Mort et Vie | |
Topic visité 3 fois Dernière réponse le 20/06/2004 à 00:54 |
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Une nuit sur Olympia, loin de toute autre civilisation, un endroit épargné par les guerres et la souffrance du monde, la nuit était sombre, noire comme les ténèbres infernales, rien ne pouvait distinguer le ciel de la terre si ce n’est le scintillement discret des étoiles tant la nuit était profonde. Et soudain, ce fut le spectacle rarissime qui se produisit, les lunes se levèrent, en même temps, telles un sauveur naissant pour guider le monde, la lumière emplit Olympia et caressa le relief. Les montagnes prirent forme, puis les arbres, les plantes et les fleurs, comme si les soleils se relevaient, mais dans une lumière plus douce, comme dans un rêve.
A ce moment apparut une ombre gigantesque, se découpant sur les contreforts de la montagne, ressemblant à un pic, la tour semblait suspendue au ciel et caresser l'espace. Lancée à des sommets impossible et défiant les dieux elle se dressait devant l’entrée de la vallée. Interdisant tout accès inamical, la gardienne de la citée, à jamais posée sur le montagne, saluait le ballet céleste. Au sommet, sur le parapet entourant la foret artificielle, une silhouette se détachait, semblant appartenir à un autre monde à cet instant tellement son regard semblait portait loin, autant que ses pensées. Dark regardait les étoiles, et les lunes d'Olympia, pour une fois elle étaient pleines toutes les deux, éclairant la vallée d'une lumière féerique et la magie de l'instant semblait prendre corps dans les astres nocturnes. Il se laissa aller à un instant de mélancolie, qui se troubla à peine quand l'elfe vint le rejoindre dans sa contemplation. Lahft posa sa main sur l'épaule de son mari, qui tendrement l'embrassa avant de reprendre sa méditation, elle resta à ses cotés, observant à son tour la majesté des astres glissant dans le ciel. Dark passa son bras autour de sa femme, et lui dit d’une vois douce. -sais tu à quoi je pense, ma chérie? -oui... répondit elle simplement, comme si c’était l’évidence même devant un tel spectacle. -c’était par une nuit comme celle ci, n’as tu pas de nostalgie en revoyant ce ciel? -bien sur que si, j’aimerai tant que cela se reproduise à nouveau. -Oui, murmura Dark, mais il y a un risque beaucoup plus fort que la dernière fois... La phrase s’échoua au fond de sa gorge, le malaise l’empêcha de reprendre et c‘est Lahft qui continua, sure d‘avoir la même pensée que son mari. -La dernière fois nous n’habitions pas ici, personne ne nous entourait, maintenant nous avons une famille pour nous protéger, l’OMMEGA protégera ses membres. -Tu sais très bien que ce n’est pas à cette famille que je pense. La voix de Dark était tout à la fois emplie de tristesse, de joie d’être à coté de l’amour de sa vie, et d’espoir que la vision de ces lunes produisait sur lui et sur Lahft. -Oui, moi aussi j’y songe. -La dernière fois nous avons eu de la chance que cela réussisse! Mais les elfes t‘ont peut être sauvé la vie en tuant notre enfant, je ne veut pas que tu cours ce risque à nouveau. Lahft baissa la tête, accablée. -Je prendrai le risque cette fois ci déclara Dark, d’une voix sans appel, sur de lui. Si tu le veux toi aussi, bien sur Lahft releva vivement la tête, un sourire de joie illuminait son visage, elle contempla Dark, qui souriait lui aussi à présent, sachant par avance la réponse de sa femme: - Rien ne me procurerait plus grande joie! -Je t‘aime Lahft Et il s’embrassèrent sous le regard complice des étoiles. Puis Lahft regarda Dark droit dans les yeux, d'un regard qui montrait toute sa détermination d'elfe et de femme, un regard plein de force et de volonté, un regard qui signifiait clairement à son mari que rien ne la ferait changer d'avis. -Je t'aime aussi mon chéri, et c'est pour cela que je veux le refaire! avec toi, ensemble, je ne veux pas te savoir risquer ta vie et être là à attendre, si nous le faisons, nous le faisons à nous deux! Dark sourit et passa sa main dans les cheveux de Lahft, puisqu'elle le souhaitait, lui ne pourrait pas lui refuser. Il rejoignirent la tour, conscient que l'enfantement pour un géant et une elfe n'allait pas être chose aisée, mais ils voulaient y croire et avaient pleine confiance l'un en l'autre. Il s'étreignirent passionnément, récitant les prières rituelles qu'ils n'avaient pas oubliés, malgré les cent neuf ans qui s'étaient écoulé depuis le dernier levé synchronisé des deux lunes, lors de leur première tentative. "Voix de tout l'univers, maîtresse de la vie, Oint nous de ton pouvoir et exhausse notre envie. Unies nous sommes et à jamais nous resterons, Soit avec et pour nous le plus beau de tous les dons. Et permet nous d'accomplir notre grand rêve. Souviens toi qu'ailleurs les gens, de violence, crèvent! Pourtant ici dans la paix nous voulons enfanter, Et dans l'amour que nous nous donnons à jamais, Réunir nos vies pour enfin procréer. Intensément nous le souhaitons nous le jurons Entends nous! nous sommes à ta disposition Zomibalalar putainde zedehala con Quand nous enfanterons, éloigne tes yeux de notre Union, et dans ta grande mansuétude Accepte notre amour comme sujet d'étude Nous connaissons ta pensée, ce n'est pas la notre Destructrice tu es, nous implorons ta pitié Monstre lunaire épargne notre progéniture Enfant de deux races opposées d'Olympia Monstre lunaire épargne notre progéniture Enfant de deux races opposées d'Olympia. Par toi lune protectrice et miséricordieuse Après avoir priés ta soeur au coeur de pierre Soudain vers toi, nous tournons nos faces rieuses Unis ici pour le meilleur et pour le pire Nous voulons de toi une grande part de rire Entends nous, nous sommes à ta disposition Sauveuse de vie, maîtresse de joie, entends moi Compose avec ta soeur, la terrible et funeste Empêche la de tout ton pouvoir de nous nuir Nous, pauvres mortels, nous ne pouvons la faire fuir Entends nos voix toi qui nous éclaire depuis l'est Défends nous de ta grande soeur maléfique Enfantons nous aussi un être magnifique Comme toi nous ne vivons ici et maintenant Unis dans la vie et dans l'amour pour qu'enfin La mort disparaisse, avec cet enfant." Dark prit alors le couteau rituel, et le plongea lentement dans le ventre de Lahft, tentant de la pénétrer le moins douloureusement possible, priant encore les deux lunes, l'une pour les épargner, l'autre pur les protéger. Quand la garde toucha la peau délicate de l'elfe, Lahft eu un gémissement. Dark retira doucement la lame et la nettoya. Puis il tendit l'instrument à sa femme, qui répéta l'opération sur lui. La douleur disparaissait au fur et à mesure que l'arme s'enfonçait, pouvoir d'une magie interdite pour ce enfantement contre nature. Quand la garde toucha la peau, une légère décharge électrique le parcourut, puis, une fois qu'elle l'eut retirée, Lahft se colla à Dark en une étreinte puissante, mélant leur sang et leur chair, puisant dans leur dernières ressources l'énergie de donner la vie, sentant leur entrailles produire des fruits. La croissance des enfant fut instantanée, terrible naissance que celle ci, les enfant puisant les réserve nécessaire à leur croissance directement dans corps de leurs parents, puisant leur énergie vitale au coeur de leur géniteur. Rien ne se perd, rien ne se crée, pour chaque droit, il faut un devoir, rien ne s'obtient sans sacrifice... -derrière la flèche, le tireur furent les dernières paroles du plus vieux des géants encore en vie sur ce monde. Avec un regard vers le ciel infini et ses deux lune. - Lunes jumelles, prenez soin de l'amour pour qu'il apporte la paix. Dans un souffle, les yeux se fermèrent et la vie quitta le corps de la belle au cœur pure. HRP1, pour les très jeunes qui jouent à Olympia, sachez quand même qu'heureusement on fait pas les bébés comme ça ![]() HRP2, pu**** comment c'est chi*** d'écrire en alexandrins ![]() |
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hrp j'ai pas trop bien compris, lafth et dark sont morts? /hrp |
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HRP/
J'adore le coup de l'acrostiche....Et Joli chro.... |
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/ HRP : C'est trop beau... Et trop triste... C'est trop pour moi...
Personnellement, je trouve que c'est la meilleur chro de changement de perso que j'ai vu. Peut-être ne suis pas totalement impartial mais en tout cas toutes mes félicitation. / J'espère que vous ne m'en voulez pas trop pour mon départ plus que précipité. J'aurais aimé pouvoir vous le dire de vive voix. J'aurais aimé pouvoir vous dire que... ... ... * Une larme roula sur la joue de Tokakeke. D'autre vinrent, inondant sa barbe avant de s'échouer sur le sol. La joie y était présente, mais la tristesse restait immense. * |
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Je n'ai que trop peu vu DarkSamor et sa compagne, et pourtant si célèbre ![]() Paix à vos âmes, votre amour perdurera par le fruit qu'il a produit ![]() HRP: Hey Sam' sympatique ta chronique dit moi, je dirai pas comme toka' mais y'a du style ![]() puis bon rien de mieux que changer son rp et se remettre en question, c'est bien. puis y'a toujours la pointe fatale de sentiment le DS style. c'est pas tchoutchou comme fin moi j'aime bien (heu ca change du train train ... bon ok je sors ... ![]() bon @ bientot donc ... et que ta motivation reste intact /HRP |
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HRP Rémy: ![]() hrp 2 Baaldûm-Dhûm, je suis content que tu l'ai vu ![]() ![]() ![]() hrp 3 la suite est en cours de réalisation |
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hrp ma naine ne te connaissait pas ![]() ![]() Sachez cher Délem Samor, que j'ai bien aimé la facon dont vous avez fait votre apparition vous et votre congénère, quoi de plus dramatique que de prendre la vie sur celle de ces parents ... mais quel ironie. J'aurez aimé prendre pied sur Terre de cette facon, je pense que ca entoure vos deux personnes d'une responsabilité dés leur naissance. Il semblerait que naître dans le sang c'est comme une certaine maxime "le sang appel le sang..." A voir pour ta destinée l'ami. Au plaisir de te rencontrer Délem. |
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Maieuh ... DS !!! REVIENNNNN !!!! c moi le plus vieu maintenant ... et ... et je sent aussi mes force faiblir ... je finirai peut-etre comme toi apres tout ... |
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hrp aaaaah quand j'avais pas compris l'acrostiche je me demandais de quoi vous parliez et c'est en regardant le poème que je l'ai vu ![]() |
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HRP lol ben non, j'ai jamais écrit ce genre de texte, alors bon, j'ai un peu peur de ce que ça donnerait ![]() ![]() SUITE: RP: Un liquide chaud dans la bouche, une soudaine envie de vomir, j'ouvre la bouche, le liquide s'écoule et je sens quelque chose de froid, il me manque quelque chose, quelque chose facile d'accès, je ne comprend pas, mais mon corps s'en charge à ma place, mon torse prend du volume, un instant, la chose froide à l'extérieure de ma bouche emplie mon corps. De l'air! Je tousse, suffoque, crache ce sang qui ne m'appartient pas, mon coeur commence à battre, la vie s'éveille en moi. En même temps que mon corps se fait au milieu, ma pensée se structure, je me rends compte que je suis une entité pensante, vivante, un être à part entier dans un milieu qui l'entoure, d'où la question classique du moment: -où suis je? mais là, ça cloche, encore une fois il manque quelque chose: -qui suis je? La question ne trouve pas de réponse immédiate, je retourne à la première et j'ouvre les yeux. La lumière les blesse avant que j'arrive à vraiment prendre en compte le monde extérieur, je n'ai vu que deux choses avant de les refermer: qu'il y avait une forme allongée à coté de moi, et que nous étions entourés de rouge. -qui suis je? Que se passe t il ici? Je me rends compte que j'arrive à penser, de façons cohérente, que j'ai des idées, des concepts en moi, que je n'ai pas eu à les expérimenter par moi même, mais d'où viennent ils? Trop de questions, pas assez de réponses, il faut que je les cherche ailleurs que dans ma tête, j'ouvre à nouveau les yeux, plus doucement. La lumière est forte, mais en plissant les paupières j'arrive à voir à peu prêt correctement, le liquide que j'ai recraché tout à l'heure est répandu à la surface du sol. La forme à mes cotés et moi, nous nous trouvons dans une pièce carrée, avec des ouvertures sur l'extérieure. Contre l'un des murs il y a un meuble. -lit. Encore quelque chose que je sais mais je n'arrive pas à déterminer où je l'ai apprise. -chambre. Pareil, encore que j'arrive à comprendre qu'après avoir trouver un lit, il est logique de conclure que c'est une chambre. ... Ce sont des platitudes, je m'en rends bien compte, mais c'est tout ce que je vois pour l'instant. Il faut que j'ai de nouveaux éléments avant de continuer à réfléchir, et pour cela, je ne trouve qu'une solution: bouger. Mes jambes répondent mal, je me dresse sur mes bras et je jette un coup d’œil circulaire à la chambre. Là je vois des étagères, des tableaux, un bureau, ou quelque chose qui y ressemble. Je rampe avec difficulté vers la forme à coté de moi, c'est un corps. -elfe. Je ne sais pas pourquoi je sais, mais je sais, c'est l'essentiel pour l'instant. Je regarde le corps de femme à coté de moi, elle ne respire pas, je ne vois aucun mouvement au niveau du cour. Morte! Je m'approche, et je vois ses lèvres closes, un mince filet rouge ferme la bouche. Par réflexe, je tape un grand coup sur l'estomac, l'elfe recrache le sang qui l'empêche de respirer et tousse, hoquète pendant un moment. Puis elle ouvre les yeux, cherchant elle aussi à comprendre ce qu'il se passe. Nos regards se croisent, je sens qu'un lien nous unis, mais lequel? Je me concentre à fond, j'inspire très fort en mémorisant le passage de l'air , puis je fait une tentative. -éhu hi heu hui? Regard d'incompréhension, je réessaye. - sais tu qui je suis? Elle a comprit, mais son regard me montre qu'elle ne sais pas. -qui es tu toi? Peut être qu'elle sait qui elle est, et qu'elle pourra m'aider à retrouver mon identité. Qu'elle sais ce qui se passe ou s'est passé ici. Malheureusement son regard se trouble, je crois que je viens de lui faire réaliser qu'elle ne savait pas non plus qui elle est, et son désarrois se lit clairement sur son visage. Elle tente de parler, elle réussit mieux que moi: -je ne é has. Nous sommes plutôt mal barrés, deux êtres, couchés dans une marre de sang, sans nom ni identité, commençant à peine à parler, immobilisés par des membres qui refusent de se mouvoir dans une chambre on ne sait où. -Il faut comprendre ce qu'il nous arrive, et pour cela, on doit bouger pour observer. -oui. Elle a répondu comme ça, sans ton, une lassitude qui m'a surpris. Mais je décide de ne pas relever, juste continuer sur ma pensée première. Si elle a quelque chose à dire, elle le dira! - aidons nous pour nous relever. Elle acquiesce, et nous commençons à nous tirer, à nous pousser pour réussir nous mettre sur les genoux d'abord, puis sur nos pieds, et enfin, clopin clopant, nous avançons vers la fenêtre. La vue nous coupe le souffle, une étendue d'horizon à perte de vue, nous nous trouvons au sommet d'une montagne immense probablement. Il y a deux soleils hauts dans le ciel, la chaleur nous irradie, et nous rentrons nous mettre à l'abris. Nous nous écroulons sur le lit et sombrons dans un sommeil lourd et agité. |
Par Google   |
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Quelque chose fait réagir mon corps, je suffoque, crache, tousse, puis enfin prend une gorgée d’air. Je suis douleur, de l’eau coule de mes yeux.
**C’est quoi ça ?** Mes pensée sont comme de l’eau, je tente de les attraper mais elles me glissent entre les doigts. Je sens dans mon corps le parcours de l’air, le glissement du sang dans mes vaines. La vie se propage en moi, mon corps est douleur. J’entend des bruits, mais ne suis pas capable de les définir. Un souffle d’air me frôle, la peur m’étreint le cœur. Je veux comprendre, j’ouvre les yeux, les referment aussi vite. J’ai juste le temps de distinguer un ombre penchée sur moi. Mes pensées s’assemblent, je reconnais enfin les sensations qui m’assaillent. Je rouvre les yeux et me force a les garder ouverts, j’ai mal, mais je doit le faire je le sais. Devant moi se tient un être, je ne sais se qu’il est, mais nos regard se croisent, s’accrochent, je sens que quelque chose nous lie, mais impossible de comprendre quoi. Il ouvre la bouche : - éhu hi heu hui? Qu’est-ce que c’est que ses bruits ? Suis-je sensée le savoir ? Je le regarde avec étonnement, mes pensées sont embrouillée encore, pourtant je sais intuitivement que je devrais comprendre. Ses yeux me disent qu’il sait que j’ai pas compris. Il recommence : - Sais-tu qui je suis? Je comprend enfin, mais que lui répondre. Je le regarde, navrée de ne pouvoir l’aider. Des mots me viennent, mais comment les exprimer ? Ma pensée répond « je ne sais pas ! » Mais mon corps est toujours hors de mon total contrôle. Ils semble capter dans mon regard que je n’ai pas la réponse, et dit autre chose : - Qui es-tu toi? Qui je suis ? Mais… Je reste là, trop étonnée pour répondre. Mes pensées vont a cent a l’heure, paraissent chercher la réponse. Elle se figent soudain, car y a pas de réponse dans ma tête. Prenant sur moi, je tente des mots comme il a fait. - Je ne é has. Il semble avoir compris, comprend-il mieux ou j’ai dit les mots mieux ? J’en sais rien, mais il a compris, c’est tout se qui compte. Le travail de recherche effectuée par mon cerveau, pour trouver qui je suis, semble avoir mis de l’ordre dans mes idées. Je ressens des sensations nouvelles, mais je ne les comprend pas encore. Ils nous faut bouger, comprendre. Il me dit : - Il faut comprendre ce qu'il nous arrive, et pour cela, on doit bouger pour observer. - Oui. La réponse est venue comme ça, je n’y ai pas penser, mon esprits étant occuper à autre chose. Un souvenir, non une connaissance innée, me dit frère, frère, frère. Mais je ne comprend pas ce mot ! Je vois l’être à coter de moi comprendre que je pense a quelque chose, mais je ne lui dit rien. Je lui en parlerais quand je comprendrais ce que ça veux dire ! - Aidons nous pour nous relever. J’entend ses mots, y acquiesce d’un signe de tête. Nous nous aidons à nous lever. Difficilement nous parvenons à nous mettre debout, sur des jambes flageolantes, et a allé voir se qu’il y a dehors. La surprise est de taille, rien ne nous avait préparer à ce que nous voyons, le souffle couper dans nos gorges nous regardons la vue. Trop épuiser pour tenter de comprendre, nous allâmes nous allonger sur le lit et nous endormîmes aussitôt d’un sommeille agité ! |
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elle se réveille avant lui. Le regarde dormir deux minute et se lève, pas vraiment surprise de sentire que ses jambes la porte sans difficulté.
** Je doit trouver des réponses ! Trop de mot dans ma tête !** Ses pensée sont comme de l’eau, elle tente Elle visite les lieux, sur le mur en face du lit y a une armoire, elle a une sursaut, y a quelqu’un en face qui la regarde – souvenir enfouis dans sa conscience qui dit : « c’est toi ! » Elle se regarde une instant, se détaille, se scrute et se découvre, « femme ! » dit encore ça mémoire. Elle voit cette chose rouge qui la recouvre presque complètement. - Moi ? c’est moi ça ? qui suis-je ? Cette question revient sans cesse, comme une litanie au font d’elle. Elle s’approche du lit, elle regarde l’Autre, il est différant d’elle – ça mémoire encore : « Homme ! » - bien plus grand, même coucher elle s’en rend compte. Elle retourne à l’armoire et l’ouvre, dedans elle trouve des morceaux de tissu, à quoi ça sert elle n’en a aucune idée. Puis un souvenir lui revient, quand ils ont regardés par la fenêtre avant de dormir, ils ont vus des gens avec des choses comme ça sur eux. Elle prend une chemise, c’est trop grand pour elle. Elle continue à regarder, essaye une robe, c’est un peu cours mais ça ira. Elle sort une tunique, bien trop grande pour elle, la pose sur le lit. L’être dort toujours mais il s’agite dans son sommeil. Elle continue à regarder se qui l’entours, elle se dirige vers l’étagère – un mot lui vient à l’esprits : « bibliothèque », elle comprend alors qu’elle connaît cet endroit. Un barrage cède, elle comprend son environnement de manière innée, comme si elle connaissait tout ça. Le repos semble avoir mis de l’ordre dans ça tête, elle connaît les mots pour décrire les choses, elle sait sans se demander pourquoi. Elle a une vision furtive de deux êtres, mais ne sait dire qui ils sont. Elle prend quelque livre un par un et les ouvre pour voir si quelque chose pourrait les aider. Elle ne trouve rien dans ces livres. Comment elle sait lire ? C’est un mystère de plus, qui ne la surprend pas vraiment. Elle va vers le bureau, et voit un ouvrage ouvert, à l’instant ou elle prend le livre, un bruit la fait se retourner. Il est debout et la regarde. - Salut ! Bien dormi ? Je t’ai préparer de quoi te vêtire, on est sale, mais je sais pas ou trouver de quoi nous laver, on verra ça plus tard ! Il semble surpris, regarde la tunique sur le lit, puis elle. Il se demande comment elle a réussit à parler autant et comment il comprend se qu’elle lui a dit. Il prend le vêtement et l’enfile en s’approchant d’elle. Il lui prend le livre des mains, lui non plus ne s’étonne pas de savoir lire. Sur la couverture de l’ouvrage un titre est graver en lettres d’or : « Mythe et magie des temps anciens ». Sur la page ouverte, ils découvrent la description d’un « rituel de vie » nécessitant l'aval des lunes d'Olympia à leur solstice. Puis ils s’attardent sur une enveloppe - elle est pleine, mais non cachetée – sur la quelle il est écrit, en bas à droite : à nos enfants. Ils se regardent, surpris. Il prend la lettre et en tire un parchemin, qu’il lit à haute voix pour les deux : Très cher enfants, Il est probable qu’au moment ou vous lisez cette lettre, vous ne sachiez rien de vous. Nous allons donc commencer par vous dire qui vous êtes. Les noms que nous avons choisis pour vous sont Délem et Ascal, nous vous laissons choisir le quel vous convient le mieux. Quand vous aurez fait ça, continuer à lire ! Les yeux river l’un à l’autre, ils s’examinaient, comme si l’un choisissait pour l’autre. D’une voix, ils dire alors le nom respectif de l’autre, comme si c’était de tout temps décider ainsi. Délem repris la lecture ou il l’avait laissée : Nous devons, pour que vous compreniez bien qui vous êtes, vous parler de nous. Nous, Lahft et Dark Samor vous avons donné nos vies. Vous devez vous demander pourquoi nous avons fait ça ! Tout simplement par-ce que pour un elfe et un géant enfanter n’est pas un droit, nos deux peuples ne l’ayant pas accepter. Nous avions tenter de contrevenir à la lois et nous avions payer cher cet écart. Pour pouvoir enfanter, ils nous fallaient donc outrepasser les lois de la nature et réaliser un rituel complexe. Si vous lisez ceci, c'est que le rituel s'est mal passé, et que nous avons donné nos vies pour les votres. C’est la raison pour la quel vous êtes seuls en cette instant. Nous le regrettons, mais vous nous importez plus que nos vies elles memes. Délem, Ascal, vous êtes nos enfants, pas seulement celui de l’un ou de l’autre. Même si chacun de nous a donné ça vie pour l’un de vous, c’est notre sang à tout deux qui a été le fluide de vos vie. Vous êtes frère et sœur, et devez rester unis dans la vie ! A Ascal, notre fille, j’ai donné les pouvoir qui était les miens, et à Délem, notre fils, mon époux a donné la force. Sachez en faire bonne usage. Encore une chose, vous ne ressembler sûrement ni tout à fait à une elfe ni tout à fait à un géant. Ne laissez jamais les regards se tourner vers vous avec pitié, soyez fier de votre héritage, car il est le fruit de l’amour. Nous vous disons adieu, mes enfants, en regrettant de ne jamais vous connaître. Mais nous serrons fier de vous, quoi que vous deveniez, et quoi que vous fassiez. Vous devez vivre vos vie pour vous et non en souvenir de nous. Sachez enfin que nous vous aimions déjà avant que vous naissiez et que, malgré la mort, nous vous aimerons toujours. Pour toujours et a jamais Papa et maman Ascal regardait son frère, des larmes plains les yeux. Délem s’approcha d’elle et la prit dans ses bras. - Ne pleure pas petite sœur, tu as entendu ça qu’a écrit maman ! Elle dit d’être fort et fière, pas de laisser la souffrance te submerger. Ascal lève les yeux sur son frère, se reprend et sèche ses larmes. - Tu as raison ! Pourtant je voudrais garder quelque chose d’eux. Tu accepterais d’ajouter Samor à nos nom ? - Ça me semblait tellement évident, je n’ai même pas imaginer une seconde que tu pourrais me le demander, bien sur que nous allons le garder, il est le lien entre eux et nous. Ils avaient les réponses à leurs questions, mais ne savaient toujours pas ou ils se trouvaient ! |
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HRP/Magnifique... |
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hrp: ben voila, du trés bon travail. en piste maintenant ![]() *reste bouche béante ...* |
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HRP ben pour la suite, j'aurais du mal à l'écrire vu que je part la semaine prochaine, mais bon, j'ai filé mes idées à Elyana qui transméttra à ascal. |