Legends of Olympia : La Ballade des Mémoires - La mana. Rapports d'étude d'Earenïel Resiae.
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La mana. Rapports d'étude d'Earenïel Resiae.
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Dernière réponse le 15/12/2010 à 00:40

elfe Par Earenïel Resiae  le 15/12/2010 à 00:40

Ce document est mis à votre disposition par l'Institut des Sciences de la Tour de Jade.

Sommaire:

Introduction: De la Mana et de sa présence sur Olympia.

Première partie: De l'utilisation de la mana par les différents peuples d'Olympia.

I. La Magie:
1. Les bases.





Note de l'auteur: Le rapport n'est pas encore disponible intégralement. Nous publierons au fur et à mesure des avancées des études.

A suivre prochainement:


2. Les magies raciales.
a. Les Ars Illuminae.


La première partie concernant les bases de la magie sera prochainement agrémentés de schéma

ANNONCE: Pour la suite de ses travaux, l'auteur aurait besoin de pratiquant en magie, de toutes races, susceptibles de lui fournir quelques informations sur la pratique de leurs arts.
Veuillez prendre contact avec lui, si intéressés.


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La mana
Par Earenïel Resiae, membre de l'Institut des Sciences de la Tour de Jade, à Na'Helli.



Introduction: De la Mana et de sa présence sur Olympia.

La mana est omniprésente sur Olympia. Sa présence est devenue si naturelle que l’on y pense rarement, mais peu d’endroit des Terres Connues sont dépourvu d’énergie spirituelle.
Chaque individu de chaque peuple d’Olympia est capable de canaliser cette énergie est de l’exploiter pour des actions diverses, souvent lié à des activités magiques et plus généralement d’ordre spirituelle. Certains peuples ont cependant des affinités différentes à capter et à retenir le flux de mana, ainsi il est généralement admis que les Hommes Sauvages ont une maitrise de cette énergie accrue, alors que les Nains ont plus de difficultés à la retenir.
Mais si les différentes race d’Olympia sont capable de capter est d’utiliser la mana, la maîtrise de flux de celle-ci ne sont pas leur monopole. Et chaque être vivant, animaux comme plantes, possèdent ne serait-ce qu’une étincelle d’énergie spirituelles en elle, bien que la plupart de ces organismes n’utilisent pas activement leur potentiel magique, il existe au contraire certaines espèces pour qui la mana est la source d’énergie principal.
Par opposition; rien qui ne soit dépourvu de vie est capable de puiser dans le flux de mana, du moins à notre connaissance. On admet donc que la capacité de faire venir à soit ce flux est une propriété de la vie.

On parle de flux de mana, car à la surface de la planète, cette énergie parcourt la terre à la manière du sang chez les animaux, en suivant des canaux ramifiés de taille plus ou moins importante(Note: Possibilité de lier cette particularité au culte de Gaïa chez le Peuple Sauvage?). Cette comparaison est d’autant plus juste si l’on considère Olympia à la matière d’un être vivant. ). Une convergence de plusieurs flux massif peux aboutir à la formation d’une structure minéral, les cristaux du mana, qui sont une solidification de l’énergie magique, comme chacun sait. Ces structure ont, du fait de leurs origines, certaines propriétés qui les rendent utile pour un bon nombre d’utilisation dans le domaine de la magie.
Le flux de mana si il semble équitablement répartis sur tout Olympia est plus difficile à capter dans différents lieux, ainsi il est très difficile à capter pour la plupart des races (Homme Sauvages exclus) dans les marais (Explication?). Et même impossible à capter dans le désert, si aucune explication satisfaisante explique aujourd’hui à ce phénomène, il est possible qu’il soit lié au fait que peu d’organismes vivants est capable de survivre dans un environnement aussi aride. (Ceci sera plus développés dans la partie du rapport dédié aux interactions de la mana et de la vie.)

Ce rapport à pour but de traiter tous les aspects de la mana, par l’études dans un premier temps dans les diverses utilisation connue aux seins des différentes race d’Olympia, puis de la façon dont il est possible d’altérer la canalisation ou l’utilisation du flux, et enfin du lien étroit qui lie vie, et mana.


De l’utilisation de la mana par les différents peuples d’Olympia

I. La Magie

Si chaque peuple connait des moyens d’utiliser l’énergie magique à sa façon, ce qu’aucun autre ne pourrait reproduire, chacun est capable d’utiliser la magie à des degrés différents. Il est aussi admis que chaque spécificité magique d’une peuplade pourrait être utilisée par n’importe laquelle, à des degrés de maitrise moindre.
C’est pourquoi il est intéressant de se pencher d’abord sur l’utilisation de la mana dans cette discipline plutôt répandue.

1. Les bases

Si la façon d’appréhender la magie diffère en fonction des peuples, et plus encore au niveau de l’individu, les différents témoignages nous ont permis d’isoler les différents stades qui permettent le « lancer » d’un sort.

La première est la canalisation du flux. La mana est plus ou moins présente à l’état naturel chez les individus, et ce niveau reste stable la majeure partie du temps. Le lancer de sort nécessite primairement de puiser une part de cette énergie présente en soi. En fonction de la puissance du sort, il sera nécessaire de puiser des quantités proportionnelles de mana. Il est d’ailleurs impossible de lancer un sort lorsque l’on ne possède pas le capital énergétique nécessaire, du moins en théorie. Bien qu’aucun témoignage ne vienne appuyer cette affirmation, il est fortement déconseillé d’incanter lorsque l’on a pas en soi la force nécessaire.
Ce que nous appelons le « capital magique » présente encore une fois une diversité assez importante. Les capitaux les plus faibles ont été observés chez les Nains, alors que les plus forts prennent racines au sein des hommes sauvages.
Note: le soigneur Spike semble présenter un capital magique tout à fait exceptionnel. Cas d’étude potentiel?


Une fois le flux catalysé, l’incantateur ne manipule encore que de la mana à l’état brut. Il n’est cependant pas encore temps de transformer l’énergie. Il faut pour commencer fixer le sort. Bien que moins spectaculaire que l’étape suivante, la fixation est indispensable à la réussite du sort, sans cela l’énergie puisée échappe à l’incantateur. Dans tous les cas, cette étape nécessite au préalable ce qu’on appellera ici la « force de volonté». Pour la fixation d’un sort personnel, une force de volonté minimale est déjà requise, on note d’ailleurs que plus le sort est puissant, plus cette force doit être grande. De plus, on observe que même lorsqu’il s’agit d’objet inanimé, la fixation du sort nécessitera une force proportionnelle à la distance de la cible.
En effet, il est nécessaire d’établir un contact magique entre une cible et soi, par le biais de la mana. Est-ce lien qui permet au sort de prendre une forme une fois incanté ? Peut-on imaginer un géant exercer sa magie vaudou sans contact avec sa cible, par exemple?
Cependant un tel lien est plus difficile à fixer sur une cible vivante, lorsqu’il s’agit d’une incantation hostile. Personne n’aime griller sur place, ou sentir des esprits s’en prendre à lui. Dans ce genre de cas, les forces de volonté des deux adversaires s’affrontent. Si l’incantateur gagne, le lien sera effectif. Si la cible l’emporte, le lien échouera et l’énergie sera perdue.
À titre purement informatif, les plus grandes forces de volontés naissent souvent au sein du Petit Peuple, dont l’opiniâtreté est d’ailleurs légendaire. Elle est souvent plus faible chez les Grands Etres.
Note: Actuellement, la plus grande force de volonté est observable chez un homme sauvage.

Passons maintenant à l’étape la plus impressionnante de par plusieurs points de vue. C’est par cette étape que la boule de feu prend vie, que la rune sera effective, ou que le soin prendra. Une fois le sort fixé, cette étape ira de soi bien évidemment. Il est théoriquement impossible d’échouer un sort une fois celui-ci fixé.
Cependant, pour un bon nombre de sorts, la puissance du sort dépendra bel et bien de l’incantateur, ou plutôt d’une nouvelle donnée propre à celui-ci, la « puissance magique ». Cette donnée est à prendre en compte exclusivement dans les magies du type offensif et curatif. Plus la puissance magique d’un individu est important, plus l’effet du sort sera impressionnant. En prenant pour exemple le sort curatif, appartenant au chant de Gaïa, on a déjà vu des utilisations de sort capables de refermer sans cicatrice des blessures sévères, alors qu’un témoin nous rapporte l’avoir vu échouer à guérir des égratignures bénignes. Cela est entièrement imputable à la puissance magique du soigneur.
Pour les sorts dits « offensifs », le rapport est le même. La puissance magique de l’incantateur fera la différence entre un simple choc électrique et un éclair dévastateur. Cependant, l’individu pris pour cible n’est pas totalement désarmé face à ce type d’attaque, il peut lui-même interférer avec sa propre puissance magique, afin de minimiser les effets du sort. Et cela sera d’autant plus difficile pour lui que la puissance originelle du sort sera élevée. Notons tout de même qu’il est impossible pour la cible de faire avorter totalement le sort à cette étape de l’incantation.
Encore une fois, pour donner une idée au lecteur, les plus grandes puissances magiques sont souvent observés chez les Elfes de sang Nobles, alors que les Nains sont ceux qui en ont le moins.
Note: Actuellement, Voronwë est une des plus grandes puissance magique d’Olympia. Penser à entretenir avec lui à ce propos.

Le passage de ces trois stades permet à l’incantateur de passer de la mana contenue en lui, à un autre type d’énergie, déterminé par la nature du sort. Cependant il me semble nécessaire de traiter un dernier stade qui permet de clore le cycle. Le capital mana d’un individu n’étant pas infini, il lui est nécessaire de le renouveler. Pour cela, et c’est la dernière étape, il puise l’énergie dans la nature autour de lui, plus ou moins consciemment. Chaque individu, encore une fois, n’est pas égal aux autres sur la quantité d’énergie qu’il peut absorber en un temps donné. Cela dépend d’un dernier paramètre, que nous appelons absorbance magique. Nous en reparlerons plus tard, mais l’absorbance magique est le paramètre le plus utilisé pour nuire aux mages. En effet, un magicien incapable d’absorber la mana, finira rapidement à cours de mana, et donc de sorts. De même, c’est le seul paramètre magique sujet à l’environnement, il est considéré comme impossible d’absorber dans un environnement désertique par exemple.
Nous fermons cette partie sur les mêmes données comparative que précédemment, il est en moyenne plus facile d’absorber la mana pour les Hommes et Femmes Sauvages, alors que les nains y présentent plus de difficultés. (Note: Ce paramètre est surement à corréler avec le capital mana.)

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HRP: Merci à Ambre pour la correction.