Legends of Olympia : La Litanie du Passé - Traité sur l'assassinat et le meurtre
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Traité sur l'assassinat et le meurtre
Topic visité 244 fois
Dernière réponse le 16/05/2008 à 22:05

olymp Par Anarion  le 29/01/2008 à 19:59

Ce traité va sûrement en étonner plus d’un puisqu’il est écrit de la main d’un ambassadeur impérial mais aussi de la main d’un paladin, qui plus est un général paladin, pour qui cet art reste normalement étranger, les paladins n’ayant pas ce genre de politique. Mais ce même ambassadeur et ce même général a aussi été en son heure un Chevalier Noir, un loup de la meute d’Ordenum et un homme de confiance du seigneur Slash, un olympien qui en son temps était respecté de ses frères de meute. Mais passons, là n’est pas le sujet. Ce traité a pour but de développer et de mener une réflexion sur les différentes formes d’assassinat (ou de meurtre, comme vous voulez) que l’on peut rencontrer sur Olympia.

Il y a tout d’abord l’assassinat que je qualifierais de « classique » et qui est l’assassinat sans réelle forme, sans véritable enseignement préalable et qui est bien souvent réalisé de manière grossière ou sans art. C’est l’assassinat que tout un chacun peut commettre et que l’on peut appeler crime car bien souvent contraire aux règles et aux lois mises en place. C’est par exemple l’assassinat impulsif, effectué sous le coup de l’émotion, ou encore l’assassinat vengeresse d’un homme blessé dans son orgueil ou que sais-je encore…
Bref, ce n’est pas là un type d’assassinat gratifiant pour sa personne, si tant est que l’on puisse dire que l’assassinat est gratifiant pour qui que ce soit, même avec tout l’art qui peut y être employé et toutes les meilleures intentions du monde. Pour un ancien assassin comme moi, ce type d’action de personnes n’ayant pas ou peu d’honneur à mes yeux est une chose qui devrait être éradiquée car elle porte préjudice au métier et à la charge d’assassin, à la réputation qui en est faite. Elle ne laisse pas entrevoir et ne reflète en aucun cas ce qu’est réellement l’art de l’assassinat. Car c’est réellement là un art lorsqu’il est utilisé correctement l’on a été formé à son enseignement, un art noble si j’ose dire, un art que bien peu peuvent se vanter de maîtriser ou de connaître pleinement en dehors de la meute d’Ordenum et ses Chevaliers Noirs, ou plutôt devrais-je dire de l’ex-meute d’Ordenum. Si toutefois on peut dire que tous le maîtrisait parfaitement dans la meute… Mais je parle, je parle et ma pensée s’écarte de son but premier. Nous reviendrons plus tard à la meute et à son art si particulier.

La première vraie forme « noble » que prend l’assassinat est sans doute celle qui emploie le poison au travers des substances et des caractéristiques de certaines plantes. C’est un assassinat assez sournois et réfléchi, réalisé très souvent par une personne dont on ne soupçonne pas l’identité ou l’activité car elle risquerait alors d’être mise à mort sans autre forme de procès ou de jugement. Le secret et le déguisement sont donc ses alliés et il connaît parfaitement les plantes et leurs propriétés. Il peut ainsi donner une mort rapide et sans douleur, rapide mais avec d’atroces douleurs, ou bien encore donner l’impression d’une maladie menant à une longue agonie, aboutissant à une mort après plusieurs semaines ou mois de souffrance. J’ai aussi entendu parler un jour d’une plante qui avait un fort pouvoir hallucinogène et qui pouvait pousser au suicide la personne qui l’ingère… un peu comme le pouvoir de la violette mais en bien plus puissant. Les moyens de donner la mort sont donc nombreux pour ce type d’assassinat et ils peuvent passer par la dilution d’une poudre ou d’un liquide dans une boisson ou par l’introduction des bonnes substances dans la bonne nourriture, ou encore par le saupoudrage d’une poudre dans l’âtre d’une cheminée... Lorsque le feu sera allumé, celle-ci se diffusera dans la pièce, tuant son occupant de manière inexpliqué. Une autre solution consiste encore à enduire d’une espèce de pâte les endroits des vêtements au contact de la peau, comme une manche ou le col d’une tunique, …

De nombreuses plantes peuvent également être utilisées. J’ai rencontré un jour un homme qui en connaissait quelques unes. L’aigrefeuille notamment ferait mourir en plusieurs mois, donnant l’impression d’une maladie à évolution très lente. Sa préparation nécessiterait une décoction dans de l’eau bouillante après une réduction en bouillie de cette plante. Ce serait apparemment le moyen le plus efficace de s’en servir.
Une autre plante, l’ombre des marais seraient quand à elle à faire sécher puis à réduire en poudre pour son utilisation. Elle procurerait une mort rapide mais très douloureuse, avec notamment d’importante crise de maux d’estomac et des vomissements.
J’ai également entendu dire que certaines plantes seraient inoffensives lorsqu’elles sont utilisées séparément mais qu’une fois mélangées… ainsi, le mélange de violette et de lys tigrée donnerait un poison tout à fait singulier. En effet, celui-ci procurerait un effet de bien être intense, couplé à une profonde envie de dormir… à tout jamais et de ne jamais se réveiller, le corps ne pouvant sortir de son sommeil et donc ne pouvant pas s’alimenter.
L’assassinat par les poisons est donc celui qui requiert assurément le plus de connaissances et le plus de réflexion pour échafauder qui ne laisse pas les soupçons se porter sur soi mais c’est aussi le plus sournois. C’est celui qui pourrait servir au mieux l’assassinat politique sans pour autant permettre d’incriminer une personne en particulier, les effets des poisons utilisés pouvant faire penser à tout sauf à un assassinat.

Mais le véritable art de l’assassinat tel que je le conçois et tel qu’il m’a été enseigné est sans doute celui que maîtrisait la meute d’Ordenum. Une science froide, calculatrice, sans fioritures et surtout sans état d’âme pour la victime qui avait largement mérité sa punition par la mort. On n’insultait pas par exemple la meute ou un CN sans que celle-ci, tôt ou tard, se rappelle au bon souvenir de son détracteur, lui laissant peu de chances de pouvoir sauver sa vie. Les Chevaliers Noirs, du moins pour les plus aguerris et les plus anciens, excellaient dans cet art. « L’assassinat à la guerrière, un assassinat de brute sans foi ni loi » diront certains mais c’est pourtant là où ils se trompent. Cet art tel que nous le pratiquions n’était pas dénué d’une certaine grâce, d’une certaine éthique, d’une certaine noblesse en soi, ni d’une certaine idée du meurtre et ne ressemblait en rien à un art guerrier basique ou à un art comme les autres. La meute connaissait la valeur de la vie qu’elle enlevait, et c’est sans doute ce qui lui permettait de faire son travail et les conséquences que cela pouvait avoir.
La meute… ce nom même d’ailleurs résume la crainte que devrait inspirer un assassin du seigneur Slash. Un CN peut déjà être dangereux seul mais il l’est autant plus lorsqu’il se déplace en meute. La cohésion de groupe, la volonté de travailler ensemble, le respect des ordres et des autres, la prise en compte de l’avis de chacun lorsque cela était nécessaire… la fermeté et l’exemple dans la sanction pour une tâche mal effectuée ou pour un non-respect des ordres ou des règles… des paroles parfois dures mais nécessaire pour pousser ses loups à donner le meilleur d’eux-mêmes et enfin et surtout, avoir une certaine idée du combat et avoir un certain sens de la vie. Voilà les valeurs qui formaient la meute, ou en tout cas telle que je les retire aujourd’hui de son enseignement. J’en oublie sûrement certaines.
Mais c’est aussi autre chose qui faisait un CN et son art : la maîtrise de sa technique à l’épée au travers du meurtre de l’aube. Une si jolie technique à vrai dire, qui emplissait souvent d’horreur la victime… une technique correspondant si bien à l’esprit de la meute… une technique que seul un CN ou un ancien CN peut vraiment maîtriser au mieux et à sa juste valeur. Cette technique est simple, elle consiste à s’approcher de sa proie, l’air de rien bien souvent, mais de lui infliger des blessures avant qu’elle ne se rende compte de ce qui va lui arriver ou de ce qui lui arrive. Seuls les champions peuvent maîtriser cette technique et comme toute spécialisation guerrière, elle demande l’utilisation de la magie… qui n’est pas sans faire dresser les poils ou pas sans faire ressentir un frisson glacé à nombre de victimes avant le coup d’épée lorsque le meurtre de l’aube est utilisé. Lorsque la victime se retourne, l’homme qui se trouve à côté d’elle a déjà remis l’épée au fourreau, comme s’il ne l’avait jamais tirée. En plus de cet avantage de ne laisser aucunes traces ou presque quand à son exécuteur, mais seulement des doutes dans certains cas, cette technique permet d’infliger des dégâts supérieurs, notamment parce que la cible ne s’attend pas à cette agression ou à une agression de ce type. Il est vrai qu’elle permet souvent d’attaquer dans le dos mais chaque victime de la meute aurait du s’attendre un jour ou l’autre à recevoir la correction qui lui est du.

Le meurtre de l’aube… c’est aussi ce qui devrait faire d’un ambassadeur impérial un homme dangereux à ne pas trop sous estimé lorsque celui-ci maîtrise cette technique. Car qui sait s’il n’aidera pas à vous donner le coup final sans que vous en sachiez rien ou sans que vous ne puissiez rien prouver ? Qui sait s’il ne vient pas en ami pour mieux vous assassiner en ennemi, à des fins politiques par exemple ? Méfiez-vous, la mort est peut-être plus proche que vous ne le pensez si vous rencontrer une personne maîtrisant le meurtre de l’aube.



[Général paladin][Ambassadeur de l'Empire]
Ne cherchez pas un ancien loup, vous le regretteriez...

geant Par Deathscythe, le Piétineur  le 16/05/2008 à 14:08

La meute comme on l’appelait, était intransigeante avec ses membres. Un loup trop vieux et donc moins vif devenait vite un poids mort et se retrouvait à l’arrière. Ainsi certains devenus « faibles » étaient abandonnés à leur sort par leurs frères, condamnés à survivre comme ils le pouvaient, où ils réussissaient à se faire accepter.

Ce fut le cas d’Hangmär, laissé pour mort lors d’un raid en forêt des cendres. Il trouva refuge à proximité d’un petit village géant non loin de la frontière entre le territoire elfe et le territoire géant. Préférant vivre en solitaire, reclus dans des grottes proches il vivait des fruits de ses chasses et de ce qu’elle pouvait rapporter au marché des géants.

Mais bien que les crocs de ce genre de loup aguerrit soient souvent brisés, ils n’en restent pas moins des mines de savoir et de connaissances. Et c’est ainsi que certaines techniques d’assassinats filtrèrent chez les géants. L’ancien loup accepta de devenir le précepteur d’un jeune géant destiné à devenir le protecteur de ce village, en échange de vivres et d’une protection contre les elfes qui rôdaient alentours.

Ce géant eu également un parcours relativement atypique. Son esprit et son corps furent formés pour être ceux d’un assassin, tous deux vifs et effilés, toujours aux aguets. Mais suite à une dispute avec celui qui avait été son premier mentor, il quitta cette voie.

Son esprit devint plus droit, plus loyal et il intégra les Rocs de Zagnadar. Il se hissa même à leur sommet, devenant leur stratège. Paradoxe quand l’on sait que l’assassin doit se focaliser sur sa cible alors que le stratège doit constamment garder une vision globale et entière du combat. L’esprit évolua donc mais pour le corps c’était sans doute trop tard. Conditionné, sculpté, façonné pendant l’adolescence du géant sa condition physique en serait à jamais affectée.

Ainsi explora-t-il une nouvelle branche de l’assassinat, mettant au point ses propres enchaînements et bottes en exploitant au mieux les associations possibles avec les différents éléments et sa condition de géant.

Ainsi se developpa un nouveau style d’assassinat spécifique aux géants, et tout d’abords aux géants de -=Terre=-, car vous l’aurez compris, c’était l’élément auquel ce géant était affilié…

Le premier enchaînement lui vint instinctivement lors de sa formation pour intégrer les rocs mais après coup elle lui sembla évidente. En combat singulier, l’adversaire ne se focalise que sur une chose : vous frappez et surtout vous faire mal. Et pour cela il a une fâcheuse tendance à ne pas vouloir lâcher son arme. Les géants de -=Terre=- possède l’étrange habilité de pouvoir recouvrir leur corps d’une couche de pierre plus ou moins épaisse. Si celle-ci se révèle une excellente protection avant que la lame ne pénétrer la chair, elle agit comme un étau quand elle se déclenche autour d’une arme ayant transpercer la peau. Et comment faire en sorte que l’épée traverse la peau ? Et bien en se laissant toucher à un endroit où les sait que les conséquences seront moindres, ce qui est assez aisé pour un assassin qui se doit d’avoir une bonne connaissance de l’anatomie des différentes races. Une fois l’arme enserrée dans l’enclume de pierre, et l’ennemi à une distance faible du géant, il n’est pas difficile pour celui-ci de planter une dague dans le cou ou dans un organe de son adversaire.

Par la suite, furent développées quelques techniques d’immobilisation moins dangereuses pour l’utilisateur mais également moins efficace, telle que l’emprise terrestre.

Il créa également quelques techniques de lancer. Des attaques de faibles importances ou facile à esquiver afin tout d’abord de créer une diversion pour mieux frapper ensuite, et ensuite pour que son adversaire le mésestime.

Un gros problème se posa tout de même pour ce géant. La base d’un bon assassinat relève de la discrétion du meurtrier. Allez être discret quand vous mesurez environ 3 mètres et ne pesez pas loin de 200 kilos. D’où l’adaptation des techniques suivantes. Il y a deux moyens pour surprendre une cible. Nous avons vu que le premier, la discrétion, était quelque peu compromis dans le cas des géants restaient donc la deuxième : la rapidité. Frapper suffisamment vite pour que l’ennemi n’ait pas le temps de s’en rendre compte. Il appliquera d’ailleurs ce principe à son armée par la suite.

Comble de l’indiscrétion, ce géant, à la différence des assassins les plus notoires, n’utilisait pas de petites lames escamotables ou d’armes légéres mais précises, caractéristiques des assassins en général. Il se servait d’une faux. Une arme somme toute caractéristique de son style mais qui le démarquait totalement de la branche de base. Vous allez me dire tant qu’à ne pas être discret autant ne pas l’être du tout. Mais le choix de cette arme restait tout de même en opposition total avec l’esprit de la voie suivit par les Chevaliers Noirs pour ne citer qu’eux.
On notera tout de même que par cette lubie, il se spécialisa dans la décapitation qui devint en quelques sortes sa marque de fabrique. Il est vrai qu’une fois qu’une telle arme a trouvé votre cou, il est beaucoup plus dur de la stopper qu’une épée et coupe beaucoup plus nettement qu’un fléau. Mais encore faut-il qu’elle en trouve la trajectoire tant son maniement est ardu.

Mais bientôt il du se rendre à l’évidence. Son corps ne suivait plus sa carrure svelte ne lui fournissait pas la force nécessaire pour s’occuper de la majorité des travaux qui pouvait lui être confié. Ainsi continua-t-il de développer sa voie par la domination.
Le principe de la voie de la domination est simple, il s’agit, par le charisme, par la volonté ou par des arguments plus ou moins valables, de convaincre quelqu’un de tuer la personne que vous souhaitez voir mourir. En gros, utiliser le corps d’un autre pour arriver à vos fins.

Les géants à force de côtoyer ce géant se mirent eux aussi à apprendre par mimétisme. Et de nouvelles variantes se créèrent :

On raconte qu’un géant, mettant tant de fougue à la tâche que lorsque la cible rendit son dernier soupir et que l’âme s’extirpa du corps pour aller rejoindre Hadès, celle-ci fut littéralement brûlée dans un crissement inaudible. En référence à l’élément on appela cette technique la combustion de l’âme.

On raconte aussi que certains géants sont capables de dissuader un nombre très important d’ennemis rien que par l’usage de cette voie, ce qui n’est pourtant pas sa vocation première.

Mais l’usage excessif de cette voie peut se révéler très nuisible. Peut s’en dégager un sentiment de mégalomanie au mieux, vous faire perdre la confiance d’autrui au pire…

Ainsi il du trouver une nouvelle manière de pallier à sa faible puissance physique et cette fois il se tourna vers le contrôle de son élément. Si la Terre peut permettre d’accroître la protection elle peut également jouer sur sa mouvance destructrice pour infligé de lourd dégâts.
Il existe trois principales variantes de ce type de contrôle qui nécessite plus ou moins de temps et d’énergie :
La première, la plus rapide et la moins épuisante, consiste à transformer une solidité du roc. La couche de pierre recouvrant le corps du géant vient se condensé en de nombreux épieux sur le corps et principalement les avants bras du géant, transperçant à de multiples reprises tout adversaire qu’il charge. A noter que cette technique peut devenir tout aussi, voire plus, éreintante que la troisième si elle est maintenue un certain temps…
Cette technique est principalement appréciable pour traverser les rangs ennemis tout en infligeant des dégâts à plusieurs ennemis dispersés au passage

La seconde nécessite plus de concentration, elle consiste à générer un raz de terre pour ensevelir plusieurs ennemis groupés. Elle nécessite un rituel plutôt long mais le géant peut l’utiliser pour se déplacer en « fusant » sur la vague de terre, de roche et de boue.

La troisième technique est la plus violente mais aussi la plus dangereuse. Le géant commence par enchevêtrer son ennemi au sol par une emprise terrestre puis soit fait jaillir un grand nombre d’épieux du sol qui transperceront tous le corps de l’ennemi. A noter qu’il existe une variante où le géant fait naître els épieux sur son bras à l’instar de la première technique et où il assène une suite de coups rapide à son adversaire.
Cette technique est donc spécialement utile contre un ennemi unique et si sa puissance est redoutable elle demande tant de ressource que le géant qui l’effectue est généralement incapable de bouger par la suite pendant un certain temps et subit la plupart du temps un contrecoup plus ou moins élevé en fonction de la résistance de son ennemi.

Il paraîtrait qu’à ce jour ce géant parcours Olympia à la recherche de nouveaux préceptes et de nouvelles idées à développer suivant sa voie…




[on t'♥ Boss]

Nous ne devons jamais verser de larmes.
Les Larmes ne sont que la défaite du corps contre le coeur.
Elles constituent la preuve que garder un coeur
ne sert à rien d'autre qu'à s'affaiblir.

geant Par Deathscythe, le Piétineur  le 16/05/2008 à 14:09

HRP/: Désolé Anarion ça a pris le temps mais la voilà . PS: Il y aura suite quand les comp 3 seront dispos je pense ^^ (pour ma part en tout cas) :/HRP



[on t'♥ Boss]

Nous ne devons jamais verser de larmes.
Les Larmes ne sont que la défaite du corps contre le coeur.
Elles constituent la preuve que garder un coeur
ne sert à rien d'autre qu'à s'affaiblir.

olymp Par Anarion  le 16/05/2008 à 22:05

J'ai failli plus y croire. ^^
Je relirais demain, j'aurais plus de temps.



[Général paladin][Ambassadeur de l'Empire]
Ne cherchez pas un ancien loup, vous le regretteriez...