Par Odin le 01/01/1970 à 01:00 Cela faisait un moment qu’Odin errait en Enfer, soupirant, lassée. Le décor était peu accueillant, sentant la pourriture et la moisissure des corps en putréfaction. Une odeur immonde que l’on ne pouvait s’ôter du nez.
Odin grogna, le nez bouché :
« Assez….j’en ai assez, grrr…. »
Son pied heurta une pierre, et elle tomba dans un lac qui contenait vraisemblablement du sang.
« C’est la goutte qui fait déborder le vase ! » Elle se secoua, se sécha les cheveux… Mais la couleur foncé du sang restait incrusté dans chacun de ses cheveux bleus nuit. Sa faux à la main, elle marchait péniblement, quand elle aperçut un attroupement de Géants non loin de là.
Elle haussa un sourcil, et reconnut qu’elle était tous prés de la porte. Sa robe en velours noir était encore humide après la chute dans le lac rouge.
Nombreuses sont les perles qui décorent le contour des manches en soie blanc de la Géante, aussi orné de fils d’or. Un fin maquillage irisé couvrait les paupières d’Odin. Son visage avait l’immense sensation de fatigue.
Elle se racla la gorge, se retroussa paisiblement ses manches, et poussa tous les Géants avec une force assez intense.
Quand, une fraction de seconde après, elle s’immobilisa, et laissa tomber son arme dans un bruit sec. Ses yeux bruns ne cessaient de fixait une masse verte, un tas de muscles parlant.
D’une voix claire, elle murmura :
« Hulk… ? »
Le Géant se retourna pour voir sa sœur [BOURRINS], avec qui il a parcouru tant et tant de Kilomètres, avec qui il a combattu à ses côtés tant et tant de fois, avec qui il faisait ses nombreuses boulettes tant et tant de fois...
-Greu ?Odin ?
La Géante se retint de pleurer, et continua.
-Pourquoi es-tu là … ?
-Greu, moi mort après prise de SIGDIL, greeeuuu !
Elle éclata d’un rire nerveux, lui faisant pareil. Tous deux étaient mort maintes et maintes fois, et ils connaissent maintenant l’Enfer comme leur poche. Mais le regard d’Odin s’assombrit d’un voile gris.
-Vous me manquez, toi et le Fléau. Il n’y a pas un jour ou je ne pense pas à vous. Mais je respecte votre choix… Bien que ce soit difficile.
Un bruit déchira le ciel. Le corbeau a Odin revenait, un message dans le bec. Dans un bruissement d’ail, il se posa doucement sur l’épaule de sa maîtresse. C’était là un message de Minuit, car Odin reconnaissait le ruban en velours vert qui entourait chacun de ses messages. (D’ailleurs, elle dénoua le ruban et le glissa dans une de ses poches de sa robe pour le conserver…)
Ses yeux parcouraient le parchemin, le serra et le jeta à terre. La Géante songea :
« Encore des morts…L’heure est grave, je vais devoir me dépêcher… »
Odin se jeta dans les bras de son frère, les larmes traversant les fines joue de la géante. Elle sentait l’étreinte de son frère, lui donnant des tapettes dans le dos, et passa dans le couloir des Morts, sans se retourner.
Arrivée à la base : 4h09
Mes ailes …mes ailes s’ouvrent… Je sens ma peau s’écarter sous les plumes d’une douceur intense… Mon sang perle sur ma peau, et s’ amuse à être glacés. Mes plumes s’écartent. Le sang jaillit, il en pleut tellement mes ailes en étaient recouvertes. Je n’ai plus aucune douleur. Là où je vis, personne ne me fait du mal. Je suis un petit ange insignifiant mais qui vit une vie paisible, sans aucuns soucis ni guerres, sans aucunes jalousies ni traîtrise… Là où je vis, chacun exprime ce qu’il veut…Là où je vis, on est immortel et on a une vie sereine à jamais…
Tout à coup, l’illusion se déchira en deux. Odin était dans la base, la nuit berçant ses pensées. Un vent glacé parcourant sa silhouette. Le couloir des Morts lui avait encore jouer des tours, et essayer de laisser la Géante emprisonner dans ses illusions.
Elle passa la porte en ferraille du QG, et se retrouva dehors. Son corbeau grelottait, et ouvrait son bec irrégulièrement, les yeux ronds comme des billes noires, et aucun son ne sortait à chacune de ses ouvertures de bec. Il fixait Odin, ce qui la rendait mal à l’aise.
« Toi, au lieu de te planter de destinataire, tu feras mieux de manger quelque chose…
Ah…Et sinon, Minuit m’a dit d’aller par-là…A L’ouest du QG, si je me souviens bien de son message que j'ai jeter à terre en Enfer...»
Elle se mit en route, plus fatiguée que jamais. Plusieurs jours s’écoulant comme cela…
«Etrange… Il n’y a personne à l’horizon… » Du coin de l’œil, elle discernait son corbeau en train de dormir. Elle lui donna une petite claque, et lui adressa la parole :
« Grouille-toi, et va voir si Minuit à un message à m’apporter. » Elle lui tendit un parchemin
« Donne-lui ce message, lui disant que je ne vois personne et que je m’inquiète. »
Un petit moment passa, et le volatile noir charbon revint, ayant dans son bec (non, pas un fromage !
) un message.
La Géante, pressée, déroula le parchemin et y lisait :
« Tsss ! !Tu t’es plantée de direction, bravo ! »
Odin grogna, le nez bouché :
« Assez….j’en ai assez, grrr…. »
Son pied heurta une pierre, et elle tomba dans un lac qui contenait vraisemblablement du sang.
« C’est la goutte qui fait déborder le vase ! » Elle se secoua, se sécha les cheveux… Mais la couleur foncé du sang restait incrusté dans chacun de ses cheveux bleus nuit. Sa faux à la main, elle marchait péniblement, quand elle aperçut un attroupement de Géants non loin de là.
Elle haussa un sourcil, et reconnut qu’elle était tous prés de la porte. Sa robe en velours noir était encore humide après la chute dans le lac rouge.
Nombreuses sont les perles qui décorent le contour des manches en soie blanc de la Géante, aussi orné de fils d’or. Un fin maquillage irisé couvrait les paupières d’Odin. Son visage avait l’immense sensation de fatigue.
Elle se racla la gorge, se retroussa paisiblement ses manches, et poussa tous les Géants avec une force assez intense.
Quand, une fraction de seconde après, elle s’immobilisa, et laissa tomber son arme dans un bruit sec. Ses yeux bruns ne cessaient de fixait une masse verte, un tas de muscles parlant.
D’une voix claire, elle murmura :
« Hulk… ? »
Le Géant se retourna pour voir sa sœur [BOURRINS], avec qui il a parcouru tant et tant de Kilomètres, avec qui il a combattu à ses côtés tant et tant de fois, avec qui il faisait ses nombreuses boulettes tant et tant de fois...
-Greu ?Odin ?
La Géante se retint de pleurer, et continua.
-Pourquoi es-tu là … ?
-Greu, moi mort après prise de SIGDIL, greeeuuu !
Elle éclata d’un rire nerveux, lui faisant pareil. Tous deux étaient mort maintes et maintes fois, et ils connaissent maintenant l’Enfer comme leur poche. Mais le regard d’Odin s’assombrit d’un voile gris.
-Vous me manquez, toi et le Fléau. Il n’y a pas un jour ou je ne pense pas à vous. Mais je respecte votre choix… Bien que ce soit difficile.
Un bruit déchira le ciel. Le corbeau a Odin revenait, un message dans le bec. Dans un bruissement d’ail, il se posa doucement sur l’épaule de sa maîtresse. C’était là un message de Minuit, car Odin reconnaissait le ruban en velours vert qui entourait chacun de ses messages. (D’ailleurs, elle dénoua le ruban et le glissa dans une de ses poches de sa robe pour le conserver…)
Ses yeux parcouraient le parchemin, le serra et le jeta à terre. La Géante songea :
« Encore des morts…L’heure est grave, je vais devoir me dépêcher… »
Odin se jeta dans les bras de son frère, les larmes traversant les fines joue de la géante. Elle sentait l’étreinte de son frère, lui donnant des tapettes dans le dos, et passa dans le couloir des Morts, sans se retourner.
Arrivée à la base : 4h09
Mes ailes …mes ailes s’ouvrent… Je sens ma peau s’écarter sous les plumes d’une douceur intense… Mon sang perle sur ma peau, et s’ amuse à être glacés. Mes plumes s’écartent. Le sang jaillit, il en pleut tellement mes ailes en étaient recouvertes. Je n’ai plus aucune douleur. Là où je vis, personne ne me fait du mal. Je suis un petit ange insignifiant mais qui vit une vie paisible, sans aucuns soucis ni guerres, sans aucunes jalousies ni traîtrise… Là où je vis, chacun exprime ce qu’il veut…Là où je vis, on est immortel et on a une vie sereine à jamais…
Tout à coup, l’illusion se déchira en deux. Odin était dans la base, la nuit berçant ses pensées. Un vent glacé parcourant sa silhouette. Le couloir des Morts lui avait encore jouer des tours, et essayer de laisser la Géante emprisonner dans ses illusions.
Elle passa la porte en ferraille du QG, et se retrouva dehors. Son corbeau grelottait, et ouvrait son bec irrégulièrement, les yeux ronds comme des billes noires, et aucun son ne sortait à chacune de ses ouvertures de bec. Il fixait Odin, ce qui la rendait mal à l’aise.
« Toi, au lieu de te planter de destinataire, tu feras mieux de manger quelque chose…
Ah…Et sinon, Minuit m’a dit d’aller par-là…A L’ouest du QG, si je me souviens bien de son message que j'ai jeter à terre en Enfer...»
Elle se mit en route, plus fatiguée que jamais. Plusieurs jours s’écoulant comme cela…
«Etrange… Il n’y a personne à l’horizon… » Du coin de l’œil, elle discernait son corbeau en train de dormir. Elle lui donna une petite claque, et lui adressa la parole :
« Grouille-toi, et va voir si Minuit à un message à m’apporter. » Elle lui tendit un parchemin
« Donne-lui ce message, lui disant que je ne vois personne et que je m’inquiète. »
Un petit moment passa, et le volatile noir charbon revint, ayant dans son bec (non, pas un fromage !
) un message.
La Géante, pressée, déroula le parchemin et y lisait :
« Tsss ! !Tu t’es plantée de direction, bravo ! »
