Gôb’Mooch était descendu en Astoria pour y exercer un entrainement "intensif" et aussi pour retrouver la femme qu’il aime, sur le chemin d’Astoria il put s’entrainer plus qu’il n’en faut mais une fois arrivé a Astoria il commença a négliger l’exercice pour ce concentrer sur quelque chose de moins guerrier mais tout aussi actif, jusqu’au jour ou un il appris la nouvelle par un elfe qui le criais tout partout

-Sigdil est prise, Sigdil est prise !!

Gôb’Mooch fut tout a coup pris de remords de ne pas être resté présent pour la défense de la ville, mais il ne regretta pas longtemps, l’elfe enchaînait.

-Toutes les forces disponibles doivent ce dépêcher de porter secours, la ville doit être reprise, toutes les forces disponibles partent le plus tôt possible pour reprendre la ville !!

Puis dans l’heure qui suivit, Aéris reçu l’ordre de porter secours a Sigdil, ils ce mirent donc tout deux en route pour Sigdil, sur le chemin ils croisèrent beaucoup d’elfe qui ce dirigeaient vers Sigdil, la nouvelle avait fait bouger les choses, tout Olympia ce réunis pour repousser et détruire l’Apocalypse ainsi que les Seven. La route fut longue mais finalement le couple arriva à Sigdil, le spectacle était horrible, une armée de Géants faisait face aux autres races d’Olympia qui était trois voir quatre fois plus nombreuses mais l’écart ne ce faisait pas, personne ne prenait de terrain, la bataille n’avançait pas. Cette guerre déchirait le cœur de Gôb’Mooch, ses frères de race s’entretuaient,il ne pouvait supporter ce massacre, puis Aéris ce dirigea vers le champ de bataille, il ne la vit pas tout de suite mais en regardant a côté de lui il s’aperçu qu’elle n’était plus là, il la chercha du regard et quand il la trouva une flèche perdue vint s’enfoncer dans son corps, Gôb’Mooch ne put tout d’abord pas bouger puis en quelques secondes il arriva à côté du cadavre, il sentit la rage monter en lui mais il n’eut pas le temps de ce relever qu’un énorme masse vint lui ouvrir la crâne. Il n’était pas mort, blessé mortellement mais pas mort, par contre le cadavre d’Aéris était bien présent à côté de lui, ça vue lui fit remonter tout le contenu de son estomac, cela n’arrangeait pas son état de santé, il ce mit sur le dos et regarda le ciel, il était nuageux, très nuageux, tout gris, ce ciel puait la mort, Gôb’Mooch ferma les yeux et attendit, il ne pouvait ce relever alors il attendit le moment où il retrouverait ce lieu horrible qu’est le royaume d’Hadès, mais ça ne venait pas, son esprit voulait mourir mais son corps ne le voulait pas, il décida donc de laisser son corps agir seul, Gôb’Mooch ce releva, pas lui mais son corps, l’arc a la main, il tendit une flèche puis tira au hasard dans la foule, il ne marchait plus par réflexion, mais par instinct, son corps le dirigea d’abord vers le champ de bataille puis il tourna, Gôb’Mooch n’allait plus combattre contre les assaillants de Sigdil, maintenant il ce dirigeait vers Zagnadar, pour délivrer son peuple. Il évita tout les obstacles, il n’avait plus aucune consistance, c’est comme s’il n’était plus la, on voyait son corps, on pouvait toucher son corps, mais on ne pouvais sentir son corps, et il avançait, ses pas était rapide mais doux, comme si il était porté par le vent.