Chapitre I: CE QU'IL Y A APRES LA MORT

J’avais demandé aux Rocs, aux Sourceurs et aux membres de la Division Blindée, présent en ville, de se rassembler, non loin au Sud de Zagnadar. Mastok, déjà sur place depuis quelques temps, m’envoyait régulièrement un compte-rendu sur sa position et les elfes se trouvant non loin.

Bientôt, une bonne partie de mes frères furent réunis et alors que Mastok prenait quelques coups en tailladant quelques elfes, Orphée puis Methos s’avancèrent trop dans les lignes ennemies et y périrent. Mastok, quant à lui, bien qu’amoché, continuait à se battre avec véhémence contre un elfe non loin de lui. Il n’avait pas été recruté pour rien à la DB. Voyant le géant de Terre commencer à faiblir sous les sorts répétés des elfes, je m’interposais et fit reculer l’elfe de deux coups d’épée dans le buste. Fredericus ayant suivit le mouvement vint faire de même, protégeant tout deux notre collègue de la DB. A notre vue, l’elfe s’enfuit vers le Sud.

C’est à ce moment que je reçus un pigeon de Samir : la Stratégie dans la grotte avait fonctionné. Les elfes subissaient de lourdes pertes. C’était la débandade à la grotte. Je n’en n’étais pas peu fier vu mon implication dans cette histoire.

C’est alors que rangeant la lettre de Samir dans ma besace, dans les plis de mon ancienne robe d’archimage que j’avais retaillé pour une occasion spéciale récemment, qu’une nuée de pierre s’abattit sur moi. Après avoir encaissé temps bien que mal, j’eus un mal fou à respirer : un sort d’air vicié.

- Là bas ! Death empoisonné et blessé ! Entendis-je alors.

Relevant la tête, j’aperçus Leackim et Phararon du caracal, sûrement les auteurs de ces sorts. Je vis l’elfe qui attaquait Mastok quelques minutes auparavant courir vers les siens. Il m’aurait été facile de reculer et d’enclencher ma protection, mais j’étais rapide comme l’éclair, peu de monde sur Olympia pouvait atteindre ma vitesse. Il m’aurait été facile de le rattraper, de passer au milieu de ces 4, 5 elfes sans même qu’ils puissent réagir, d’achever ma cible et de repartir.

Ma proie commença à s’essouffler, je sortis donc ma faux, bousculai Awandiel et Zerka, et infligeai deux coups à l’elfe qui tomba au sol dans un sale état. Ma faux se leva alors, prête à lui asséner le coup de grâce, quand je sentis un poids sur les épaules, comme si la voûte céleste venait s’écrouler sur moi, pour me laisser porter les étoiles. Je rabattis rapidement ma faux vers le sol pour ne pas m’écrouler, et m’appuyai dessus. Me retournant, j’aperçus Aislinn et Aeclemonion du caracal eux aussi me coupant la retraite. Je souris.

-Il semblerait que notre récente victoire à la grotte m’a grisé au point d’en avoir négliger la Leçon n°1 de Deflagrator… La plus importante…

Aislinn me regardait, je ne saurais dire s’il avait compris ce que j’insinuais.

Les elfes sont peut-être des purges, mais j’ai négligé le fait qu’ici, c’était les caracals plus que les elfes que nous affrontions… c’est donc la volonté des éléments… Mon erreur servira de leçon à tout mon peuple. Je n’ai qu’un regret…

Je m’arrêtai net, crachant une gorgée de sang. L’elfe, encore à mes pieds, quelques secondes encore auparavant, venait de se protéger lame en avant sur mon torse. Mais son coup ajusté avait manqué le cœur, frappant très en dessous de l’organe vital.

-Même pas en rêve petit ! Hurlais-je en repoussant l’elfe au sol d’un coup de semelle sur le visage.

Et alors que je me retournais pour faire part de ma dernière volonté à Aislinn, sachant son amitié avec les géants, j’étais sur qu’elle parviendrait à qui de droit. L’elfe que je venais d’envoyer au sol pour la seconde fois, Huan, se releva d’un coup sec sortit une seconde lame des plis de ses vêtements et ajusta à nouveau sa lame qui passa sous mon aisselle gauche et ressortit non loin de mon visage, perforant le cœur. L’elfe serait les dents, appuyant comme un diable sur son arme. Aucun mot ne put sortir de ma bouche. Le sol se déroba sous moi. Je serrai fort ma besace pour ne pas perdre la précieuse étoffe qu’elle contenait et tombai dans une chute sans fin.

Puis finalement, après une chute de plusieurs kilomètres, je heurtai ce qui devait être le sol avec une violence inouïe, mais pourtant, je ne ressenti aucune douleur. Je gisais au sol, Arkan toujours dans ma main, trouvant à peine la force de me relever. C’est alors que j’entendis une voix grave.

-Ah ah ah… Deathscythe…

Je me redressai péniblement, prenant appui sur ma faux, tentant de voir qui me parlait. Je me trouvais face à un mur qui présentait deux ouvertures, chacune surmontées d’un fronton richement orné, et bordé de deux colonnes. A travers celle de droite, on pouvait admirer un paysage à l’ambiance chaude, baignant dans une lumière dorée, un lieu idyllique: les Champs Elysées. A travers celle de gauche, on entrapercevait un fleuve noir comme l’ébène, duquel tous les tourments du monde semblaient s’évaporer : le Tartare.

Et entre ces deux portes, un vieux barbu, bien plus grand que n’importe quel géant, assit sur son trône.

-Ha…Hadès !

Aucun autre mot ne put sortir de ma bouche. Bien que j’aie souvent critiqué par le passé les dieux olympiens, je ne m’étais jamais retrouvé en face de l’un d’eux. Et je ne saurais expliquer pourquoi mais j’eu le sentiment que je devais autant de déférence à ce dieu qu’à -=Terre=- elle-même.

Le dieu eu un sourire en coin.

-Bien ! Je suppose que tu sais où tu es… cela faisait très longtemps que j’attendais ta visite…Deathscythe… Et cela fait autant de temps, que j’attends celle d’Huan, celui qui t’a envoyé ici.

Trop épuisé, je ne répondis pas et me contentai d’écouter.

-Très bien… Malgré tes meurtres, ton bras a souvent été guidé par la justice, la foi et l’honneur… je t’offre donc l’accès aux champs Elysées.
A ces mots, la porte de gauche se ferma. Je fis alors un premier pas vers la porte de droite et le Dieu des Enfers reprit alors.

-Néanmoins… il est vrai que tu as contribué, de prêt ou de loin à m’amener un bon nombre d’âmes… il serait dommage de perdre un élément tel que toi… Et puis… j’aime bien ton style.

Le Dieu sourit et fixa ma faux un moment avant de revenir sur moi.

- Je te propose donc de retourner dans le monde des vivants afin de te venger.

A ces mots, un escalier tomba de ce qui semblait être le plafond devant la porte de gauche. A croire qu’il ne plaisait guère a Hadès d’envoyer quelqu’un aux Champs Elysées.
Quelques saisons plus tôt, j’aurais certainement pris la porte de droite, mais plus que le fait de ne pouvoir me venger, c’était l’absence de Grise que je ne pourrais supporter dans cet enfer pourtant parfait. Sans celle qui avait changé ma vie, cela n’en valait pas la peine.

M’appuyant sur ma faux, je me dirigeai donc vers l’escalier et commençai à gravir doucement les marches.

- Bien… ramène-moi la tête d’Huan… Il me languit de le rencontrer.
- Avec Plaisir…

Je montai péniblement les marches. Les dieux olympiens pouvaient donc aller contre la volonté des éléments. Ils étaient aussi très doués pour manipuler les gens. Comme quoi, même ce qui tue peut rendre plus fort…

C'était une belle journée pour mourir Death.
Les augures étaient favorables.

Il semblerait effectivement...
merci pour le coup de main et merci a Hades.

Chapitre II :RETOUR A ZAGNADAR

4111, 4112, 4113…

Je montais les marches de cet escalier gigantesque qui ne semblait ne mener que vers d’autres ténèbres.

4114, 4115, 4116…

Soudain j’aperçus comme une dalle horizontale qui semblait sceller l’escalier. Un piège d’Hadès ? Je continuais… Les géants assumaient leurs choix jusqu’au bout, quels qu’en soient les conséquences.

4117, 4118, 4119…

La dalle s’ouvrit alors en son centre et se rétracta des deux cotés de l’escalier laissant apparaître la lumière blanche, aveuglante, du monde des mortels.

4120, 4121, 4122…

J’y étais presque. Olympia me tendait les bras, je distinguais maintenant les maisons de Zagnadar ainsi que la forge : Ma maison.

4123, 4124, 4125…

La dernière marche. Le dernier pas. Celui qui me sortirait des enfers. J’inspirais profondément et la gravissais.

4126…

La dalle se referma brusquement derrière moi dans un fracas : J’étais a nouveau vivant.

C’est alors que je vis une foule de pigeons s’abattre sur moi. Tous les messages des différents combattants. Rocs, citoyens, quatarites… tous avaient considérés ma mort et avait réagis de la meilleure façon qui soit en prenant la relève pour organiser le front, notamment Balgor Dargoath, le sourceur qui avait pris le commandement aprés ma mort. Ni une, ni deux, je fonçais vers l’autel élémentaire de la Terre, le plus proche de la forge. J’en profiter pour adresser une petite prière a l’élément, et sortais aussitôt de Zagnadar. Je descendis les montagnes en deux jours, puis après une journée de marche dans la plaine j’atteignais le front.

Fredericus m’annoncça alors la meilleure nouvelle qui soit. Il venait de blessé sévèrement Huan, qui avait pu s’enfuir en boitant vers le sud. Ni une ni deux, je tentais ma chance pour respecter la promesse faites a Hadès. Je m’avançais et sortant deux cailloux ramassés dans la montagne, je les lançais sur l’elfe. Il para le premier d’un mouvement circulaire de son épée mais le second passa sa défense le touchant au crane. Celui-ci tomba au sol, je souriais, jusqu’à le voir se relever, la boite crânienne visiblement amoché, il me faisait face tel un zombi. Une lumière aveuglante traversa l’espace et foudroya le ranger de la GdC qui tomba cette fois-ci pour de bon.

-Mouais… au moins Hadès sera content ! Dis-je alors avec une déception énorme de n’avoir pu me venger moi-même de si peu…

Les géants étaient maintenant revenus très organisés, après avoir subit quelques revers au départ, ayant attaqué au compte-gouttes. Nous avions considérablement limité le nombres d’elfes à proximité de Zagnadar, poussant les elfes plus a l’est, impuissants à la grotte à venir soutenir les renforts proches de Zag. Depuis le début nous combattions a 2 contre 1 et maintenant que nous repassions un peu en surnombre, les elfes de la grotte arrivaient portant le rapport à 4 contre 1.

Ma tâche, aussi ardue soit-elle, serait donc double. Je devrais d’une part tenir la défense de Zagnadar le temps que nos alliés humains, à qui nous avions demandé de l’aide en présentant cette occasion comme une seconde chasse, aient le temps d’arriver pour renverser quelque peu la vapeur. D’autre part, il fallait que les troupes occupent les elfes et les sauvages suffisamment longtemps pour que les géants et nains à la grotte puissent installer leurs explosifs et la faire s'éffondrer, puis s’en aller.

Le fait que les elfes combattent à distance leur donner un avantage non négligeable. Ils restaient toujours le plus loin possible tout en pouvant nous toucher depuis que l’un d’entre eux c’était retrouvé face à Methos. En effet, ce n’est pas comme si nous n’avions pas l’habitude de combattre avec de tels ratios. Nous étions certes 4 fois moins nombreux, mais là où il faut 4, 5 voire 6 elfes pour tuer un géant, 1, 2, 3 géant au maximum suffisent à tuer un elfe.

Mais le fait qu’ils combattent de si loin me posait un autre problème : ils ne s’éloignaient pas assez de la grotte. Nous leur concédions donc un peu plus de terrain chaque jour afin de les en éloigner le plus possible, mais cela au dépend de nombreuses vies. Tant et si bien qu’une fois au pied de Zagnadar nous n’étions plus assez nombreux et plus assez organisés, les elfes étaient vraiment trop nombreux. Nos alliés devaient faire vite ! Sans compter quelques problème internes : un de nos alliés les plus efficaces du moment : Damahira de Quatar avait été tuée par un géant.

Face à cela, je donnais l’ordre de rentrer dans Zagnadar, afin de réorganiser les troupes et de donner du temps aux humains mais négligeant nos paires à la grottes. Je me dirigeais moi-même vers le haut des montagnes, espérant que les elfes rentrent dans Zag. Cela donnerai définitivement le temps aux gardiens de la grotte de s’échapper et un fois dans Zag, sans l'avantage de la distance et avec l'arrivée imminante des humains, ils n'auraient aucune chance.

Je gravis les montagnes en même temps que le soleil se levait. Une fois arriver à proximité de l'autel élémentaire de l'eau, je m’assis au pied de celui-ci et, regardant vers l’est, contemplais la bataille qui faisait rage un peu plus loin.

M’adossant à la stèle, je soupirais. Je savais pertinemment qu'aujourd'hui était un jour spécial, mais devant la réaction qu’avaient eu certains elfes quand j’avais essayé d’expliquer nos coutumes à l’assemblé, j’avais renoncé à envoyer une lettre aux dirigeants elfes afin d'organiser une trêve d'un jour. Les elfes m’auraient sûrement rit au nez, vu la considération qu'ils portaient aux éléments. -=Terre=- ne m’en voudrait sûrement pas, les conditions l’imposaient. Cette fichue guerre avait duré trop longtemps.

Je me relevais, puis regardais au Nord, cherchant des yeux l’autel de la Terre, avant de lui adresser une petite prière, me laissant aller à l’élément. Nous étions aujourd’hui, le premier jour de l’année 2033 du calendrier géant, jour de la Fête de la -=Terre=-, qui pour une seconde année consécutive n’aurait pas lieu.

Gravissant l’autel, je regardais ensuite au Nord-Ouest dans l’espoir d’apercevoir les humains de la CdF. C’est alors que j’écarquillais des yeux comme des billes. Je n’en croyais pas mes yeux ! Pourtant, aucun doute, c’est bien elle que je voyais en contrebas des montagnes. Je la reconnaîtrais entre mille. J’avais son portrait dans mon bureau… Salminar !

Chapitre III : UN CŒUR DE PIERRE ET UN MENTAL D’ACIER

L’Impératrice Salminar ! Ici ! Aussi prés des contreforts de Zagnadar ! Pourtant, aucun doute, c’est bien elle qui parlait à Balgor, là-bas, au pied des falaises avec cet air froid. Je me demande d’ailleurs comment elle pouvait s’empêcher de sourire vu l’accoutrement de Balgor.

Devant l’urgence, je lui avais prêter la robe d’archimage que j’avais décidé d’offrir à Grise. On pouvait donc voir un Balgor en robe courte décolletée, le moulant et le serrant, l’habit étant fait sur mesure pour le corps menu de Grise.

J’envoyais donc Idgarrow trouver Balgor afin de me tenir informé des dernières nouvelles. L’impératrice était venue accompagnée de trois mages et avait aperçut les humains un peu plus au Nord en descendant vers Zagnadar. Je lui demandais si quelques champions versés dans les prières de guérison l’accompagnaient, certains d’entre nous ayant grandement besoin de soin. Notamment Kimon, géant de Terre de la DB lui aussi, qui avait résisté presque quinze jours durant aux assauts des elfes, qui tentaient vainement d’en venir à bout. Il était dans un sale état, à bout de force, après avoir subit les sorts d’une dizaine d’Elfes et Hommes sauvages différents.

L’impératrice prit donc sur elle-même de soigner Kimon. Les blessures jusqu'alors cicatrisées de pierre et de roche disparurent redonnant à Kimon qui n’était plus loin des portes de Zagnadar une seconde vie. Il se mit à crier en sautillant.

-Salminar m'a fait un pansement !
Salminar m'a fait un pansement !
Salminar m'a fait un pansement !
Salminar m'a fait un pansement !
Salminar m'a fait un pansement !
Salminar m'a fait un pansement !
Salminar m'a fait un pansement !
Salminar m'a fait un pansement !
Salminar m'a fait un pansement !
Salminar m'a fait un pansement !


lalalaaa ...

Kimon n'avait hélas pas conscience qu'il avait un air hautement ridicule en sautillant de la sorte en s'approchant des tours de Zagnadar. Mais les elfes venaient de perdre leur seconde cible en peu de temps. En effet Balgor venait de leur échapper au bord de la mort. Il ne devait son salut qu’à la robe, que je lui avais prêté tantôt, qui l’avait protégé des attaques magiques.

Malgré le nombre de pertes élevées, nous avions de la chance dans notre malheur : Morgoth était venu combattre avec nous portant sur lui des cristaux. Et bien qu’il en ait perdu quelques-uns, les elfes et Hommes sauvages attaquaient de si loin, qu’ils ne purent ramasser les ressources avant nous. Morgoth ressortirait bientôt des enfers prêts à nous confectionner quelques atouts supplémentaires. Mais pour cela Balgor et moi devions nous hâter de lui préparer les ressources nécessaires. De plus nos alliés humains étaient arrivés et s’y ajoutaient les alliés opportuns qu’étais les impériaux, même si peu nombreux.

Cependant, le retrait dans Zagnadar, qui s’était effectué non sans mal, provoqua une triste réaction. Alors que nous avions suffisamment éloigné les elfes pour permettre a nos alliés de faire exploser la grotte et de s’enfuir sans être vu, les elfes n’ayant plus que quelques géants, olympiens et humains à combattre devant les montagnes. Ceux-ci avaient décidé de retourner à la grotte. Laissant une faible arrière garde qui fut balayé en moins de trois jours par une sortie géante qui alla appuyer le travail des combattants olympiens humains et géants déjà sur place.

Mais c’était trop tard pour ceux qui sortaient de la grotte. Les elfes s’étaient dirigés droit sur eux, dés que la grotte fut détruite et qu’ils n’eurent plus nul lieu où combattre pour contrebalancer l’avantage du nombre et de la distance. Tous mourraient les uns après les autres, un peu comme les elfes laissés par leurs compagnons devant Zagnadar. Remus mon ami, Deflagrator mon ancien mentor, coéquipier et ami, qui conserva la plupart de ses cristaux, faisant un beau pied de nez aux elfes, Kraztet le chef des GdA, Grise mon aimée, Hardaway mon oracle, Samir mon coéquipier sûrement celui en qui j’ai le plus confiance, Bayo mon Gardien de l’Air, Hrimthurs mon Gardien de l’Eau, Zack mon ancien élève et nouvel équipier, Ryoshin élève de Def, Boargdhanor Rocs de Zagnadar, Ganondorf mon élève, et le nain de la GTN Thrain. Seuls deux en réchappèrent. Esdeiogrh, que Dak et moi étions partis secourir et Mormus, grâce à ses bonnes relations avec les elfes.

Même si Balgor me conseillait beaucoup et codirigeait les opérations avec moi, ce massacre était ma faute : c’est moi qui avais donné cet ordre de repli, qui avait enclin les elfes à repartir.
Que tous les petits soldats qui envient les commandants s’y reprennent à deux fois avant de demander des responsabilités ! Encore aujourd’hui, je vis avec ce poids sur la conscience.

Chapitre IV : ETAT D’AME


Je sortais donc de Zagnadar, la besace pleine de petits pots de terre emplis de substances diverses et variées, préparées par Morgoth. Tous les elfes laissaient en arrière garde avaient déjà subit l’avancée de notre armée. Seuls les elfes de la famille Elanéssé accompagnés de quelques hommes sauvages et elfe du clan de l’ours tentaient encore de contenir l’armée de l’alliance, perdant peu à peu du terrain.

Puis arriva un message d’Esdeiogrh. Il avait réussit à s’éloigner considérablement de la grotte et à semer les sauvages, mais était encore poursuivit par le leader des Rôdeurs des Lunes : Nävis. J’interpellais Dak Tirak et nous prenions tous deux la direction du Nord afin de porter main forte à notre camarade. Chaque jour nous recevions des messages d’Esdeiogrh qui nous faisait par de son état, de ce qu’il voyait et des elfes et hommes sauvages qui le poursuivait.

Arrivant presque à la hauteur d’Esde, je m’arrêtais et tendais un bras devant Dak pour lui dire de faire de même. Je restais aux aguets scrutant les lieux et réfléchissant.

-Bon connaissant l’allure de marche d’Esde, il devrait arriver a peu prés ici dans la soirée. Reprenons des forces ! Si un elfe le suit on sera en mesure de le courser.

Je savais pertinemment que le seul elfe qui suivait peut être encore Esde était Nävis, et la mauvaise foi dont cette elfe faisait preuve depuis le début du conflit m’exaspérait au plus haut point. Esdeiogrh arriva finalement mais sans l’elfe, et alors qu’il continuait sa route vers Zagnadar. Dak Tirak et moi redescendions vers le Sud ou les humains venaient de disloqué le dernier bloc elfique qui nous empêchait d’atteindre la grotte, grâce à une manœuvre de contournement millimétrée.

Nous nous dirigions maintenant au sud, nous regroupant a quelques encablures de la grotte attendant les plus jeunes et les retardataires. Quand soudain, Deflagrator repéra une silhouette dans les fourrés. Il s’en approcha et un elfe s’en enfuit.

-Vindieu les gars ! Ils nous ont repérés ! En position d’attaques !

Le combat commença donc alors que beaucoup de nos troupes étaient encore en arrière. Mais bien que nous soyons, comme toujours, deux fois moins nombreux, les pertes semblaient égales de chaque cotés. Nos grenades semblaient compenser quelques peu. Nous avions lancer les grenades et tués deux des leurs, de l’autre coté, ils avaient fait des opérations « anti-humains » et avaient tué, Midnight et Osse, mais pas avant que Midnight ne puissent emporter Kiba avec lui réduisant considérablement le potentiel de sourçage des elfes. Deflagrator en avait fait d’ailleurs fait même avec Awandiel. Nävis avait commis l’erreur de trop s’éloigner des siens tentant un contournement par le sud. Elle l’avait vite regretté. De notre côté, Balgor était mort ainsi qu’Albel. Kimon se baladait dans les rang elfes en toute impunité, encaissant moult sort sans jamais faiblir. Seulement voilà, même si nous arrivions à maintenir les pertes au même niveau, étant les moins nombreux, les elfes auraient gagné une guerre d’usure. J’ordonnais donc un repli en cessant toutes les hostilités. J’envoyais un courrier aux différents responsables elfes pour leur annoncer nos intentions. Pendant trois jours les attaques des géants cessèrent. Samir, Kolloceus et Anmor Sparrow, qui avait pourtant parlé avec le juge de ce cessez le feu, tombèrent. Au bout de ces trois jours je reçus une lettre du juge m’annonçant que les elfes se repliaient. J’en informais don tout mon peuple a mon assemblé. Mais peu de temps après, deux elfes et un homme sauvage s’avancèrent pour aller abattre Xou.

J’avais, par ma seule volonté, arrêté l’armée géante. Les soldats avaient respecté les engagements que j’avais pris. Et les elfes n’étaient pas capables de respecter la parole de leur juge. Je demandais donc dédommagement pour Xou. Je demandais que les trois contrevenants viennent au sud de Zagnadar afin de suivre un entraînement a la discipline pendant trente jour. Les elfes refusèrent cette proposition, rejetant par 3 fois un cessez le feu qui leurs aurait permis de commencer à retisser des liens avec les géants et de rentrer tranquillement chez eux et où ils n’auraient rien à perdre. Mais être franc et honoré sa parole semblait être un trop gros efforts pour les elfes qui maintenant en position de force arguaient du fait que nous n’étions pas en position d’exiger quoi que se soit. La mauvaise foi de Nävis restait, quant à elle, une constante, maintenant plus obstinément qu’un nain et un géant réunis, maintenait que les elfes avaient toujours étaient clairs et légitime et qu’ils n’avaient rien à se reprocher.

La cerise du gâteau vint du juge lui-même. M’annonçant qu’il avait donné l’ordre d’arrêter de frapper les géants, je lui faisais remarquer que s’il prenait autant de mesure contre les contrevenants que sur l’ordre précédent, il était entrain de m’assurer qu’ils n’en ferraient qu’à leur tête. Je lui faisais donc part de ma réflexion.
Soit cet ordre n’avait pas été donné et c’était un coup bas. Soit cet ordre avait effectivement était donné. Il y a eu bavure. Maintenant, il fallait assumer. Montrer à ses troupes ce que "Ordre" voulait dire. Je citais l’exemple de Dak Tirak, qui ne savant pas que le clan du caracal tait allié des sourceurs en avait tué un. Nous n’avions pas mis en avant le fait qu’il n’était pas au courant pour se dérober, il avait été purgé sa peine et dédommagé le clan. Kaeniel me répondit que l’ordre avait été effectivement donné, mais parés l’incident. Autrement dit, l’armée géante avait été au courant, plus de 18 heures avant l’armée elfique, que celle-ci devait se replier. Je savais bien que la communication n’était pas le point fort des elfes mais il y avait des limites.

Cette réponse me mit hors de moi et je m’attelais à la rédaction d’une longue lettre pour exprimer mon mécontentement et ma détresse. Mais alors que j’allais attacher le parchemins à la patte d’Idgarrow pour le transmettre, je pensais a Kowu qui avait toujours eut des vœux de paix et qui s’était effondré en larme devant moi à la taverne quand nous avions parlé de se conflit, à Aislinn et Killiana qui avait fait beaucoup d’efforts d’après ce que m’avait rapporté Dak Tirak. A eux, je ne pouvais leur faire ça. Comme toujours, je demandai conseil à Balgor, qui m’avait épaulé, soutenu, remplacé jusqu’ici. Après avoir lut ma lettre il me tint ces propos.

-Ouhla ! C’est violent !
-J’aime pas qu’on me prenne pour un imbécile. Marre de faire des efforts pour que dalle. Et quand j’exprime mon mécontentement c’est pas à moitié.

Balgor me regarda songeur puis reporta son attention sur la lettre.

-D’un autre côté la situation ne saurait être pire vu la dernière réponse de Kaeniel. Mais personnellement, je pense que tu ne devrais pas l’envoyer. Ce n’est pas avec une lettre qu’on change les mentalités de toute façon. Tu ne feras que leur montrer qu’ils t’ont énervé, et vu comment ils t’ont repoussé malgré tes efforts, c’est ce qu’ils veulent. A ta place, j’enverrai un message très simple du style « ça ne sert à rien de discuter avec vous. J’abandonne »

Je n’enverrais donc pas cette lettre mais le cœur y était. Comme jadis, j’en avais voulut à l’empire simplement à cause de certains olympiens, Je me rendais compte que je n’en voulais pas aux elfes mais simplement à quelques-uns uns d’entre eux qui avaient motivé cette guerre et qui n’étaient pas capable de se remettre en question.

Chapitre V : SOUTIEN
(An 2033 Saison du Chant du Renouveau)

Pendant mes négociations avec les elfes, Salminar m’avait proposé de faire débarquer les factions olympiennes. Bien que l’idée n’était pas pour me déplaire. J’avais donné ma parole aux elfes que les géants n’attaqueraient plus. Et même quand ceux-ci avaient refusé la trêve. J’avais encore fait attendre l’impératrice en redemandant par 3 fois aux elfes d’accepter cette trêve et d’honorer leur parole. N’ayant pas eu de réponse positive, je rentrais donc à Zagnadar avec Grise et les autres survivants du dernier assaut, alors que les forces olympiennes faisaient route vers le territoire géant.

Plusieurs problèmes se posèrent alors. Tout d’abord, les paladins, censés venir nous aider attaquèrent les nains de la famille Lanraaz, qui avaient récemment migrés à Quatar. Certains des membres de cette famille étant de bons amis, j’avais également sollicité leur aide, ce qui avait quelque peu résolut le problème bien qu’il y eut encore quelques altercations sur le chemin menant au territoire géant.

J’avais ensuite rejoint Samir au sud de Zagnadar. Il était parti ce frotter à un autre problème : La W&R, nouvellement CdA. Ceux-ci avaient cru que par le fait qu’ils possédaient des géant citoyens dans leurs rangs, et qu’après avoir menacé publiquement Zagnadar, s’étaient retirer du conflit, ils avaient le droit de s’inviter sur notre territoire sans visa. Penn décida alors de faire respecter la loi en attaquant Rain, femme sauvage générale du groupe en question. Les CdA répliquèrent par une agression sur un géant dans le territoire Zagnadaran, mettant à bout de force Penn. Même s’ils n’avaient pas l’intention de le tuer, c’est pourtant ce qui se produit par l’arrivée inopportune de deux olympiennes que les CdA avaient alors pris sous leur aile. Non content d’avoir commis ce geste. Les CdA continuèrent à s’approcher de Zag. Samir était donc parti stopper leur avancée pendant que des négociations houleuses aboutir au retrait de la CdA. Mais même après cela, Goriht enfreint encore les lois en attaquant Samir, et Wolf en volant des sourceur, supposant, d’après leur fonction, qu’ils étaient susceptibles de posséder une grande quantité d’or. La réaction de Balgor, contremaître de cette faction, fut immédiate : une grenade. Rain l’attrapa au vol, mais dans la panique, la jeta sur le voleur pourtant appartenant à son groupe.

La CdA finie par partir, le problème semblait se régler. Mais c’était sans compter sur leur envie insatiable de s’en prendre aux Chevaliers Noirs qui venaient pourtant aider Zagnadar dont la CdA avait pourtant toujours prétendu défendre les intérêts. Mais une fois de plus, mon ami Gorith calma le jeu au sein du groupe, il n’avait pas été promu général pour rien. Il était écouté, et je crois que lui avait réellement la volonté de défendre Zagnadar.

Cet incident clôt, Samir et moi partions plus au sud, nettoyant au passage les plaines des elfes s’étant aventuré trop prêt de Zagnadar. Nous venions d’achever Nävis, non sans une certaine satisfaction, quand Samir repéra Ragounia, membre de la CdA sensé devoir se diriger vers la frontière la plus proche du territoire géant depuis 15 jours. Samir fit donc tomber sa cinquième tête en quinze jours. Mais les problèmes n’allaient pas s’arrêter là. Alors que le groupe qui nous avait rejoint Samir et moi se dirigeait toujours plus au sud, des géants d’une part maudirent à outrance Alméria Furienoire seconde des paladins, la laissant presque incapable de se lever. Quant à Deflagrator, il fut attaqué par Hondar Lanraaz. Les excuses faites et les comptes réglés, Deflagrator décida de repartir les quatarites sur un front Est et les olympiens sur un front Ouest, afin d’éviter tout conflit entre eux.

La guerre semblait se dérouler pour le mieux. L’idée de séparer nos alliés que tout opposait hormis leur volonté de nous aider fonctionnait à merveille, jusqu’à l’arrivée de Loprinien et Shadowmonk. Ceux-ci se dirigèrent vers le front des olympiens et alors qu’ils venaient d’arriver à proximité du front et étant sous le coup d’un accord de non-agression avec les olympiens, ils assassinèrent Hachiko, générale olympienne, leader des Veilleurs Impériaux.

Ayant continué la guerre en grande partie à cause de ce genre de comportement de la part des elfes, il était hors de question que nous laissions passer ça. Le comble vint par la suite, quand cet assassin vint défier tout le monde en annonçant le retrait des forces hors-la-loi de ce conflit, ce qui conduit logiquement Dflagrator à faire le lien entre l’assassinat et le retrait des forces alliées bien que les deux faits soient totalement indépendants. Bien sur ce conflit c’était trop éternisé. Je le pensais également et je comprenais leur point de vue. Nous ne reprochions d’ailleurs rien aux quatarites en général. Leur aide avait était précieuse, au moins autant que les cristaux que nous leur avions cédés, mais Shadowmonk ne s’en tirerai pas aussi facilement. D’autre part, au lieu de s’excuser auprès d’Hachiko, il avait revendiqué son acte et confié qu’il était prémédité.

Il se révéla par la suite que c’était Hachiko qui avait commencé l’offensive par quelques malédictions pas très offensives. Mais toutes agressions entre personnes de notre armée avaient été prohibées, Shadowmonk et Loprinien avaient donc lynché Hachiko. Les autres quatarites s’empressèrent de justifier les actes de Shadowmonk par cela. Même si cela était complètement incohérent avec les propos du fautif qui prétendait avoir prémédité l’acte.

D’autre part nous n’avions pas tué Hondar lorsqu’il avait frappé Deflagrator. Mais à défaut d’être correct ou même cohérent, l’acte était justifié. Mais personnellement, je surveillerais bien ses deux olympiens, et si un jour, il leur revient l’idée d’enfreindre les règles, je me ferais une joie d’utiliser les mêmes extrémités qu’eux à leurs dépends. Cette fois-ci ils s’en tiraient avec une pirouette, mais il n’en serait pas toujours ainsi.

Mais pendant que les « catwé » rentraient chez eux, un autre combat faisait rage…

Suite: "Le massacre de la famille Elanessë"

Chapitre IV posté

Navis, kaeniel j'insiste bien c'est du RP prenez pas ça pour vous mais bien pour vos persos ^^. J'ai tendance a pas etre tendre avec eux et c'est qu'un avant gout du prochain chapitre que je posterai dans l'aprem ou la soirée. Ces deux chapitres sont là avant tout pour montrer l'etat d'esprit de mon perso et ce qu'il a pu ressentir par rapport aux différentes réactions à ses tentatives d'améliorer les choses.

hrp
sauf que t'as pas compris ce que j'ai ecrit dans mes messages, m'enfin c'est pas grave

hrp

Hey Death est un géant. Faut pas trop lui en demander .

non, je pense avoir compris - a part deux trois trucs ambigue, mais qu'elle idée d'envoyer un truc ambigue a un géant - mais y'a des raisons qui m'ont poussé a y mettre de la mauvaise volonté à la fin .

Oui c'est vrai que ce texte est trèèèèèèèèès subjectif ^^

Parceque bon, Nävis est quand même plutôt réputé pour être franche et dire ce qu'elle pense, même si ça lui rend pas toujours service.

Sur ce, bonne chro !

Mais j'ai jamais prétendu etre objectif. Sinon je raconterais pas a la premiere personne

mais pour ma défense je dirais que je suis pas le seul. ^^

Mais en fait je crois que je me suis mal exprimé, pasque je vois bien qu'elle dit ce qu'elle pense. Je suis persuadé qu'elle y croit a fond qu'elle est dans son bon droit . Mais qu'elle se voile la face.

Fin je sais pas comment l'exprimer tu veras avec le prochain chapitre. tu me diras et je corrigerai cette erreur sémantique

en tout cas moi j'adore !!

Chapitre V: posté

désolé pour tout les elfes qui ont fait de efforts mais raz le bol général de mon perso

y'aura peut etre un chapitre VI en fonction de la suite des evenement mais y'a peu de chances.

J'adore cette lettre!

Sinon, c'est toujours aussi bien, rien à dire.

Wouaaaah pis après c'est moi qui suit de mauvaise fois ???

Bon je dis rien parceque ok c'est une lettre subjective mais jte cache pas que ce que tu dis sur mon perso m'embete légerement.

Toute nos discution sur le IRC qu'ott a pu avoir vis a vis des cristaux c'était quand meme toi qui refusait de faire une solution diplomatique... J'ai fais chépa combien de fois la demande et tu m'as toujours dis nan, mais que c'était pas de ta faute. Bon ok, c'est pas de ta faute, mais va pas dire que c'est de la mienne non plus faut arreter...

Sérieux, tu vois tout les reproche que tu fais aux nelfes? Ben c'est bizard car c'est exactement ce que je reproche aux géants... Vous avez aussi beaucoup de mal à vous remettre en question... Mais bon on va pas partir la dedans car comme d'hab' c'est l'ennemi qu'a tord, jamais nous...

PS: Pis bon un peu facile le coup de la lettre qu'on envoi pas mais qu'on fait lire à tout le monde, t'as du bol que j'ai pas le temps d'en faire une aussi

Ah wé nan mais sérieux chui blazée... j'assure que si j'ai le temps je vais reprendre point par point toute tes "accusation" et tu verra que t'as enjolivé pas mal de chose (après je sais pas si t'as fait exprès)

Les elfes ont toujours été clair. Sans cristaux, Na'Helli ne pouvait plus avancer. Il nous les fallait, quelque soit le moyen. On a toujours été rembarré niveau diplomatie d'un air "tais toi et prends ce qu'on te donne" qu'on a du en venir au mains. Le problème étant que vous étiez persuadé de votre supériorité. Pour tout vous dire on aeu beaucoup de doute chez les elfes vis à vis de l'issue de ce conflit, pour vos dire à quel point sa nous aurait arrangé de l'évité.

Bon après, malgré nos soit disans pleurnichage, j'crois que t'as lettre en fais une belle de plaidoirie nan?

J'tassure.. des que j'ai le temps j'y répond ^^

J'aime beaucoup les 4 premiers chapitres, Death, mais je suis aussi d'accord sur la forme avec Nävis pour la lettre.
Soit ça correspond à quelque chose de joué (donc envoyé par BAL et tout le tremblement), soit on se dispense. Sinon ça revient à une discussion sans possibilité de réponse. De 1 ça manque d'élégance, de 2 ce n'est pas le bon forum pour ça => Géné pour réexpliquer une 20ème fois le pourquoi du comment du point de vue des 2 côtés.... Bref.

ok je vire le dernier. J'ai beaucoup hésité a l'envoyé. je l'ai soumis à une dizaine de personne avant. Les avis ont été trés mitigé environ 50% contre( en disant que ça servirait a rien) et 50% pour ( en disant que c'était fait donc que j'allais pas la jeter).

Donc j'avais décidé de le faire comme ça. Fin bon temps pis.

Chapitre V supprimé

Mets-le en lettre ouverte sur le Géné si vraiment tu penses que ça vaut le coup de rouvrir le débat, ce n'est pas une censure d'idées qu'on veut faire, simplement que ça ne correspond au cadre des chroniques (ce n'est que mon avis)

pas bete boss pasque justement quelqu'un m'avait dit ça changera rien aux mentalité pas la peine de le balez.

ce a quoi quelqu'un d'autre pour lui avait repondu: c'est vrai que ça changera rien à la mentalité des "têtes" ( puisque c'est avec eux que j'ai negocier) mais si tu let tout les elfes au courants ça peut ptet influer.

Donc j'vaias vu ça comme un moyen de le fire parvenir a tout le monde mais c'est vrai que le forum géné c'est mieux...

Fin jvais d'abord essayer de rendre ça plus élégants
pis jverrais si ça vaut le coup de le lancer ce débat parce que pour l'instant j'en suis que moyennement convaincu et comme je l'ai dit dans la lettre j'ai pu tellemnt envie de me fouler vu les résultats...

Nouveau chapitre V pour faire une transition avec la suite et pour montrer que c'est bien la galère à gerer une grande armée ...

Suite: "Le massacre de la famille Elanessë"

L'ancien chapitre V a été posté sur la grande assemblée sous sa forme revue et corrigée il y a déjà quelques temps (j'espère que tu m'en veux pas trop Nävis )