplo depeça la peau de la bête afin d'effectuer un meilleur retour un peu plus au chaud, cette peau trône maintenant au dessus de la cheminée, Moi je dirai qu'elle ressemble furieusement à deux peau de grizzlis cousues ensemble mais bon je raconte l'histoire ainsi qu'il me l'a contée, vous laissant juge. toujours est il que l'ami haplo est revenus sain et sauf avec de magnifiques bottes en peau de wyverne laineuse, depuis ce jour il ne peut plus voir un glaçon et dort avec 6 edredons sur les pieds pour ne plus jamais endurer ce supplice. et si vous ne me croyez pas demandez lui d'aller deblayer la neige de devant chez lui vous verrez comment il vous recevra !! Haplo reposa sa tête sur le fauteuil, et quelques secondes après avoir finit son histoire finit par s'endormir. Voila une histoire de mon grand ami, est elle vrai ou bien fausse ? Je ne le saurait jamais . Je fermais l'auberge (tetram m'avait donné les clés) sur Haplo qui dormait à poing fermé et que je n'osait reveiller, au loin les derniers notes de banjo demons resonnait dans zagnadar, moi je retournais chez moi, decidé de toucher deux mots le lendemain à tetram pour renommer sa taverne "les fonds secrets" ... F I N |
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hrp: original ![]() les wyvernes et leur histoire, bien conté ma foie ... dommage que se soit déja la fin ... |
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Merci kardan, j'ai ecrit pas mal de chronique à l'AGIR je testait celle là pour voir si j'envois les autre ![]() |
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hrp j'ai lu et le plaisir est proportionnel a la taille de l'oeuvre tres joli^^ /hrp |
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/ HRP : Bravo jolie chronique.
Heu.... comment ça " Banjo-démon " ? looooooooooooooool ^^ ^^ / |
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Lol tokakeke, dsl de t'avoir mis de force dans cette chronique ![]() Bon si ça plaitje vais en poster une autre alors |
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/ HRP : Bien au contraire, j'addore les corss-over, et ça me fait plaisir de me voir intervenir dans les rp des autres.
Je t'ai mi en gras ce que j'avais dit dans mon précédent message... et ne change rien, c'était au contraire bien venu et fort agréable que ce que tu a fait. ^^ Si tu veut vraiment faire quelque chose, fait la suite, ou à défaut puisque cet épisode semble fini, un commence en un autre. ^^ / |
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Hrp/ Nixxa power, c'est quand la prochaine? |