Legends of Olympia : L'Ode Mythologique - L'orphelin...
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L'orphelin...
Topic visité 7 fois
Dernière réponse le 01/11/2004 à 16:13

olymp Par roly  le 11/01/2004 à 08:58

Mon nom est Roly. Très peu de personnes me connaissent, et personne ne connaît mon histoire.
Durant de nombreuses années j’ai caché un secret qui me torture l’esprit depuis ma plus tendre enfance. Mais aujourd’hui j’ai décidé de le raconter.
L’histoire se passe il y a de cela environ 15ans aujourd’hui.

Ma mère et moi vivions dans une petite hutte construite des propres mains de mon père, mort au cours d’une guerre dont il ne revint jamais. Nous vivions heureux, malgré la mort de cet être cher dont on a mis du temps a nous remettre.

Aux alentours, il n’y avait que des arbres. L’endroit était si calme…Je me souviens, je devais avoir 5ans, je m’amusait a courir dans la vaste vallée qui bordait notre hutte. Puis je me laissais tomber dans l’herbe et écoutait le vent siffloter dans les arbres. A ce moment la, j’été persuadé que nous étions à l’abri de toute attaque, qu’aucun brigand ne nous trouverait dans un endroit tel que celui ci,qui était à mes yeux un sanctuaire ou seule la paix pouvait régner. Je croyais même que l’endroit était protégé par des anges .Cependant, mon avis ne tarda pas à changer…

Il était tôt et les premiers rayons du soleil nimbaient l’herbe d’une lueur froide qui faisait briller la rosée. Nous dormions encore profondément et les coqs n’avaient pas encore chanté quand brusquement la terre se mit à trembler…Les secousses étaient si importante qu’elles réussirent à me réveiller, moi qui n’avait pourtant pas le sommeil très léger. Tracassé, je me demandais ce qu’il se passait. Les saccades furent ensuite accompagnées d’un bruit étrange, que je n’arrivais pas à distinguer. Le bruit semblait se rapprocher et les tremblements de plus en plus important. Soudain, le vide. Plus aucun bruit ne se faisait entendre et les terribles vibrations s’étaient de même arrêtées. Puis un hennissement se fit entendre. Il venait de dehors, juste devant chez nous .J’en étais persuadé.

Je courus vers la porte d’entrée qui se tenait à quatre ou cinq enjambées de ma chambre, mais que se passait- il donc? Je n’en avais aucune idée… Je me tenais maintenant debout devant cette grande porte, mais j’hésitais à tirer la poignée, ayant peur de ce que je trouverai derrière celle-ci. Prestement, ma mère me retînt, et s’agenouilla devant moi. « Chéri je t’en pris, va t’en, dehors se trouvent des hommes qui vont m’emmener avec eux, ce sont des gardes qui n’ont aucune pitié, ils n’hésiteront pas à te tuer… Je veux que tu partes, emporte avec toi ceci ». Je fus stupéfait de voir qu’elle me donna le collier que mon père lui avait offert. « Mais… Maman pourquoi …pourquoi me donnes tu ce collier de perles que tu aimes tant ?
-Va t’en maintenant, Roly, il est trop tard pour t’expliquer maintenant, Mais … elle se pencha un instant et je remarquais alors que des larmes glissait sur son visage, puis elle reprit : Saches que je t’aime Roly. Et que si je fais ça c’est pour ton bien.
-Mais,… Maman dit moi qu’on se reverra ! »
Doucement, elle me prit dans ses bras et me souffleta à l’oreille : « Adieu Roly… »
Puis elle se leva, et se mit à marcher vers la porte de bois mouillé avec un pas de condamné…

Je retenais en moi et avec peine mon émotion, Si forte était elle et des gouttelettes de tristesse commençait à descendre le long de mon visage… Je savais qu’il lui arrivera quelque chose…
Mais ne voulant pas la décevoir je me mit à marcher à mon tour, mais vers la direction opposée à celle de ma mère… J’ouvrit la porte comme s’il ne rien était et voulu me persuader que j’allais simplement faire un tour, et que quand je reviendrais ma mère m’aurait cuisiner un de ses bons plats dont je me régale chaque jour. Je vit alors devant moi cette grande plaine que j’admirais à chaque fois que je sortais me reposer. Et, pour la première fois alors, je doutais du calme et du dépourvu de malfaisances sur cette terre.

Comme si je ne voulais pas savoir ce qu’il se passait et dans l’ignorance, je me mis à courir du plus vite que j’ai pu comme un athlète cherchant à battre ses records ; et, arrivé sous mon arbre favori, je m’allongeai sur l’herbe fraîche.
Quand soudain mon cœur se serra, je venais d’entendre un cri, un cri de douleur, et c’était …
C’était elle … Je l’avais reconnue… C’était la voix de ma mère … Une partie de mon corps me faisait atrocement souffrir, je ressentais moi-même une douleur… Je poussa des alors des petits cris, et sans pouvoir m’arrêter, Je me mit à pleurer.

Je venais de comprendre ce qu’il m’arrivait, et c’était terrible :
J’étais orphelin …



olymp Par roly  le 11/01/2004 à 09:01

Bon c'est ma première véritable chronique postez des commentaires s'il vous plait j'en ai besoin pour progresser .
Desolé j'ai oublié de fermer un italique ...



geant Par Mimir  le 11/01/2004 à 10:46

HRP : A part les petites erreurs de temps, c'est nickel, continue ! ^^
/HRP



hs Par Kalik, âme errante  le 11/01/2004 à 16:13

HRP: Il était temps que tu la postes, depuis le temps que tu l'écris
Enfin le résultat est bien, continue comme ça /HRP