Par Blood Fists le 06/12/2010 à 18:54 Voilà plusieurs jours que le jeune nain distribuait des tracts pour une conférence sur le tourisme multi-culturel lié à notre histoire commune. Et voilà que le jours fatidique était arrivé.
Peu de gens étaient présent en bas de l'estrade pour écoutez le nain, néanmoins quelques jeunes lutins étaient là, le regarde vif et avide de découvrir par procuration le vaste monde, source de tant de rêves et de convoitise
Le nain pris donc la parole :
"Cher public, je suis si ému de pouvoir vous parler enfin de la première partie de mon voyage à travers le monde, à la découverte des trésors enfoui de la terre, révélateurs de notre riche et triste histoire.
J'ai vue dès lors de nombreux lieu et d'anciennes ruines. Etant un nain, j'ai tout naturelement voulu voir l'ancien bastion de notre peuple, la cité d'Ordenum, et je l'a vis, des ruines majestueuses mise à bas par un Dieu qui nous hait. Quel ne fut pas dès lors mon émotions quand, m'approchant d'avantage, mes yeux se posèrent sur les anciens bas-relief décorant les murailles de la cité.
C'est pour vous parler de ces merveilles qui mérite d'être vues et partagé par tous que je vous parle en ce jour. Afin que tous, nains, elfes, géants, lutin, hommes sauvages, olympien, et même toi Aaarghl, brave compagnon, puissiez un jour voir et découvrir tous ces majestueux lieux d'histoire.
Après Ordenum, mes pas me portèrent jusqu'au au grand nord, au delà de la mer d'Emeraude, terre de neige éternel. Point de neige là bas, mais des traces d'une vieille civilisation. Je ne restais guère, l'aventure m'appelant au sud, je redescendis donc, longeant la rives ouest de la mer d'Emeraude et ses merveilleux paysages, ses plages de sables fin et ses otaries. Là, une fantaisie me vint et je choisi de bifurquer vers l'ouest, pour poser mes yeux sur les majestueuses montagnes de la chaîne des Dieux, si hautes que leurs cîmes disparaissent dans une mer de nuages. Mon arrivé concorda avec un étrange rituel dans un vieux temple dédié à Hèrmes, après avoir profiter du paysage et discuter avec les otoctones, c'est avec plein de souvenir merveilleux que je repris ma route, bien avant la fin des festivité au temple.
Une vieille carte qu'un ami m'avait fournit m'indiquait les ruines de Luminae dans la forêt des ombres comme un lieu de merveille sous la frondaison d'arbres centenaire. Je ne fut pas déçu, c'est vraiment un lieu extraordinaire, mais prenez garde à bien vous fournir en baume de ciguë pour vous protéger des moustiques qui y sont fort gros !"
Le nain pris une pause et avala quelque gorgé de bière à la violette.
"Aaaaaah, je vous la conseil celle là, de la bonne bière de notre nouveau chez nous !
Bref, revenons en à nos péripéties. Car voilà que les chose allait se gâter. Une fois Luminae visiter je reparti pour Kazad, afin de passez le bonjour à ma vieille mère. Une semaine plus tard et déjà j'étais reparti sur les routes.
Ma prochaine étape : la vieille cité naines de Kazad à Gorog, il était temps car aujourd'hui je ne sais ce qu'il en reste. La zone était en conflit et il fut ardu d'y voyager tant les barrages militaire, les contrôles d'identité y était fréquent, néanmoins étant un modeste citoyen sans histoire j'ai pu finalement accéder à ce monument de l'histoire de mon peuple. Non sans m'être moult fois bruler les pieds près des couler de laves, c'est un endroit fort chaud et dangereux pour qui n'est pas habituer aux longues randonnées.
Toujours est il que, et je ne sais comment, le danger vint, on me dit de fuir aussi vite que mes courtes jambes me le permettaient. Ce que je fis, avec la ferme intention de partir pour les ruines de Sigdil, dans le désert. En plein territoire forestier. Sans mauvaises intentions bien sur, par simple curiosité touristique, pour continuer mon voyage.
Le début du trajet se passa bien, un certains Phantom me regarde d'un air louche puis quand il vit que je ne représentais pas une menace me laissa à mes péripéties. Ainsi j'ai pensé que le peuple de la forêt était un peuple accueil, malgré les histoires que me racontait ma grand mère au coin de l'âtre. Je me trompais.Quelques jours de marche plus tard je fus frappé par un sort, malgré ma politesse et mes tentatives pour prouver ma bonne foi.
En voyant cela j'ai peur pour l'avenir de nos peuples. S'il n'est pas possible de voyager librement sans mal intention, s'il n'est pas possible de pratiquer une activité saine, instructive et paisible qu'est la randonné touristique et archéologique, alors je vous le demande mesdames et messieurs ! Où !? Où va le monde !"
Enflammé par sa dernière tirade, le nain finit sa chope d'un trait, la claquant bien fort sur le table à sa droite pour bien faire comprendre qu'il n'en avait plus assez.
"Voilà, mesdames et messieurs la première partie de mon voyage. Je vous parlerais plus tard des ruines de Sigdil, perdues dans le sable, et de celles de Quatar plus loin au nord. J'espère ensuite pouvoir visiter la majestueuse Zagnadar, parché sur sa montagne, voir les limites sud du monde connu et le chaud désert de Yacov. Bref, je suis loin d'avoir fini mon voyage ! Néanmoins, il me semblait nécéssaire de vous faire part des difficultés que peuvent rencontrer d'honnêtes voyageurs sur les routes de nos temps !"
Peu de gens étaient présent en bas de l'estrade pour écoutez le nain, néanmoins quelques jeunes lutins étaient là, le regarde vif et avide de découvrir par procuration le vaste monde, source de tant de rêves et de convoitise
Le nain pris donc la parole :
"Cher public, je suis si ému de pouvoir vous parler enfin de la première partie de mon voyage à travers le monde, à la découverte des trésors enfoui de la terre, révélateurs de notre riche et triste histoire.
J'ai vue dès lors de nombreux lieu et d'anciennes ruines. Etant un nain, j'ai tout naturelement voulu voir l'ancien bastion de notre peuple, la cité d'Ordenum, et je l'a vis, des ruines majestueuses mise à bas par un Dieu qui nous hait. Quel ne fut pas dès lors mon émotions quand, m'approchant d'avantage, mes yeux se posèrent sur les anciens bas-relief décorant les murailles de la cité.
C'est pour vous parler de ces merveilles qui mérite d'être vues et partagé par tous que je vous parle en ce jour. Afin que tous, nains, elfes, géants, lutin, hommes sauvages, olympien, et même toi Aaarghl, brave compagnon, puissiez un jour voir et découvrir tous ces majestueux lieux d'histoire.
Après Ordenum, mes pas me portèrent jusqu'au au grand nord, au delà de la mer d'Emeraude, terre de neige éternel. Point de neige là bas, mais des traces d'une vieille civilisation. Je ne restais guère, l'aventure m'appelant au sud, je redescendis donc, longeant la rives ouest de la mer d'Emeraude et ses merveilleux paysages, ses plages de sables fin et ses otaries. Là, une fantaisie me vint et je choisi de bifurquer vers l'ouest, pour poser mes yeux sur les majestueuses montagnes de la chaîne des Dieux, si hautes que leurs cîmes disparaissent dans une mer de nuages. Mon arrivé concorda avec un étrange rituel dans un vieux temple dédié à Hèrmes, après avoir profiter du paysage et discuter avec les otoctones, c'est avec plein de souvenir merveilleux que je repris ma route, bien avant la fin des festivité au temple.
Une vieille carte qu'un ami m'avait fournit m'indiquait les ruines de Luminae dans la forêt des ombres comme un lieu de merveille sous la frondaison d'arbres centenaire. Je ne fut pas déçu, c'est vraiment un lieu extraordinaire, mais prenez garde à bien vous fournir en baume de ciguë pour vous protéger des moustiques qui y sont fort gros !"
Le nain pris une pause et avala quelque gorgé de bière à la violette.
"Aaaaaah, je vous la conseil celle là, de la bonne bière de notre nouveau chez nous !
Bref, revenons en à nos péripéties. Car voilà que les chose allait se gâter. Une fois Luminae visiter je reparti pour Kazad, afin de passez le bonjour à ma vieille mère. Une semaine plus tard et déjà j'étais reparti sur les routes.
Ma prochaine étape : la vieille cité naines de Kazad à Gorog, il était temps car aujourd'hui je ne sais ce qu'il en reste. La zone était en conflit et il fut ardu d'y voyager tant les barrages militaire, les contrôles d'identité y était fréquent, néanmoins étant un modeste citoyen sans histoire j'ai pu finalement accéder à ce monument de l'histoire de mon peuple. Non sans m'être moult fois bruler les pieds près des couler de laves, c'est un endroit fort chaud et dangereux pour qui n'est pas habituer aux longues randonnées.
Toujours est il que, et je ne sais comment, le danger vint, on me dit de fuir aussi vite que mes courtes jambes me le permettaient. Ce que je fis, avec la ferme intention de partir pour les ruines de Sigdil, dans le désert. En plein territoire forestier. Sans mauvaises intentions bien sur, par simple curiosité touristique, pour continuer mon voyage.
Le début du trajet se passa bien, un certains Phantom me regarde d'un air louche puis quand il vit que je ne représentais pas une menace me laissa à mes péripéties. Ainsi j'ai pensé que le peuple de la forêt était un peuple accueil, malgré les histoires que me racontait ma grand mère au coin de l'âtre. Je me trompais.Quelques jours de marche plus tard je fus frappé par un sort, malgré ma politesse et mes tentatives pour prouver ma bonne foi.
En voyant cela j'ai peur pour l'avenir de nos peuples. S'il n'est pas possible de voyager librement sans mal intention, s'il n'est pas possible de pratiquer une activité saine, instructive et paisible qu'est la randonné touristique et archéologique, alors je vous le demande mesdames et messieurs ! Où !? Où va le monde !"
Enflammé par sa dernière tirade, le nain finit sa chope d'un trait, la claquant bien fort sur le table à sa droite pour bien faire comprendre qu'il n'en avait plus assez.
"Voilà, mesdames et messieurs la première partie de mon voyage. Je vous parlerais plus tard des ruines de Sigdil, perdues dans le sable, et de celles de Quatar plus loin au nord. J'espère ensuite pouvoir visiter la majestueuse Zagnadar, parché sur sa montagne, voir les limites sud du monde connu et le chaud désert de Yacov. Bref, je suis loin d'avoir fini mon voyage ! Néanmoins, il me semblait nécéssaire de vous faire part des difficultés que peuvent rencontrer d'honnêtes voyageurs sur les routes de nos temps !"