Par Kontum le 11/04/2010 à 18:37 Cela faisait maintenant plusieurs mois que Kontum voyageait à travers ce nouveau monde… Sa vie se résumait à marcher, toujours marcher… découvrir, au possible, les ressources nécessaires à l’expansion de sa ville… combattre, une nécessité, pour la liberté de son peuple et de ses alliés. Il n’avait encore jamais connu l’amertume d’une mort, ni la tristesse pour la perte d’un bien des plus précieux à ses yeux. L’on ne pouvait d’ailleurs lire sur visage que les traits d’un être qui se suffait à lui-même, ne portant son attention que sur des quêtes lui octroyant un certain profit non négligeable.
Cependant, avec le temps, il comprit que son évolution, le développement de ses pouvoirs, ne pouvait atteindre son apogée que sous la tutelle de la ville qui l’a vu naître. Ce n’était qu’avec son concours des plus sincère et celui de tous ses semblables que l’université, abritant tous ses nombreux sorts plus puissant les uns que les autres, atteindrait alors l’essor qui lui était du.
Mais l’avenir en était tout autre. Alors que Kontum, ainsi que beaucoup d’autres, avaient entrepris la route des ruines découvertes par les Elfes, sa ville ressentait d’ores et déjà la rage des nains et géants dissimulés non loin de la forêt, attendant passiemment que la route soit libre pour agir et dicter au berceau de Gaïa cette sinistre fatalité. Il leurs fallu si peu de temps pour tout détruire… Chacun des coups infligés se faisaient ressentir à travers tout son corps, le pénétrant d’un désagréable frisson l’amenant petit à petit à regretter son geste. La douleur devenant plus intense, il ne pouvait que revenir sur ces pas… mais il était déjà trop tard. Et, à peine arrivé à l’orée du bois que les tambours résonnaient de leur victoire. Ses nains et géants, si fiers de leur prouesse pour avoir anéanti une ville vidée de ses habitants, si dédaigneux de leur personne pour ce qui leurs semblaient une victoire. A gagner sans combattre il n’y a pas de gloire et ce n’était certes pas ainsi que Kontum percevait la valeur d’une bataille, la raison d’une guerre.
Il se jura que plus jamais il ne quitterait son foyer trop longtemps… qu’il resterait à l’écoute de toute éventuelles menace, parcourant de courts trajets, récoltant par ci et là certains matériaux afin de reconstruire sa cité et mérité ainsi sa citoyenneté.
Mais une mission des plus importantes l’avait amené à répondre présent et sans le savoir, ses jours étaient alors comptés. Le sablier de sa vie arrivait à terme… au tournant d’une nouvelle existence. Une nouvelle aventure qui ne pouvait débuter que par la mort. Il savait pertinemment qu’un jour viendrait où il rencontrerait Hadès dans son royaume… mais pas de cette façon.
Les combats devenaient davantage dramatiques à chaque jour qui passait. Forestiers tout comme Impériaux mourraient les uns après les autres, ne laissant derrière eux plus qu’un éphémère souvenir… Mais c’était de bonne guerre. Les assauts étaient dignes des grands chefs de bataille et l’organisation était de mise avec assiduité. Jusqu’au jour… à ce jour où la lâcheté pris place, où la couardise des Impériaux les força à utiliser ce recours des plus indigne. Et d’une pluie de profondes douleurs, tout s’effaça soudainement… Ces grenades, symbole de faiblesse, asséna d’une mort précipitée tous ceux présents, ne pouvant alors ni se protéger, ni se mettre à l’abri… seulement accepter cette fatalité fortuite.
Kontum est mort, tout comme son familier… mais c’est un nouvel Homme Sauvage digne de ce nom qui reprend vie ! Et c’est une détermination sans égale qui va désormais nourrir son être... dans l’unique but à présent d’éradiquer de la surface de ce monde tous ses êtres dépourvus d’honneur et de respect.
Cependant, avec le temps, il comprit que son évolution, le développement de ses pouvoirs, ne pouvait atteindre son apogée que sous la tutelle de la ville qui l’a vu naître. Ce n’était qu’avec son concours des plus sincère et celui de tous ses semblables que l’université, abritant tous ses nombreux sorts plus puissant les uns que les autres, atteindrait alors l’essor qui lui était du.
Mais l’avenir en était tout autre. Alors que Kontum, ainsi que beaucoup d’autres, avaient entrepris la route des ruines découvertes par les Elfes, sa ville ressentait d’ores et déjà la rage des nains et géants dissimulés non loin de la forêt, attendant passiemment que la route soit libre pour agir et dicter au berceau de Gaïa cette sinistre fatalité. Il leurs fallu si peu de temps pour tout détruire… Chacun des coups infligés se faisaient ressentir à travers tout son corps, le pénétrant d’un désagréable frisson l’amenant petit à petit à regretter son geste. La douleur devenant plus intense, il ne pouvait que revenir sur ces pas… mais il était déjà trop tard. Et, à peine arrivé à l’orée du bois que les tambours résonnaient de leur victoire. Ses nains et géants, si fiers de leur prouesse pour avoir anéanti une ville vidée de ses habitants, si dédaigneux de leur personne pour ce qui leurs semblaient une victoire. A gagner sans combattre il n’y a pas de gloire et ce n’était certes pas ainsi que Kontum percevait la valeur d’une bataille, la raison d’une guerre.
Il se jura que plus jamais il ne quitterait son foyer trop longtemps… qu’il resterait à l’écoute de toute éventuelles menace, parcourant de courts trajets, récoltant par ci et là certains matériaux afin de reconstruire sa cité et mérité ainsi sa citoyenneté.
Mais une mission des plus importantes l’avait amené à répondre présent et sans le savoir, ses jours étaient alors comptés. Le sablier de sa vie arrivait à terme… au tournant d’une nouvelle existence. Une nouvelle aventure qui ne pouvait débuter que par la mort. Il savait pertinemment qu’un jour viendrait où il rencontrerait Hadès dans son royaume… mais pas de cette façon.
Les combats devenaient davantage dramatiques à chaque jour qui passait. Forestiers tout comme Impériaux mourraient les uns après les autres, ne laissant derrière eux plus qu’un éphémère souvenir… Mais c’était de bonne guerre. Les assauts étaient dignes des grands chefs de bataille et l’organisation était de mise avec assiduité. Jusqu’au jour… à ce jour où la lâcheté pris place, où la couardise des Impériaux les força à utiliser ce recours des plus indigne. Et d’une pluie de profondes douleurs, tout s’effaça soudainement… Ces grenades, symbole de faiblesse, asséna d’une mort précipitée tous ceux présents, ne pouvant alors ni se protéger, ni se mettre à l’abri… seulement accepter cette fatalité fortuite.
Kontum est mort, tout comme son familier… mais c’est un nouvel Homme Sauvage digne de ce nom qui reprend vie ! Et c’est une détermination sans égale qui va désormais nourrir son être... dans l’unique but à présent d’éradiquer de la surface de ce monde tous ses êtres dépourvus d’honneur et de respect.
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