Legends of Olympia : La Litanie du Passé - Genèse d'un chevalier noir
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Genèse d'un chevalier noir
Topic visité 321 fois
Dernière réponse le 28/05/2008 à 13:01

olymp Par Anarion  le 22/03/2006 à 11:50

La destinée d’un fils de commerçant…

Mon père était issu d’une vieille famille de commerçant d’Ordenum. Il était un marchand prospère qui avait beaucoup voyagé et il était souvent aller vers Lardanium, Kazad et Zagnadar. Pour des raisons personnelles, en plus d’une vieille rancœur, il évitait d’aller vers Luminaë.
Il s’occupait d’un magasin de vêtements et semblait content de son commerce. Il lui arrivait parfois de faire commerce de quelques bricoles pour dépanner des gens.
Ma mère secondait mon père dans sa tâche mais s’occupait surtout, chose étrange, de la comptabilité alors que mon père préférait coudre et tisser les vêtements, allant du fil le plus simple à la soie la plus douce, voire le fil d’or et d’argent …
Mon père, Amroth, ne s’était pas attirer que des amis, ce qui fut une des raisons (qu’il voulut bien m’expliquer) de sa répugnance à aller à Luminaë. Il avait un jour escroqué un marchand de la capitale HS qui avait alors juré de faire retomber ses foudres sur lui.
Mon père allait peu dans les autres villes d’Olympia comme celles des rebelles ou Nah’elli. A vrai dire, il n’y était peut-être jamais aller.
Par contre, il avait entretenu une longue correspondance avec quelques nains qu’il avait aidé pendant sa jeunesse. Mais il n’allait jamais chez eux (ou extrêmement rarement). Le voyage était rude et dangereux et les relations entre olympiens et nains n’étant pas au beau fixe.

Une nuit, l’année de mes 21 ans, alors que nous avions fini de dîner et que nous étions tous couché, après avoir discuté un moment dans la bibliothèque, un homme sauvage s’introduisit dans la maison, enveloppé d’un tissé de dispersion. Il paraissait bien connaître les lieux. Il se dirigea sans hésiter à l’étage, vers la chambre de mes parents. Il entra doucement dans la pièce mais s’était sans compter sur le sommeil léger de mon père, qui avait gardé un vieux réflexe de soldat. Il se leva d’un coup, une boule d’énergie bleue dans la main, prête à partir.
J’ai oublié de préciser que mon père avait suivi une formation de mage dans sa jeunesse, afin de se protéger et de se guérir en cas de problème pendant ses longs voyages.
En une fraction de seconde, il reconnu l’homme sauvage qui venait de rentrer. C’était en fait un spadassin de l’ancien marchand de Luminaë qu’il avait escroqué. Mon père lui envoya alors sa boule d’énergie avec une rapidité foudroyante.
Mais cet HS avait invoqué sans bruit une même boule d’énergie dans son dos et bien plus puissante. Il repoussa l’attaque de mon père comme le vent le ferait d’une brindille d’herbe.
Mon père n’avait jamais vu une telle puissance. A peine venait-il de réaliser ce qui se passait qu’une deuxième boule sorti des mains de l’HS et le frappa en plein torse.
Ma mère, que le bruit venait de réveiller, n’eue pas le temps de crier : l’HS lui envoya une dague empoisonnée en pleine gorge.
En revanche, l’attaque de l’HS arracha un cri de douleur à mon père qui fut violemment projeté en arrière.
Réveillé en sursaut, je compris très vite que la menace que mon père redoutait chaque jour venait de se réaliser.
Je bondis hors de ma chambre pour me diriger vers celle de mes parents. Je saisis au passage la dague de mon grand-père, accrochée au mur du couloir. Cette dague était un des trésors de la famille, étant de fort bel ouvrage et ayant longtemps servi mon grand père et avant lui son père contre les ennemis de la famille.

(HRP//voilà, depuis le temps que cette chro est commencé pour la VF (depuis plusieurs mois en fait), je prend enfin le temps de la poster. La suite cette après midi ou dans la semaine. J'espère que vous prendrez du plaisir à la lire !)



[Général paladin][Ambassadeur de l'Empire]
Ne cherchez pas un ancien loup, vous le regretteriez...

olymp Par Riyaréos  le 23/03/2006 à 18:18

Pour part très je trouve ça très bien



[Compagnon du crépuscule]

Une chance sur cent de s'en sortir...
Tout à fait mon genre de bataille!!!

olymp Par Xenos  le 23/03/2006 à 18:21

J'attends moi aussi la suite,afin de voir l'évolution de tes sentiments,et la rage en découlant...



olymp Par Anarion  le 24/03/2006 à 20:57

(HRP//dsl de pas pouvoir poster tout de suite mais j'ai pas trop le temps surtout avec les portes ouvertes de mon bahut, surtout que j'y suis toute la journée demain. J'essaie de faire ça pour mercredi de la semaine qui arrive au plus tard)



[Général paladin][Ambassadeur de l'Empire]
Ne cherchez pas un ancien loup, vous le regretteriez...

olymp Par Anarion  le 31/03/2006 à 09:57

Je m’approchais alors doucement de la chambre de mes parents. La porte était grande ouverte et l’homme sauvage se penchait au dessus de mon père prêt à incanter un nouveau sort pour l’achever. Celui-ci parla d’une voix rauque et grave :
- Sale chien d’olympien, tu vas payer. Mon maître avait juré de te retrouver et de se venger. Tu vas mourir.
Puis il éclata d’un rire démoniaque avant de commencer à incanter un nouveau sort. Mais il eu tout juste le temps de l’achever.
Je m’étais prudemment approché de lui pendant qu’il invoquait son sort. Celui-ci ne m’avait pas entendu et lorsqu’il senti une présence dans son dos, il n’eut ni le temps de se retourner ni le temps de fuir. Je lui avais agrippé la tête que je tirai vivement en arrière, dévoilant sa gorge. Puis d’un coup sec, je lui tranchai la gorge au niveau de l’artère pour que celui-ci ne puisse en réchapper.
Le corps tomba au sol comme une masse inerte, secoué de spasme violent.
Anarion : misérable crapule ! Quel vil métier exerces-tu donc là pour assassiner les gens dans leur sommeil ? Tu n’expireras de tes pêchés que dans la mort !
Puis se tournant vers son père agonisant, il se pencha vers lui, les larmes aux yeux :
Anarion : Père... ils vous ont donc retrouver comme vous le redoutiez… vous qui avez été mon mentor et qui aviez encore beaucoup à m’enseigner…
Amroth : Anarion, cela devait arriver… *pause*
Je dois hélas te laisser le commerce alors que je n’ai encore pas fini ta formation…*nouveau silence*
Veille sur ton frère, il est encore jeune. Ne refait pas les bêtises de ma… jeunesse… a… adieu mon… fils.


Anarion se releva, contemplant ses parents qui rejoignaient le panthéon de ses aïeux. Eux qui avaient encore tant d’année à vivre, encore tant à enseigner à leurs enfants. Ils étaient hélas tombés pour une stupide affaire d’escroquerie.
L’olympien ne savait que faire… Il resta hagard quelques instant puis reprenant ces esprits il réfléchit.
Je ne pourrais jamais reprendre et gérer au mieux le commerce familiale. Je vais le déléguer sa gérance et laisser mon frère chez nos cousins. A présent j’ai à faire !.

L’olympien quitta la chambre de ses parents pour mettre de l’ordre dans la maison en attendant le levé du soleil. Lorsque celui-ci se leva, il mit ses meilleurs vêtements que son père lui avait fabriqué pour le jour de sa majorité. Ceux-ci étaient composés d’un pourpoint vert clair, comme la couleur de l’herbe au printemps.
Ce pourpoint était aussi parcouru de fils d’argent et d’or ainsi que de quelques pierreries.
L’olympien avait aussi chaussé de grandes bottes en cuir marron par-dessus son pantalon blanc puis ceint son épée bâtarde à sa gauche. Un chapeau serait inutile pour voir l’olympien qu’il voulait rencontrer.

Il sorti de chez lui par une belle journée ensoleillée et se dirigea vers le centre de la ville, où les gens s’afféraient déjà pour rendre leur devoir aux dieux, faire leurs marchés, …
Le soleil donnait contre l’ancien temple, devenu quartier général des Chevaliers Noirs. Il éclairait le lierre qui parcourait les murs ou se réfléchissait contre les espaces de pierres blanches.
L’olympien, passant devant la statue de Zeus s’inclina en signe de profond respect et en souhaitant la mort de tout les HS qui s‘étaient mis au travers des olympiens.
- Mon dieu, accordez-moi votre bénédiction et faites que mon bras soit toujours aussi prompt et efficace pour servir le seigneur de cette ville.

-------------------à suivre------------------------



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olymp Par Anarion  le 23/03/2008 à 23:05

HRP//Depuis le temps que cette chro est commencée, je ne l’avais encore jamais remise à jour, ni même terminée la partie concernant les CNs, n’ayant encore pas écrit la suite au brouillon à l’époque. Après quasiment deux ans, je m’y remets enfin, non sans mal je dois dire, je ne me souviens plus trop de ce que je voulais dire à l'époque . Le fait est aussi que je n’ai gardé aucunes archives des bals de l’époque donc ça n’aide pas mais dans l’ensemble ma demande devait ressembler à ce que je décris, ou en tout cas mon intention devait y ressembler… ^^ En vous souhaitant une bonne lecture (ou une bonne relecture des deux premières chros ), même si mon style a du pas mal changer.//HRP

Anarion se rendis donc au bureau du seigneur Slash, à l’époque intendant de la ville d’Ordenum. Il pénétra dans le quartier général des Chevaliers Noirs, hélant au passage un page ou un serviteur pour lui demander la direction du bureau du seigneur des lieux. Après une brève hésitation, celui-ci lui répondit :
- Allez de ce côté, une des portes est entrouvertes, vous devriez le trouver ici. Mais je vous préviens, il n’aime pas être dérangé pour des futilités.

Visiblement, les vêtements de l’olympien laissait à penser qu’il s’agissait d’un marchand venant se plaindre de telle ou telle chose ou quémander une somme d’argent dérisoire. Anarion lui lança un regard noir et lui lâcha d’un ton abrupt :
- Ais-je la tête à déranger notre seigneur pour les raisons que tu penses serviteur ? Le seigneur Slash me connaît, renseigne-toi la prochaine fois avant de déblatérer de telles idioties ! Je ne suis pas là pour représenter les intérêts de mon père.

Il n’y avait pas de mépris dans ses paroles mais une certaines colère et visiblement une exaspération qui dépassait ce que le page pensait, les parents du futur CN venant de se faire assassiner, il avait autre chose à faire que d’écouter ce genre de paroles. Puis se détournant sans autre forme, laissant le page interdit, il se dirigea vers la partie de l’édifice qu’on lui avait indiqué. Après quelques pas, l’oympien repéra la dite porte entrouverte. Il stoppa un instant, le bras levé, prêt à toquer à la porte. A l’intérieur, nul bruit de présence ne régnait en dehors d’une buche qui crépitait de temps à autre dans l’âtre d’une cheminée. L’ordenien hésita à frapper puis après quelques secondes, il toqua enfin. Une voix plongée dans ses réflexions lui répondit d’entrer.

Anarion poussa donc la porte et pénétra dans le bureau. Un fauteuil faisait face à la cheminée, légèrement en retrait, et un olympien, y était assis. Il y avait plusieurs mois qu’il n’avait pas vu le seigneur Slash et le rencontrer dans ses appartement avait toujours quelque chose d’intimidant. Non loin, une table rectangulaire jouxtait le fauteuil, recouvert de missives, de livres de comptes, d’armes et de tout un tas d’autre chose dans un joyeux fourbi. Après quelques instants d’hésitations et de silence, le nouvel arrivant pris la parole :
- Seigneur, aujourd’hui je viens vous faire une requête que je repousse depuis plusieurs mois… L’heure est venue pour moi de servir ma cité, ayant atteint ma majorité et plus rien désormais ne me retenant à mes racines familiales. Acceptez-vous que je vous serve chez les Chevaliers Noirs ? voulez-vous faire de moi un membre de votre meute ?

Slash tourna alors la tête pour regarder l’olympien qui venait de faire sa demande et lui répondre :
- Je m’attendais à ta visite, tu sais qu’une place t’attends parmi nous, même si ta formation reste à parfaire. Ta requête est acceptée.

Comme à son accoutumée, le seigneur des loups n’était pas avare de paroles, allant toujours à l’essentiel. Une lueur se remit alors à briller dans les yeux du tout nouveau CN, bien qu’assez faible. Il remercia son seigneur puis prit congé, la tête pleine de pensées… et de projets. Un chevalier noir naissait alors, mais il ne se doutait pas des chemins par lesquels il allait passer, des troupes qu’il allait diriger à Héliké et de la confiance que lui octroya souvent son seigneur… mais surtout, il n’aurait jamais pu se douter que ses pas le mènerait un jour chez les paladins, il n’aurait jamais pensé pousser un jour la porte d’Ackron, le chef du corps d’élite de Lardanium et lui demander de l’intégrer aux paladins, lui qui s’était souvent méfié de la capitale et de certains paladins qui en un temps avaient tout fait pour dénigrer les CNs… mais ceux-ci avaient visiblement changer, comme il s’en aperçu lorsque Dlog avait été chargé de veiller à ce que plus rien ne le rattachait aux CN et que sa demande était sincère.

-------------------à suivre------------------------



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olymp Par Anarion  le 28/05/2008 à 13:01

Après avoir passé quelques mois à servir à Lardanium en tant que simple paladin, Anarion fit sa demande pour devenir ambassadeur lorsqu’un appel à candidature fut lancé. Après l’échange de quelques missives, il fut convenu que l’olympien aurait en charge le peuple nain.

L’ancien Chevalier Noir voyait d’ordinaire plutôt d’un assez mauvais œil qu’un membre de faction soit également ambassadeur car selon lui, cela ne permettait pas d’être objectif en cas de discussion diplomatique, ni de faire preuve d’impartialité. Il lui avait pourtant bien fallu revoir son point de vu après qu’il ait effectué sa demande. Mais cela n’allait pas sans avoir conscience qu’il fallait savoir faire la part des choses entre ce que pense ou veut un membre d’armée et ce que pense un ambassadeur, car les réactions à avoir ne sont pas vraiment les mêmes selon les situations.

Après quelques mois passés à ce poste, Anarion fut nommé général paladin suite à une réorganisation de la faction. Ce n’est qu’alors qu’il s’aperçut qu’il n’avait jamais réellement eu de quartier chez les paladins, passant davantage son temps sur Olympia ou en mission qu’à se rendre au quartier général paladin. De retour en ville, le paladin alla donc dans les quartiers des paladins afin de choisir un bureau afin de régler les différentes affaires qui lui incombait en tant que général d’armée mais aussi pour entreposer convenablement ses affaires, qui étaient posées dans un coin dans une des nombreuses salles que comptait le bâtiment.

Après une visite des lieux, Anarion choisi rapidement une salle à laquelle était attenante une petite chambre. Les murs étaient en pierre de taille blanche, comme beaucoup des bâtiments de la capitale olympienne. Les pierres étaient si bien assemblées que les joints étaient difficilement repérables au premier coup d’œil ou au toucher. Une grande fenêtre à meneau était percée dans le mur qui faisait face à la porte. Ce mur du bâtiment étant orientée au sud, ce qui laissait rentrer les rayons des soleils d’Olympia une bonne partie de la journée et offrait une vue sur toute la partie sud de la capitale olympienne et, au-delà des murailles, sur les vastes plaines d’Olympia, dans lesquelles nombre de paysans travaillaient la terre.

Après un rapide coup d’œil, l’olympien fit un inventaire de ce qu’il manquait dans la salle qui lui servirait désormais de bureau ainsi que dans la salle qui lui servirait de chambre à coucher. Il descendit donc dans les quartiers marchands de la ville pour faire quelques commandes, notamment des meubles et de rangements pour les parchemins. Malheureusement, cela prendrait du temps à construire, les marchands ne manquaient pas de travail avec la prospérité de la capitale. C’est ainsi qu’après quelques semaines d’attentes, quelques chars amenèrent les commandes qui avaient été passées par le paladin, qui arrangea ses quartiers comme il le voulut. Ainsi, une lourde table de monastère en bois massif fut installée en face du mur sud, près de la fenêtre. Le pourtour avait été taillé et ciselé afin de représenter les divinités vénérées dans l’Empire et leurs attributs. Ainsi, on pouvait voir Zeus déchaîner la foudre, Aphrodite entourée de cygnes près d’une cascade ou encore Arès combattant.
Deux grandes tapisseries à bords rouges furent placées contre les murs nord et est, la première représentant la marche d’olympiens vers les terres de l’Ouest, leur arrivée à la mer d’émeraude, puis la fondation d’Ordenum et enfin l’arrivée du seigneur Slash dans l’ancienne colonie, comme un rappel des origines du général paladin a quiconque pénétrait dans le bureau. La deuxième tapisserie représentait la grande guerre qui avait eu lieu bien des millénaires avant, et où les dieux étaient descendus sur Olympia pour soutenir le peuple élu, alors que les nains s’étaient alliés aux géants.

Sur le mur ouest, se trouvait une réplique de la cheminée monumentale qui trônait dans la maison familiale du paladin à Ordenum, et qui avait été taillée et amenée à grand frais de la colonie. Au milieu, le blason de la famille des Ingwë Elensar, la famille du paladin, avait été gravé, représentant une hydre sortant de l’eau, un lion pendant dans une de ses gueules. De chaque côté, un double pilier avait été taillé et soutenait l’avancée de la cheminée et quelques trophées de chasse avait été installés de part et d’autre de la cheminée, au dessus de deux bibliothèques déjà jonchées d’ouvrages et parchemins en tout genre. L’une regroupait plutôt des ouvrages d’assassinat dont notamment le célèbre « De l’art de l’assassinat ou les diverses façons de tuer une personne » ou encore « De l’usage des poisons dans la vie de tous les jours ». Un autre semblait avoir été régulièrement consulté au vu du talon usé : « Les enseignements des Chevalier Noirs et la vie de la meute d’Ordenum ».
La deuxième bibliothèque regroupait des ouvrages et parchemins en tout genre, allant d’ouvrages traitant de stratégie militaire au traité de diplomatie, en passant pas l’histoire de l’Empire ou diverses missives échangées et qui traînait là en attente d’être archivées.

Dans la chambre attenante, un lit à baldaquin avait été placé ainsi que quelques tapisseries contre les murs, représentant les quartiers les plus attirants de la cité blanche, dont ceux des temples, du marché et de l’université.

Après plusieurs semaines d’utilisation, le bureau changea vite d’allure. Des meubles surchargés d’objets en tout genre avaient été rajoutés, des armes jonchaient la pièce un peu partout et la grande table de monastère étaient chargées de missives, qui concernaient les jeux olympiques notamment ou diverses discussions diplomatiques. Une telle désorganisation ne gênait pourtant en rien l’olympien qui savait où retrouver telle ou telle chose, la position de chaque objets, parchemins, etc n’ayant pas été laissée totalement au hasard. Ainsi en était-il de la vie du paladin : ne jamais rien laisser au hasard...



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