Par Saena - puissance de la beauté le 06/02/2004 à 17:34 Ce matin là un bruit étrange me réveilla, on donnait des coups violent dans la porte de la demeure de mes parents. Je me levais, pris mon épée quand la porte éclata en mille morceaux. Trois nains firent leur apparition, les haches et les marteaux dans les mains :
-Que me voulez vous ? Leur dis-je.
-Tu n’es qu’un traître et tu dois mourir, me répondit celui qui semblait diriger les autres.
-Quel est mon crime ?
-Tu ne dois pas te considérer en nain, tu es un olympien, tu es différent de nous, tu dois partir ! me répondit-il.
Pour seule réponse j’armais mon bras pour frapper. Les nains firent de même. Le plus petit des nains envoya un violent coup de hache que mon épée eu du mal a contrer. Le combat était lancé, les coups filaient dans tous les sens, mon épée sifflait sous la violence de mes frappes. Un nain tomba à terre puis se releva. Je me retournai et vis une hache s’enfoncer dans mon épaule. La mort était inévitable… Une seule solution est possible, fuir… Je prends mes jambes à mon coup et me lance dans une course folle….
Après sept jours et sept nuits de marche, la foret est en vue. Mon épaule me fait mal mais je n’ai rien pour la soigner. Il fait nuit et il pleut, chaque goutte qui tombe sur mon épaule me produit une souffrance épouvantable. Je craque, je m’assois au pied d’un arbre et prend une nuit de repos.
Les premiers rayons de soleil apparaissent, une légère brise me caresse le visage, mes cheveux volent au vent. Ma blessure s’est réouverte, le sang coule et me laisse au sol. Je m’appuie sur mon épée et me relève. Je continue ma marche toujours plus loin dans la foret. Les oiseaux chantent, le vent souffle, mais ces petits plaisirs de la vie qui font le bonheur des gens…. Je ne les connais plus. Mon passé était fait de bonheur, mon présent est fait de souffrance. Je relève ma tête, fier d’être un Olympien. Apres une demie journée de marche, mes forces me lâchent, ma vue se trouble, les sons de la foret ne sont plus q’un horrible brouhaha, je me sens faiblir, je m’écroule au sol…
-Que me voulez vous ? Leur dis-je.
-Tu n’es qu’un traître et tu dois mourir, me répondit celui qui semblait diriger les autres.
-Quel est mon crime ?
-Tu ne dois pas te considérer en nain, tu es un olympien, tu es différent de nous, tu dois partir ! me répondit-il.
Pour seule réponse j’armais mon bras pour frapper. Les nains firent de même. Le plus petit des nains envoya un violent coup de hache que mon épée eu du mal a contrer. Le combat était lancé, les coups filaient dans tous les sens, mon épée sifflait sous la violence de mes frappes. Un nain tomba à terre puis se releva. Je me retournai et vis une hache s’enfoncer dans mon épaule. La mort était inévitable… Une seule solution est possible, fuir… Je prends mes jambes à mon coup et me lance dans une course folle….
Après sept jours et sept nuits de marche, la foret est en vue. Mon épaule me fait mal mais je n’ai rien pour la soigner. Il fait nuit et il pleut, chaque goutte qui tombe sur mon épaule me produit une souffrance épouvantable. Je craque, je m’assois au pied d’un arbre et prend une nuit de repos.
Les premiers rayons de soleil apparaissent, une légère brise me caresse le visage, mes cheveux volent au vent. Ma blessure s’est réouverte, le sang coule et me laisse au sol. Je m’appuie sur mon épée et me relève. Je continue ma marche toujours plus loin dans la foret. Les oiseaux chantent, le vent souffle, mais ces petits plaisirs de la vie qui font le bonheur des gens…. Je ne les connais plus. Mon passé était fait de bonheur, mon présent est fait de souffrance. Je relève ma tête, fier d’être un Olympien. Apres une demie journée de marche, mes forces me lâchent, ma vue se trouble, les sons de la foret ne sont plus q’un horrible brouhaha, je me sens faiblir, je m’écroule au sol…
Par 
avec des potes ou je sais trop quoi!!!
et de te :kill: