Quelques années en arrière...

Une jeune olympienne, un décord plus qu'enchanteresse... Les jardins de la somptueuse Lardanium faisait face.
La première chose qui ouvrit les sens fût bel et bien cette odeur subtile de parfum. On y respire le bon vivre. Cette odeur ne fût pas camouflée, mais amplifiée grâce à cette flore si bien dessinée et tracée, tous convergent vers un point centrale qu'est la fontaine.

En haut de ce décord, un olympien d'une quarantaine d'année, sans doute un riche personnage à la vue de ses habits, accompagné d'un Nain, dévisagaient la jeune olympienne, vétue très simplement, en habit d'étudiante.
Ils descendirent les marches de l'hotel, où la facade dominait une grande rue marchande.

L'olympien, que l'on reconnu comme un grand précepteur à l'aide de ses bijoux, fit signe à l'étudiante de le suivre à l'extérieur.
En effet, on entendit résonner les cors de soldats impériaux à travers les murs.
Par la fenêtre, d'autres jeunes olympiens étaient atrouppés au millieu de la Garde.

Un soldat, le chef du régiment pouvait-on deviner, s'avança vers la porte ouverte.


Au nom de l'Empire,

Tous les élèves de l'école impérale sont dans l'obligation de nous accompagner vers le lieu de formation !
Le retard n'est pas toléré !
Ainsi, que tous ceux qui sont concernés, sortent d'ici et nous rejoignent !


Le précepteur impérial encouragea l'olympienne à rejoindre le rang, ce qu'elle fit immédiatement.


Plus tard, le rang d'élèves entra dans une cour à l'intérieur d'un haut batiment. Tous étaient réuni en colonnes de dix, magnifiquement formés
C'est ici que la sélection et les épreuves allaient pouvoir débuter... Mais avant, un test sur le mental se mit en place.

Plus tard; la jeune olympienne s'avança vers l'estrade, tremblante de ses membres. Le chef du régiment n'était pas un tendre, de son armure de plate, il fusilla du regard l'élève au longs cheveux blonds.


- Assie toi ici, fille de riche, et répond à ma question !
Jures-tu fidélité à l'Empire et à notre armée ?!

L'olympienne hésita, elle tramblait encore... Elle releva subitement la tête, et à la stupéfaction du Soldat:

- Hum... Que voulez-vous que je vous réponde ? Par une affirmation vrai ou une question ?

Le Soldat qui n'aimait pas les personnes dépendante et fils à papa, ne se retanait pas.

- Hein ! Tu racontes n'importe quoi sale gamine ! Attends que je te corrige !

A peine leva-t-il son immense bras, que des membres de son régiment le retena farouchement de tout leur poids.
La gamine commença à lacher un petit sourire moqueur en coin vers le Soldat.

- Lachez-moi ou je vous envoie tous au trou !
Tu as bien de la chance aujourd'hui gamine, mais ça ne se passera pas comme ça ! Les gens de ton espèce, je les forge à partir du berceau !

Elle ne répondit rien à l'olympien, se contentant d'acquiesser de la tête, avec une arrière pensée de moquerie.

- Les dernières épreuves pour passer le cap seront les plus durs, croie moi !
Au suivant !


Les heures passaient...
Elle rentrait vers son lieu de résidence, toujours aussi bien décoré et enchanteresse, et alla à la rencontre de son maître...