Représaille | |
Topic visité 272 fois Dernière réponse le 24/08/2006 à 20:33 |
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L’Ombre de Salminar avait, il y a quelques lune de cela, attaquer Quatar et tuer de nombreux habitant de la cité, sans raisons valables. Ce jour là Constantin avait assister impuissamment à la scène, sans pouvoir répondre efficacement à la menace : très peu d’Ombre avait été éliminer.
L’olympien n’avait proférer aucune menace, aucune injure, rien qui ne laissait apparaître sa rancune, bien dissimulée derrière un visage serein et calme. « Un jour viendra. » Annonça il dit lors d’un repas entre Sombre Exécuteur. « Mais attendons le moment propice… » Constantin n’avait pas pour habitude de laisser des agressions contre ses hommes impunies, et durant de longues semaines il prépara minutieusement une vengeance, sans que personne ne s’en doute. « Heinrich, viens avec moi nous partons! » Constantin réveilla l’olympien dans la nuit, alors que la lune éclairait la cité des hors la loi. « C’est le moment! » Heinrich n’eu pas besoin de réfléchir bien longtemps, il savait de quoi parlait son frère d’arme. Les deux olympiens enfourchèrent leurs montures, et passèrent les lourdes portes de Quatar alors que les autres Sombres Exécuteurs protégeait farouchement une mine. « Comme on bon vieux temps mon ami. » Les deux silhouettes s’éloignaient rapidement dans la brume de la nuit, galopant vers les villages qui bordaient la cité blanche. Ce n’est que tôt dans la matinée que les deux olympiens aperçurent un village, construit sur les bords d’une rivière. « Soyons sans pitié… » Les mots que venait de prononcer Constantin étaient lourds de sens, et pourtant ses yeux ne reflétaient aucune animosité. Constantin eu à peine terminer sa phrase qu’Heinrich galopa vers le petit village, une torche à la main, sa hache infernale dans l’autre. Rapidement des flammes s’échappaient des toits en paille des maisons, rythmer par les cris de la population. Heinrich était descendu de sa monture, faisant dangereusement tourner sa hache au dessus de sa tête, s’arrêtant uniquement pour tuer un hommes qui tentait vainement de lui résister. Constantin était toujours sur sa monture, éliminant les fuyards, pendant qu’Heinrich les effrayant au centre de la place. L’olympien admirait se spectacle, enfin il payait pour leur attaque sur Quatar. « Si seulement ils étaient rester chez eux, rien de tout cela ne se serait produit. » Alors que l’esprit de Constantin s’éloignait peu à peu de la réalité, à la fois enivré par l’odeur de la chaire brûlée et du sang coulant sur son armure noire, trois soldat revenant des forêts non loin de là le rappelèrent à l’ordre. Sans s’en rendre compte l’olympien c’était éloigné du village, sûrement pour achever l’homme qui gisait à ses pieds. « C’est vous qui avez fait ça? » « A votre avis? » Les trois hommes se regardèrent, ne sachant apparemment que faire. Constantin profita de l’opportunité pour porter de puissants coup à l’un d’eux. Celui-ci tomba inéluctablement au sol, sa main plaqué sur son ventre, du sang coulant entre ses doigts. Les deux autres olympiens sortirent leurs lames, mais étrangement ils tendirent tout deux leurs mains, comme pour éviter le combat. « Qui êtes vous? Pourquoi faites vous cela? » Constantin ne put retenir son étonnement, qui passa par la baisse de sa garde et un regard presque rassurant. « Um… interessant. » « Vous dites? » « Pour répondre à votre question, je suis un Sombre Exécuteur… » Constantin ne savait si c’était l’incompétence ou une réel bonne foi qui les rendaient si pacifiste, mais l’olympien prenait un malin plaisir à les voir à l’œuvre. « Laissez cet homme en vie, il ne vous à rien fait… s’il vous plait. » « Pourquoi ne le ferai-je pas? » « Pourquoi le feriez vous? » Constantin échappa un sourire, presque imperceptible, en quoi de lèvre. L’olympien agonisant toujours, retenant du mieux qu’il pouvait son sang qui marquait le sol. Le Sombre Exécuteur l’observait du coin de l’œil, et lorsqu’il le vit ramper vers ses compagnons, Constantin lui porta le coup fatale. Il enfonça sa lame dans son dos, transperçant son cœur dans un dernier souffle. « Parce que Lardanium est responsable du carnage, qu’elle provoqua il n’y a pas si longtemps encore. » Constantin rangea sa lame dans son fourreau et monta en selle, prêt à rejoindre Heinrich, qui l’attendait sûrement sur le chemin du retour… ( HRP// L'histoire se termine là si bien sur les deux survivants ne désirent pas prolonger la bataille ![]() |
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- NOOONNNNNNN !
L'Olympien Herik se précipita vers son compagnon Kane, qui gisait au sol, après les frappes barbares de Constantin. Il ausculta rapidement la victime ; celle-ci venait bel et bien de succomber. - Constantin, vous êtes décidemment aussi cruel que misérable! Vous nous parler de représailles à la suite d'une bataille à laquelle nous n'avons jamais participée, ni aucun habitant de ce pauvre village. Ce village, bien qu'olympien, était même en bon terme avec Quatar, et entretenait des relations commerciales avec votre cité. Herik regarda de nouveau le village en flamme d'un regard affligé, puis baissa les yeux vers son compagnon à terre. Faut-il que vous ayez si peu de courage pour ne pas vous en prendre directement à ceux qui vous ont affrontés par le passé? On bien faut-il comprendre en réalité que votre sombre entreprise de chasseurs de primes soit à ce point infructueuse, pour que vous vous en preniez aux premiers innocents que vous croisez, et cela juste pour étancher votre soif de sang?!? Vous êtes méprisable et faîtes honte à l'honneur de Quatar! J'espère que votre vie sera aussi courte que votre sagesse... [Ambassadeur d'Ordenum] |
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Apecevant le drame au loin, Alexvodka, compagnon de voyage de Kane, Ëlowda et Herik, se rendit compte que tout est terminé, il y avait plus rien à faire!
- C'est ainsi qu'est faite la justice ou injustice cela dépend dans quel camp on se place : on attaque les Quatarites qui plus est ceux-là sont les Sombres Exécuteurs, il y a nécessairement un retour de bâton. Peu importe qui se dressait devant eux lorsque la soif de vengeance est fortement présente en eux! Notre compagnon a payé le prix fort malgré lui!! Se disait le Lardanien. C'est aussi comme cela que les guerres perdureront car la vengeance n'a jamais de limite... sauf s'il y a toute de même quelques individus suffisamment intelligent et respectueux pour comprendre qu'il ne sert à rien de sortir son épée et qu'il vaut mieux rediscuter calmement!! Les ODS ont attaqué les Sombres Exécuteurs sans raison cela n'est pas normal et pas de mon ressort d'apporter quelconque critique : c'est la dure loi des hégémonistes et chacun aura toujours son mot à dire pour justifier la raison d'un tel acte!!! Jadis j'ai croisé sur mon chemin un Certain Heinrich, il y a eu une petite altercation entre ce dernier et Ragounia une petite fille encore immature de notre groupe qui s'est très bien terminé! Depuis lors nous avons toujours eu de bons contacts. Il a certes changé de camp bongré ou malgré lui en tout cas cela n'a pas changé mon respect envers lui. Alexvodka perdu dans son monologue, aperçut soudain au loin justement la personne qui était à l'instant même dans ses pensées! - Heinrich!! Me reconnais-tu? Autrefois, te rappelles-tu, il y avait cette petite altercation avec Hirald j'étais témoin des actions et peu après tu m'as dit que tu es devenu copain avec ce dernier...autour d'une bonne rasade! Après tout ça, on se croisait de temps à autre!! Alors comme cela tu es devenu un Sombre Exécuteur? C'est vrai que ce groupe répond mieux à tes attentes après un bref passage chez les CN!!! Tu es arrivé trop tard quelque soit tes intentions au sujet de cet événement qu'est survenu à un de mes amis Kane qui ne pouvait rien faire face à Constantin! En ce qui me concerne, je retourne vers Lardanium. Ma présence ne sert à rien ici! Il repensait à ce règlement de compte et se disait que cela aurait très bien pu être lui la ivctime et Heinrich suivant son compagnon ne l'aurait certainement pas reconnu! Alexovdka, baissa ses épaules! Par la sueur de votre front,
Par la force de votre bras, Par le courage de votre coeur, Vous réussirez et vous vaincrez! |
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La silhouette de Heinrich se rapprocha légèrement de l'olympien qui l'avait interpelé, restant indistincte.
Oui je te reconnais Alexvodka... Et comme autrefois tes paroles sonnent bien plus juste qu'il n'y parait. Cet autrefois est toutefois loin et de l'eau a coulé sous les ponts. Se rapprochant encore, Alexvodka pu voir distinctement Heinrich : son armure était couverte d'un sang qui ne semblait pas être le sien et qui couvrait également le tranchant de sa hache. Le regard sombre et sans émotion il ajouta simplement. Ici il n'y a que la guerre et le sang qui remplacent nos âmes. Nous tuerons ou serons tués pour et par cette hérésie... |
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Dépité et en larme suite à l'assassinat d'un de ses amis, Ëlowda voulut frapper le commanditaire de cet acte hodieux. Arrivant à hauteur de Constantin, Ëlowda dégaina son épée malgré sa faiblesse et le peu de chance de vaincre le Sombre Executeur. Au dernier moment, son ami Hérik Denoisel retint son geste afin d'éviter une nouvelle tuerie.
Les mots que lui murmura Hérik à l'oreille, permirent à Ëlowda de calmer quelque peu sa douleur et sa colère. Sache Constantin, que les Dieux nous observe, et que quoi tu puisses dire pour te défendre de ce geste impardonnable, l'avenir rendra toujours justice à un innocent. Kane, aujourd'hui je te rend aujourd'hui hommage car, dans ta vie, tu n'aura commis qu'une seule erreur , celle de croiser la route d'un être méprisable répondant au nom de Constantin, le méprisable. Puis se retournant vers Lardanium La vengeance est un geste lâche quand on voit quelle en sont les victimes ..... tout ceci n'est que prétexte pour tuer. Mais un conseil Constantin, ne me tournes jamais le dos et ne poses jamais un genou à terre, sinon tu pourras être sûr d'apercevoir ma silhouette se précipitant pour te regarder mourir avec souffrance et cracher sur ton corps encore chaud. Ëlowda reprit alors sa route vers sa ville natale en portant le deuil d'un de ses compagnons, Kane, mort pour avoir été olympien. Il savait très bien que l'excuse de Constantin ne tenait pas debout puisque Kane n'appartenait ni à Ordenum, ni à Lardanium et cela le rendait fou de rage. Mais malgré tout, comme lui avait rappelé Hérik, il fallait que des gens fassent des sacrifices afin d'apporter un espoir de paix sur Olympia. Ce sacrifice, Kane l'avait payé au prix fort. Que les Dieux nous protègent, nous, pauvres marchands pacifistes ne souhaitant que la paix et le développement de leurs villes respectives.pensa Ëlowda en séchant ses larmes Il n'y a plus aucune justice de nos jours, c'est à se demander si les Dieux existe réellement....... Il faut vivre ses rêves, et non rêver sa vie ! .....
[Mineur de manas d'Olympia] |
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Constantin avait ranger son épée dans son fourreau, tout en tenant le garde bien serrée dans sa main.
En effet les Dieux nous observent, mais vous semblez oublié qu'Hadès en est un... Maintenant si vous voulez cracher son mon corps mort, vous pouvez toujours essayer de me tuer, mais je ne vous promet rien. Constantin avait ranger son épée dans son fourreau, tout en tenant le garde bien serrée dans sa main. La guerre n'a d'autre sens que la survie, les gens l'acceptent plus ou moins. L'olympien accorda un dernier regard à Ëlowda. Pensez ce que vous voulez qu'en aux raisons de cet acte, mais n'oubliez pas que d'autre tuent eux aussi, dont l'Ombre de Salminar, et pourtant je ne les ai pas insulter, c'est ainsi... |
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HRP : juste une petite remarque ... ^^ j'aime bien cette chronique lol, ça baisse encore notre réputation c'est génial [Famille Falk]
La Liberté est enfin à portée ! |
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HRP// Bah pour changer ![]() ![]() |
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Les Sombres Exécuteurs avaient maintenant disparu à l’horizon, en direction de leur cité, Quatar. Alexvodka, Ëlowda et Herik avaient enveloppé dans un drap le corps de Kane, leur compagnon de route, et ce jour-là d’infortune. Ils devaient le ramener au plus vite dans un temple, là où peut-être les Dieux daigneront lui redonner vie. Les trois Olympiens avaient donc repris leur route, mais s’arrêtèrent finalement après quelques centaines de mètres. Ils ne pouvaient quitter des yeux le spectacle d’horreur et de désolation, que les Sombres Exécuteurs avaient laissés derrière eux. Le village flambait toujours.
Les trois compagnons ne pouvaient se résigner à abandonner le village dans une telle misère. Il fut décidé qu’Ëlowda et Herik s’attarderaient un peu dans le village pour aider ses habitants, pendant qu’Alexvodka s’occuperait d’atteindre le temple le plus proche. Alexvodka était le plus rapide d’entre eux. Il s’était donc naturellement proposé pour cette mission funèbre. Ëlowda et Herik s’approchèrent donc du village. Au fur et à mesure que les Olympiens s’avançaient, l’affliction devenait plus intense. Des corps sans vie jonchaient le sol. Une grande partie des survivant pleurait. Certains restaient debout immobiles, abasourdis, ne semblant pas comprendre ce qui venait de se produire. Les plus réactifs avaient déjà formé une petite chaîne humaine, qui s’étirait entre le village et la rivière toute proche. Des seaux d’eau cahotant de main en main étaient acheminés vers ce qui pouvait encore être sauvé des flammes. Herik se décida à les rejoindre pour les aider. C’était peut-être ce qu’il avait de mieux à faire à cet instant. Son compagnon Ëlowda prêtait déjà main forte à d’autres villageois pour rattraper et regrouper le bétail qui s’était éparpillé autour du village. Alors qu’Herik s’avançait à grand pas pour participer à l’extinction des feux, il entendit des pleurs enfantins qui attirèrent son attention. Il s’immobilisa pour mieux percevoir d’où provenaient ces pleurs, et en découvrit finalement la source. Les genoux à terre, une fillette de 4 ou 5 ans était recroquevillée au dessus d’un corps. En larme, et d’une voix étouffée, elle ressassait les mêmes mots : - Papa ! Réveille-toi… réveille-toi ! Herik s’approcha doucement et mis les mains sur les épaules de la petite fille. - Relève-toi mon enfant, je vais regarder ce qu’il a. La voix de l’Olympien était hésitante : Herik savait déjà qu’il n’y avait, en réalité, plus rien à espérer. Une plaie béante s’enfonçait profondément dans le cou du défunt. L’enfant resta accrochée à son père, en pleurant de plus belle. - Viens, reprit l’Olympien ! On va chercher ta maman ! - Ma maman est déjà morte au cimetière ! Désemparé, Herik sentit son cœur se lever et s’effondrer aussitôt, comme un lourd boulet de canon, au fond de sa poitrine. Il ne savait plus quoi dire, ni comment gérer cette situation. Heureusement, une dame finit par s’approcher, avec beaucoup plus de tact. Elle devait être une proche voisine car elle semblait bien connaître la petite fille : - Viens Elyséa, nous allons déplacer ton papa. La fillette se releva, en reniflant. La Dame la prit dans ses bras, et fit un signe de la tête à deux hommes qui venaient d’arriver. Ceux-ci s’abaissèrent vers le corps pour l’attraper, et le transportèrent vers la place centrale de la ville. Herik resta agenouillé un instant, hébété. Il se releva lentement. A ce moment précis, l’écoeurement et la tristesse se mêlèrent à la colère. Il aurait voulu tordre le coup à ces maudits Sombres Exécuteurs, enfoncer son épée dans leurs entrailles, aussi profondément que sa force pouvait le permettre. Il était prêt à cracher sur ses propres convictions et ses principes pacifistes. Il reprit ses esprits et s’en alla aider les villageois. Quelques heures après, les feux étaient éteints. Les cadavres avaient été regroupés et alignés sur la place centrale. Chacun d’entre eux était recouvert d’un drap. Seule leur tête restait visible pour que tous les villageois puissent distinguer qui n’allait désormais plus participer à la vie du village. De nombreuses familles pleuraient leurs morts. Ëlowda et Herik pouvaient maintenant quitter cet endroit effroyable, et laisser les villageois organiser les funérailles. Les deux Olympiens s’éloignèrent sans mot dire. Herik regardait à peine sa route, perdu dans ses pensées noires. Cependant, il se défendait d’haïr Quatar. Il savait qu’il ne devait pas juger tout un peuple sur les actions, aussi cruelles soient-elles, de quelques individus. D’ailleurs un parfait exemple lui revint en mémoire. Il se souvint de l’Elfe que ses amis et lui, avaient rencontrée il y a plusieurs saisons. Elle se nommait Damahira. Ils avaient fait route ensemble un long moment, et l’Elfe avait raconté une partie de son tragique passé. Sa sœur avait été violée puis assassinée par des soldats de l’armée olympienne. Damahira, les yeux remplis par ces visions d’horreur, avait ensuite vu ceux qu’on appelait les Hors-la-loi de Quatar, fondre sur les Olympiens. La bataille qui s’ensuivit fut comme maintes batailles, sanglante et cruelle. Damahira s’était lancée aussi dans cet assaut. Quand tout eut été fini, et malgré la perte de sa sœur, elle s'était senti redevable envers les Quatarites, qui par la suite, l’avaient chaleureusement accueilli. Quatar abritait des bonnes âmes. Et parmi elles, vivait désormais Damahira. C’est ainsi. Le mal est partout ; il s’insinue chez tous les peuples. Mais il y a du bon aussi. Oui, la ville de Quatar n’est pas toute noire… [Ambassadeur d'Ordenum] |
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HRP/
En fait je sais pas quoi dire.. "Exellent" devrait etre de mise je pense!! C'est vrai tu renierais tes convictions Herik?? Toi, un fervent pacifiste?? ^^ Au fait, je voulais te remercier, car c'est rare de voir quelqu'un qui ne dit pas de mal de Quatar!! Et sa fait vraiment plaisir.. /HRP L'Ombre ne survit que par la Lumière..
Archéos est donc la flamme de mon existence.. Profitons-en et brûlons nos ennemis avec! |
Par Google   |
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HRP// Oui mais je passe pour ce que je ne suis pas totalement ![]() |
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HRP :
Si vous êtes intéressés par le passé de Damahira, je vous suggère d'aller lire sa chronique (très bien écrite) : Nous n'aurions jamais dû [Ambassadeur d'Ordenum] |