Chapitre I : Les Origines du Mal

Je me souviens encore de ce jours maudit, c’était il y a maintenant 17 ans de cela, oui, je m’en souviens comme si c’était hier, je peux encore sentir l’odeur de brûler, de notre cité, oui, j’étais encore fait d’un corps digne à cette époque, j’étais encore ce que l’on appel un Homme sauvage…J’étais de Quatar, l’un des plus fidèles serviteurs d’Archéos, il ne se passait pas un jours sans que je n’aille au temple pour lui rendre grâce, pour que je souffle une quelconque prière à son encontre…
Mais, ils arrivèrent…Les Géants ! J’ai pendant longtemps été en froid avec eux, mais, maintenant je m’entends mieux, mais à cette époque, ils rasaient ma citée, nous ne pouvions rien faire, leur force, leur puissance, ils étaient de si fin stratège militaire, de si bon combattant. Nous fûmes balayé…Oui, ils réduirent notre si belle cité à l’état de Néant, une simple ruine sans la moindre importance, sans le moindre pouvoir, sans rien…Non, nous n’étions plus rien. Alors, je l’ai maudit, j’ai maudit ce dieu qui était censé nous protéger alors que je me tenais encore sur les ruines fumantes de notre défaite, je me souviens encore de mes mots :

-Archéos! Traître! Tu nous as abandonné! Tu n’est qu’une informe chose! Tu...

J’aurais dut arrêter, j’aurais dut me taire, mais je ne l’ai pas fait, j’avais en moi tant de rancœur, tant de haine contre ce soit disant dieu, que je l’ai insulter, encore et encore, et là, une voie caverneuse m’hurla dessus:

-INSOLANT!!! Comme oses-tu me parler dessus! Tu mérites la mort!

Puisse ce jours être maudit, j’avais complètement perdu l’esprit, je lui répondit :

-Et bien tues moi! Ce seras toujours préférable à vivre avec la honte d’avoir été ton serviteur! Il a fallu que j’ai l’esprit faible d’un lutin pour croire en toi! Maudit sois-tu! Je te...

Je n’ai jamais fini ma phrase, non, jamais, mon sombre maître était tellement em colère qu’il m’interrompit en hurlant, levant sa main comme pour me frapper, et il déclara sa sentence :

-Qu’il en soit ainsi! Si tu as cru en moi, c’est que tu devais être un lutin!!!

Et il me frappa, sa lourde main me percutant, je sentit instantanément les ténèbres me prendre dans leurs étreintes mortelles. Car oui, je pensais que j’étais mort, sans autre forme de procès, je m’attendais déjà à ce que ma prochaine vision soit celle d’Hadès. Mais ce ne fut pas le cas...


Lorsque j’ouvris les yeux, j’étais seul, combien de temps avais-je été inconscient? Je ne le sait pas, mais les Lestrygons avaient fait leur office et notre citée n’était plus, Quand à moi, j’ai hurlé, j’ai hurlé lorsque dans une flasque d’eau croupie, je vis mon visage, j’étais devenu ce que je suis...
Un Lutin...

Chapitre II : Green

J’ai passé la première année de ma vie en reclus dans les ruines de Quatar , me nourrissant de fruits sauvages, et tentant chaque jours de nouvelles expériences pour me rendre forme “humaine” mais ce ne fut pas aisée, et je compris vite que mes expériences étaient vouées à l’échec. Ainsi, durant toute une année, je ne réussit qu’à me rendre complètement dépendant à la violette et à rendre ma peau verte. Oui, moi, Sora Bulqis de mon vrai nom compris alors que j’étais condamné à rester un simple Lutin pour le reste de ma vie.
J’ai décidé alors d’arrêter de me morfondre et de voir un peu du pays, je suis partie vers le nord pour tenter de trouver quelques choses à prendre. Je sais, vous direz que je suis un pillard, et vous aurez raisons, mais je me suis dit qu’une citée déserte devait bien avoir du matos...

Et sur le chemin, j’ai découvert une chose étrange, une sorte de carnet, il y avait plein de papier, des truc étranges marqués dessus. Certains mot je les comprenais, d’autre non. Ainsi, j’ai appris un peu de ce vocabulaire, il y avait comme lettre, E, F et G...Et des mots étranges avec un mot que je comprenais à côté. Je l’ai mis dans mon sac et j’ai commencer à le lire, me servant aussi de temps en temps du papier pour me rouler une cigarette de violette.
Et y a un mot qui m’a interpeller, Green, ça voulais dire vert...Oui, marrant Green pour dire vert, on dit vert normalement, ou alors verdâtre, cactus, enfin, je sais pas, mais Green...
Enfin, sur le chemin vers le Nord, je suis tombé sur une bande d’olympien, l’air pas commode, ils m’ont demander mon nom et ma nationalité.
J’allais pas leur dire que j’étais de Quatar, je me serais fait lynché de suite! Et s’ils connaissaient mon nom peut être m’auraient ils connu...Alors j’ai dit que je m’appelais Green.

Chapitre III : Des putains d’Papillons!

La calme quiétude d’olympia venait d’être troublé par le hurlement dégénéré, qui ? Pourquoi ? Ces deux questions trouvé la réponse en l’auteur de ce hurlement, moi… Ce moi, c’est cette petite chose verte qui hurle en courant comme un timbré, timbré que je ne suis pas, mais il faut comprendre le pourquoi du comment je courrais.
En effet, la raison de ma vie était compréhensible, un monstre, oui, un horrible monstre me poursuivait. Bien plus terrible que les golems, hydres, centaures et autres Cerbères…Ce monstre était…Un papillon !

On croit souvent à tords que les papillons sont une espèce inoffensive, hors c’est totalement faux, déjà, observons un papillon, ces horribles bestioles mangeurs de lutins, déjà leurs ailes, immondes , porteuses de leur corps chétifs pour répandre la mort, leur couleur, vive, sombre, mais le pire, je crois que le pire sont les papillon avec des ailes violettes. Mais continuons, ces vils créatures arpentent Olympia dans une quiétude entière, les simples d’esprit qui a mon inverse ne consommes pas la sacro sainte violette, dont je ferais l’éloge plus tard, oui, ces fou ne conçoivent pas la dangerosité de ces créatures. Alors que moi je sais !
C’est pour quoi je hurle et cours, la bête est dernière moi, ses battements d’ailes sont porteurs d’un message funeste, son ondulation est la preuve de la Mort.

J’ai découvert leur traitrise et leur dangerosité il y a presque un an, je m’en souviens comme si c’était hier. Je venais de faire une bonne cueillette de violettes, a cette époque, je ne me doutais pas encore de la perfidie de ces monstres. Et, comme a mon habitude, je m’étais installer dans une sorte de tente, plus proches d’une bâche posé contre des branches, il faut l’avouer.
J’avais réunit en tas ma violette, et m’étais fait par la même occasion roulé une cigarette de cette douce plante. Déjà, je savourais mon labeur. Mais l’impensable arriva. Un petit papillon entra dans ma tente alors que je fumais tranquillement ma violette. J’aurais du le voir venir mais j’étais encore naïf à l’époque.
Ce dernier se posa sur mon nez. Offrant a mes pauvres yeux la vision apocalyptique de la bête…
Je crois que j’ai hurler, hurler de terreur, dans la précipitation j’ai fait tombé ma lampe a huile. Et là, la pire chose que j’ai jamais vue de ma vie arriva, la violette, toute la violette s’embrassa!

Ce qui se passa ensuite, je n’en n’ai qu’un vague souvenir psychédélique, il y avait beaucoup de couleur et des milliers de papillons qui riaient de mon malheur et qui tentaient de me tuer. Je me suis réveillé vraisemblablement trois jours plus tard dans les rues de Lardanium…

Chapitre IV : J’ai eu un Rêve

La vie de Lutin n’es pas une chose aisée, non, loin de là, car avec lez peu de force que l’on dispose, on peut de suite oublié l’agriculture et tout autre métier de force. Sans compter les moqueries, et autres maltraitance qu’on tendance a nous offrir les plus grands. Pourquoi les gens se prennent ils pour des êtres supérieur? Ne sommes nous pas tous égaux? La bonne blague, tous égaux! Nous les lutins, on est rien pour eux, et par eux je parle de tout le monde! On est que de la vermine! Ouais, c’est ça…De la Vermine…
C’est avec de tel pensée qu’un soir je suis allé me coucher après une petite violette, j’eu un rêve. Je pense qu’il est nécessaire de vous compter ce rêve, je me voyait, debout sur des remparts, en bas de ces dites remparts, des milliers de lutins, des elfes, des nains, des géants tous fédéré sous ma bannière. Oui, j’étais leur chef et je clamais la suprématie de ma race. J’étais devenu le Maître d’Olympia…
Nul doute, ce rêve n’en était pas un, c’était une prophétie!!!

Le lendemain matin, j'ai commencé à établir mon plan pour la conquête d'Olympia. Il résidait en cinq axes. Le plus important étant le contrôle totale de la vente de violette...
D'ailleurs en parlant de violette...

Lorsque l'on connaît le personnage (irl je veux dire), on sait que ce texte lui est totalement assorti!