Legends of Olympia : La Ballade des Mémoires - Le début d'une aventure Sauvage
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Le début d'une aventure Sauvage
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Dernière réponse le 13/09/2012 à 17:58

hs Par Knuck  le 13/09/2012 à 17:58



Depuis sa tendre enfance, Knuck s’était toujours questionné sur le monde à l’extérieur de sa forêt. Il faut dire que ses parents avaient toujours vécues là, aussi loin qu’il se souvient, isolé de tous, caché des étrangers et des conflits. Parfois des marchands du peuple sauvage passaient et faisaient du troc avec son père, mais jamais la petite famille ne se montrait quand s’était une personne d’une autre race. Knuck n’avait donc jamais vue une personne d’une autre espèce. En tant que telle Knuck ressemblait beaucoup à son père qui était entièrement Renard bleu. Tout comme lui sa chevelure était bleuâtre ainsi que ses longues oreilles, le reste de son anatomie était humain du visage au pied à l’exception des ses main poilus et griffus et sa queue de renard. Quand à sa mère, elle possédait quasiment les mêmes traits de renard bleu à l’exception qu’elle semblait plus humaine, plus raffinée.

Rendu à son dix-septième anniversaire, il décida donc de quitter ses parents, non pas sans peine. Avec beaucoup d’insistance de la part de ses parents, il retarda son voyage à la prochaine saison. C’était la saison du temps de l’éveil et la neige avait presque finit de fondre, la température serait plus clémente pour lui à la saison du Renouveau. Knuk pensa tout de suite s’était un subterfuge pour le garder une saison de plus, mais son père le rassura.


-Tu as ma bénédiction pour partir mon fils, je ne veux juste pas que tu partes sur un coup de tête, comme tu a l’habitude de faire. Je veux que tu sois bien équipé et prêt pour survivre à toutes les saisons. Je vais partir durant une semaine et j’ai besoin de toi ici pour surveillé ta mère et ta sœur Tikal, elle n’a que quelques mois et je ne veux pas non plus que ta mère s’épuise.

Le jeune ado faillit dire clairement à son père que se n’était pas son problème et que c’était maintenant où jamais qu’il devait partir, mais il avait trop grand respect pour lui pour le faire et il restât. Il entretenait le ménage, durant sa mère nourrissait sa sœur. Il alla cueillir des baies, durant que le reste de la maisonnée se reposait en pleine journée. À plusieurs reprise, il s’assoyait sur le rebord du boisé et attendait l’arrivé de son père, espérant le jour où se sera son tour.

Huit jour s’était écoulé et son père n’était toujours pas de retour, Knuck commençait à s’inquiéter. À chaque temps libre qu’il avait, il montait à la cime du plus haut arbre du bosquet et regardait au loin, mais ne vit rien. D’une manière ou d’une autre son père avait la possibilité de se dissimulé quand il se déplaçait, s’il voulait donc rester dissimulé, même avec le plus grand des efforts, l’adolescent n’aurait pus le voir, et cela même si son père était un renard humanoïde bleue.

À la fin du neuvième jour, on cogna à la porte. Knuck s’y précipita et s’assura qu’il ne s’agissait pas d’un intrus indésirable à l’aide du judas de la porte.

L’Adolescent rouvrit la porte à la volé et serra fort dans ses bras son père.


--Qu’est-ce que tu fais encore là? Va préparer ton bagage!

Tandis que son père s’installa confortablement dans son chez-soi et qu’il alla embrasser sa femme et son enfant, Knuck prépara son sac de voyage dans sa chambre. Il prit des vêtements identiques à ceux qu’il portait déjà, un pantalon long et bleu conçu par sa mère donc la couleur et l’étoffe était un secret qu’elle gardait pour elle-même. Il prit par la suite deux par-dessus, un moulant à manche longue de la même couleur que le pantalon et un à manche courte d’un noir d’ébène qu’il mettait par-dessus le bleu pour que les rayons du soleil le garde au chaud en tout temps. Il mit aussi un manteau sans manche provenant d’un cerf qui mourut de vieillesse il y a quelque année dans leur boisé. Il lui servirait pour les grands froids, mais pour l’instant il ne lui servirait pas. Au fond de son sac à dos, il mit un lance-pierre qu’il ne pensait pas devoir utiliser et de toute manière il avait toujours été malhabile à se jeu. Il plaça son bâton de marche à proximité de la porte d’entré, il se sentait enfin près. Son cœur se sentait si léger et à la fois si lourd de partir. Il se précipita pour mettre ses bottes de marche et enfila une paire de gant pour dissimuler ses mains griffue. Son père s’approcha de l’ouverture de la porte.

-Tout est près Knuck?

-Je crois père.

-Alors je vais te donner quelque chose avant que tu partes, comme je t’ai dit je suis allé en ville et je t’ai acheté quelques outils. D’abord voilà un livre d’épargne, se livre te sera bien utile si tu veux commercer. Je t’ai ouvert un compte il y a quelque jour et je t’y ai mis 50 piécettes. Et voilà aussi une bourse avec 60 piécettes, rendu en ville tu pourras en faire se que tu veux.

Il lui lança le livre et la bourse et déposa à côté de lui un sac remplit de fiole.

-Je t’ai acheté aussi cinq fioles de potion de restauration au cas où que tu es fatigué, tu n’as plus la force d’avancer ou que tu t’es blessé. Elles te permettront de te revigorer un peu. Et si tu n’a plus d’espoir, que tue tu te sens perdu sache que ta famille sera toujours là pour toi, tu es toujours le bienvenue dans notre arbre-maison et j’espère que tu nous écriras.

-T’inquiète pas, Mama m’a bien montré, je serai me débrouillé seul.

-Je n’en doute pas mon fils, mais fais attention à toi.

Ensemble, ils mirent les cadeaux dans le sac à dos de l’ado et celui-ci le mit sur ses épaules, s‘armant de son bâton de marche. Knuck embrassa sa mère et sa sœur et fit une dernière accolade à son père. Il quitta le boisé le cœur lourd, un nouveau monde s’ouvrait à lui. Il avait hâte de côtoyer les autres, de vivres avec eux des aventures et de connaître tous les racoins d’Olympia et de découvrir toutes ses races.