Saté est née un 15 au soir pendant la saison dit de « La grande Cuvée » de l’an 1349 alors que les deux étoiles jumelles d’Olympia formaient l’une des plus belles des éclipses jamais vu aux par avant.
Dès l’âge de 10 ans Saté partit avec son père « Saleté » dans la forêt pour le début de son apprentissage magique.
Après quelques jours passés dans la forêt des Ombres à apprendre le sort rudimentaire HS, Saleté confia à son fils qu’il allait se porter volontaire pour accompagner la délégation HS à Quatar.
A cette époque, Saté ne mesura pas l’importance et le grand risque de ce voyage. Il répondit juste à son père par un petit hochement de tête.
Puis deux mois plus tard alors que Saté revenait de la pêche, sa mère Faia lui annonça la bonne nouvelle. Elle était enceinte.
Saté fut heureux d’apprend cette nouvelle, mais se qui le réjouit le plus c’était qu’il allait enfin pouvoir aller pêcher et s’entraîner à la magie avec une personne différente que son père.
Mais malheureusement pour Saté, ce n’était pas un petit frère qu’attendait Faia, mais quatre petits frères !
Et oui quatre petit Kentaro de plus sur Olympia. Nouvelle affirmée par le médecin de Luminae, qui était réputé pour ne jamais s’être trompé en pronostique d’accouchement.
Saleté fière de cette prouesse, dit à son fils, « Quand on laisse une deuxième chance a un Kentaro, il ne fait pas les choses à moitié. » Phrase qui devint par la suite devise de la famille.
Faia accoucha pendant la saison des « Les longues Pluies ».
Quatre beaux petits HS sortir du ventre poilu de Faia.
En premier sortit Vaemyr.
En second vient Neidhr,
En troisième Raggas,
Puis vient Orphen.
La descendance des Kentaro était assurée.
Quelques mois passèrent quand ce fut le moment pour Saleté de partir avec la délégation pour Quatar. Dure départ d’un père que l’on ne reverra peut être jamais …

Neïdhr est né en 1360 ainsi que trois de ces frères:
Vaemyr, Raggas et Orphen.
Saté l'aîné de la famille était né onze ans avant.

Notre père Saleté est partit quelque mois après notre naissance avec une délégation HS vers Quatar pour ne jamais en revenir.
C'est donc notre mère qui nous éleva, aidé de Saté.

C'est Saté qui nous appris à moi et mes autres frères les rudiments de la magie, il répétait que c'était comme ça que lui même avait appris... avec notre père.
Nous progressions vite Raggas, Vaemyr et moi. Seul Orphen ralentissait le groupe, il s'intéressait trop à la musique et à mon avis jamais il ne maîtrisera les plus puissant sort de ce monde.

Vaemyr ce croyait tout puissant car il eu vite rattrapé Saté pour la maîtrise de la magie même si ses sorts étaient encore un peu moins puissants.
Raggas lui je ne sais pas trop. Je pense que ce qu'il désirait le plus c'était de pouvoir soigner les autres avec la magie.
Orphen lui avais l'air de s'intéresser plus à la musique.
Moi se qui m'attirait c'était les puissants sorts que nous offrait Gaïa comme piqué de l'aigle, mais hélas peu nombreux dans leur genre.

C'est à l'âge de 14 ans que Neïdhr connu ses plus grands malheurs.
Vaemyr venait de rentré dans une prestigieuse école de magie car son talent avais été remarqué mais là-bas il se rendit compte qu'il n'était en fait qu'un novice.
Orphen n'était pas souvent avec nous absorbé pas sa musique.
Saté était partit chercher notre père et prier Gaïa n'ayant jamais eu de preuve de sa mort.
Le pire de tout fut la mort de notre mère.

Un nain se disant pacifique vint dans notre forêt. Cela faisait un moment qu'il demandait l'autorisation et il répétait qu'il aurai voulus naître HS. A force il avait convaincu le peuple de Luminae qu'il méritait sa place parmi nous. Erreur qui fut fatale à ma famille. C'est en rentrant un soir que l'horreur vint à moi. Ma mère était étendue morte dans notre arbre.
"Naaaaaaaaaaaaaaaaaaan!" Ce cri de désespoir sortit de mes entrailles. L'intrus était la juste dehors en entendant le cris il se retourna puis s'enfuit. C'était le nain, ce sale nain qui se disait pacifiste.
Je courut à la poursuite de se nain. Il était rapide mais je fini par le rattraper, mais loin de la ville.
Le nain le savait, il se retourna pour mettre fin à mes jours et m'envoyer rejoindre ma mère.
Je ne connaissais qu'un sort: dard.
Je lui lançais un premier avec un rage énorme, la surprise mêler à la douleur le fit rugir. Puis un second mais cette fois avec l'énergie du désespoir. Il en rit, d'un rire sinistre qui me glaça les tripes (je me souviendrai toujours de se rire).
Quand une sorte de boule de feu vint frapper le nain avec une puissance phénoménal. Je reconnu l'aura magique d'un sort, mais de quel sort? Puis de suite une deuxième le percuta et le nain n'existait plus, tout danger était partit.

Un mouvement dans les arbres, une grande créature en sortit. Il s'approcha de moi et me demanda si tout allais bien. Je lui répondit que oui et c'est quand il se retourna pour partir que je le reconnu. « Et vous êtes un elfe, un de ceux qu'on a chassé! Comment se fait il que vous êtes encore dans la forêt?
-J'ai été mordu par un serpent et je n'aurai pas pu survivre à longue marche. Je me suis donc arrêté et caché. Plusieurs on voulus resté mais j'avais plus de chance seul il ont donc continué à fuir.
-Vous n'avez pas l'air aussi méchant qu'on le raconte au village.
-Village dont tu est bien loin retourne vite la-bas avant qu'il t'arrive malheur.
-D'accord mais juste une question. Quelle était se sort utilisé? »
Il m'appris que le sort utilisé était une ancienne magie des elfes, le sort météore. Puis il s'en fut retournant vers les siens.

Je n'avais plus qu'un seul désir. Maîtriser le sort qui m'avais sauvé. Seulement pour moi les elfes était des amis je voulais donc apprendre météore avec le consentement des elfes, tels serrai mon plus grand défie dans le vie.

J’étais de retour de mon école de magie, marchant seul dans la forêt humide, glacée. Tout me semblait changé, je ne reconnaissait plus les arbres dans lesquels je jouais avant, les rochers couverts de mousse où j’aimais faire la sieste, les sentiers sinueux à travers la forêt dans lesquels je marchait avec Neïdhr tout en discutant... Tout. Tout me semblait étranger à moins que… Oui, j’en étais arrivé à cette conclusion, c’était moi l’étranger. Etait-il possible que tout ait changé à un tel point en seulement deux ans ?

Deux ans que j’avais passés (ou plutôt perdu ?) dans l’une des plus prestigieuses écoles de magie. Je croyais posséder un talent, je croyais être doué, je croyais qu’enfin j’allai être apprécié pour quelque chose que tout le peuple sauvage reconnaissait, la magie, le chant de Gaïa. Mais, je ne sais pas ce qu’il s’est passé, peut-être n’ais-je pas été suffisamment persévérant ? Peut-être n’ais-je pas été suffisamment attentif en classe de magie ? Ou peut-être n’ais-je pas été suffisamment doué, tout simplement… Oui c’est ça, je n’étais pas vraiment doué, voilà tout.

Par ailleurs, ce n’était pas le seul domaine dans lequel je n’excellais pas…Je n’étais pas non plus très doué à tout ce qui touchait l’art de l’esquive, ou encore pour grimper dans les arbres, enfin, je n’étais pas très agile pour faire simple… Mon principal handicap était que ma taille masse musculaire étaient beaucoup trop développées, ce qui aurait avantagé un nain ou bien un géant mais qui était plutôt gênant pour un homme-sauvage quand arrivait le moment de fuir…

Autre domaine dans lequel je n’excellais pas : le vol. J’étais d’après mes frères beaucoup trop bruyant si bien que je me faisais à chaque fois repérer lorsque j’essayais de dérober un peu d’or aux autres hommes-sauvages ce qui avait pour résultat de me faire sévèrement réprimander à coups de bâtons et de pierres…

En fait, je n’étais doué dans aucun domaine, je me demande bien pourquoi maman m’avait laissé croire que je pourrais faire de grandes choses ?

Penser à maman m’avait un peu remonté le moral à vrai dire même si nous ne nous entendions plus très bien, c’était la personne que j’étais le plus impatient de revoir. Je continuais à marcher dans la forêt en direction de Luminae jusqu’à ce que j’aperçoive enfin la petite cabane dans laquelle Saté nous apprenait à lancer le sort Dard. Bien que le chemin ait lui aussi beaucoup changé, je retrouvais le chemin de la maison bien plus rapidement que je ne l’aurais espéré. J’apercevais enfin cet énorme arbre centenaire dans lequel des générations de Kentaro avaient vécu avant de partir à la recherche de ce qu’ils appelaient « le savoir ».

J’entrai dans la demeure et ce que j’y vis failli me faire tomber à la renverse : maman était morte, étendue à même le sol dans son propre sang . Je me jetais au pied du cadavre en pleurant, dans l’espoir qu’elle ne soit pas morte mais seulement blessée mais les profondes plaies ouvertes par ce qui me semblait être une simple hache ne saignaient déjà plus…

J’étais effondré. Je ne sais pas combien de temps j’ai passé, allongé sur le corps de ma mère, sanglotant, en me demandant qui pouvait bien être l’assassin lorsque j’entendis des pas… Ce devait être lui !

L’infâme ordure qui avait fait de moi un orphelin ! Je me levais en sursaut, le cœur battant tandis que je me concentrais pour réaliser le plus puissant sort que l’on m’avait enseigné à l’école de magie, le piqué de l’aigle. Le tueur allait passer le coin du mur alors que je n’arrivais toujours pas à me concentrer suffisamment pour arriver à canaliser mon mana, pris de panique, je sortis mon bâton, pensant qu’en me battant avec toute l’énergie du désespoir, avec toute ma haine, je pourrais peut-être vaincre le tueur. Mais la personne qui passa le coin du mur n’était autre que Neïdhr.

Il ouvrit la bouche comme pour dire quelque chose puis la referma, je fis de même puis je me jetais dans ses bars pour continuer à pleurer la mort de notre mère. Quand je relevais enfin la tête, je vis enfin ses yeux, lui aussi semblait avoir beaucoup pleuré, ses yeux étaient encore rougis.

- QUI !? m’écriais-je, déversant ma haine envers le tueur sur mon pauvre frère
Il fit un pas de recul et paraissait à la fois effrayé et ne pas comprendre.
- Qui a fait quoi ? demanda-t-il enfin
- Qui a tué maman ! vociférais-je, irrité par l’incompréhension de Neïdhr
- C… C’est un nain ! bégaya mon frère
- Tu l’as vu ?
- Oui, il partait dans cette direction ! dit Neïdhr en désignant la direction de son doigt

Sans attendre que Neïdhr finisse sa phrase, je partis à toute jambe dans la direction que m’avait indiqué mon frère, très vite rattrapé par ce dernier qui m’attrapa fermement par l’épaule et m’immobilisa. Pendant un instant je fus tenté de le frapper avec mon bâton mais il semblait vouloir me dire quelque chose.

- Le… Le nain… Le nain est déjà mort ! dit Neïdhr, à bout de souffle
- Qui l’a tué ? Toi ?
- Non, je l’ai suivi mais c’est un elfe, un puissant magicien qui l’a tué.
- Un magicien tu dis ?
- Oui ! Il lui a lancé le sort météore !
- Le sort météore ? repris-je
- Tu ne le connais pas ? demanda Neïdhr visiblement déçu que je ne le connaisse pas.
- Non, je n'ai étudié que le chant de Gaia, les ars Illuminae restent à mes yeux un chemin inexploré dans lequel je m’efforcerais de pénétrer. Que s’est-il passé ?
- Un rocher venant du ciel, enfin, un météore quoi, est tombé sur le nain puis il y a eu des flammes, vraiment beaucoup, le nain semblait paniqué, il se tordait de douleur par terre, c’était grotesque.
- Tant mieux ! Et il en est mort ?
- Au bout du second sort, il était mort.
- Bien fait pour lui ! m’écriais-je, heureux d’apprendre que la mort du nain avait due être terriblement plus douloureuse que celle de maman.
- Il est génial ce sort ! repris-je. Il me le faut !
- Il NOUS le faut en mémoire à maman. Reprit Neïdhr en m’adressant un clin d’œil.

J’étais de retour de ma petite excursion dans la foret quand je vis un oiseau avec un message à sa pâte, sur le moment, je n’avais pas fait attention à lui mais il semblait me suivre. Je m’arrêta pour regarder son message et je reconnu l’écriture de Vaemyr.

« Raggas, viens le plus vite possible, il s’est passé quelque chose d’horrible à la maison. Dépêches toi ! »

Veamyr nous envoie un message seulement quand une chose grave est arrivé. Alors je couru le plus vite possible dans la direction de notre maison pour connaître la raison de ce message.

Au moment de rentrer dans notre demeure, je ne sais pas pourquoi ni comment, mes jambes se sont arrêter si brusquement que j’ai faillit tomber. Je me ressaisi et j’entra dans la maison, quand soudain je vit Vaemyr et Neidhr en train de pleurer. Je regardai à leurs pieds et je vis notre mère meurtrie pas des coups de haches, morte dans une terrible souffrance.

- Qu’est-il arrivé à notre mère ?
- Neidhr de répondit : Elle est morte, tué par un nain.
- Et ce nain, où est-il ? m’écriais-je.
- Il s’est fait tuer par un elfe qui traînait proche de notre foret. Répond Veamyr
- Si j’avais eu une petite connaissance en magie au niveau des sorts de soin, j’aurais peut être essayer de lui redonner vie.

Une fois sorti de notre maison, je me dirigeai vers la foret pour réfléchir un peu et je tombai sur le cadavre de ce nain. Je vis des météores sur lui et je me dis que l’elfe qui a sauvé mon frère doit avoir une très grande puissance en magie.

Après avoir prié Gaia pour que notre mère repose an paix, j’ai parlé à mes frères de mon envie de soigner le maximum de personnes en difficulté et de tuer tout les nains qui se placeraient au travers de notre chemin ; dans le but de me venger de ce nain et pour ne jamais oublier notre mère. Au départ, mes frères n’approuvèrent pas mon idée, mais à force de persévérances, j’ai réussi à les convaincre de me laisser venger la mort de notre défunt.

Depuis ce jour, je fis la promesse d’apprendre tous les sorts de soin qui puissent exister et quelques sorts puissants pour me venger.

Orphen est le dernier né de la famille Kentaro

Mes frères ont toujours été très durs avec moi surtout Saté qui essayait désespérément de m'apprendre la magie ou plutôt, les rudiments car il faut dire que je n'était pas très doué. Il me répétait que je n'étai pas assez concentré et que j'étais la honte de la famille.

Mais en fait je n'ai jamais voulu apprendre la magie. Tout ce qui m'intéressait, c'était la musique, plus précisément la flûte de pan car mon père avant de partir, m'en avait offert une qui apartenait à la famille depuis des générations. Elle etait constituée de 7 morceaux de bois pris sur l'arbre des kentaro. Sous chaque morceau de bois une lettre y était gravée: sur le premier un "K "sur le second un "E "le troisième un "N" et ainsi de suite jusqu'à former le mot" KENTARO".

Pour échapper à mon frère Saté, je me réfugiais dans une petite cabane que seul Raggas et moi connaissions. Raggas a toujours été mon frère préféré car lui non plus n'était pas très fort en magie et surtout quand Saté me sermonnait il était le seul à ne pas rire de moi. Vaemyr et Neïdhr eux se moquaient sans arrêt .

Un jour alors que je jouais de ma flûte seul dans ma cabane j'entendis des pleurs. Il me semblait entendre Neïdhr, alors je décidais d'aller voir. arriver à la maison la porte était grande ouverte, tout était en désordre et je vis mes 4 frères les uns à côté des autres formant un cercle. Je demandai a Raggas se qui se passai quand je vis ma mère allongée par terre, couverte de sang. Elle etait toute pale ses long cheuveux baignaient dans le sang un sentiment de haine s'installa en moi puis je fondis en larme.
-qu'es...qu'est il arrivé !?
-c...c un nain. dit Vaemyr
-je..je suis arrivé trop tard ....balbutia Neidhr
-ou est cette ordure de nain !?
-il est mort ...j'ai essayer de le tué mai je n'était pas assez puissant un elfe l'a tué avec un sort météore repondi Neidhr
je pris la main de ma mère et criai
Je me jura d'apprendre le sort qui avait venger ma mere et d'eliminer tout les nain qui se metrait sur mon chemin.
Depuis ce jour ne sortent de ma flûte que des fausses notes.
Le lendemain les Kentaro entérèrent leur mère et partir pour devenir plus fort et ainsi assouvir leur soif de vengence envert les nain.

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